• Vitesse de la lumière = Fin de l'Univers ?

  • La physique quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques qui s'opposent à celle de physique classique, cette dernière ayant échoué dans la description de l'infiniment petit (atomes, particules) et dans celle de certaines propriétés du rayonnement électromagnétique. La physique quantique comprend : l'ancienne théorie des quanta, les postulats de la mécanique quantique, la mécanique quantique non relativiste, la physique des particules, la physique de la matière condensée, la physique statistique quantique, la chimie quantique, les théories candidates à une description de la gravité quantique.
La physique quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques qui s'opposent à celle de physique classique, cette dernière ayant échoué dans la description de l'infiniment petit (atomes, particules) et dans celle de certaines propriétés du rayonnement électromagnétique. La physique quantique comprend : l'ancienne théorie des quanta, les postulats de la mécanique quantique, la mécanique quantique non relativiste, la physique des particules, la physique de la matière condensée, la physique statistique quantique, la chimie quantique, les théories candidates à une description de la gravité quantique.
 #34190  par Leolar
 
Petite précision : ce que je voulais dire par "arriver à la fin du temps", c'est juste que le temps et la distance parcourus seraient (en théorie) infinis, j'ai parlé de bords de l'Univers et de fin du temps à tort Y-16
 #34196  par bongo
 
Et puis, imagines que ma montre aille à la vitesse de la lumière. Ne continuera-t-elle pas à tourner à son rythme ?
Elle continue à son rythme mesuré dans quel référentiel ?
Personne n'a dit que le temps se figeait à la vitesse de la lumière.
Et bien... tout dépend par rapport à qui ?
 #34198  par Leolar
 
La vitesse de la lumière ne varie pas selon l'observateur, ce que je voulais dire c'est qu'un observateur (immobile ou en mouvement) verra la lumière se déplacer à 300000 km/s (dans le vide), alors que pour l'objet qui se déplace à la vitesse de la lumière, le temps "ne s'écoule plus" : si ce corps parcours un trajet d'un point A à un point B (pour simplifier, on va dire que ce trajet fait 300000 km), l'observateur verra le corps parcourir la distance en 1s, mais pour le corps qui lui est à la vitesse de la lumière, le trajet a été instantané. Enfin c'est ce que j'ai cru comprendre ! Y-16

Au fait vous en pensez quoi de ma théorie sur le tachyon ? 0-icon_cheesygrin
 #34223  par Edji
 
Elle continue à son rythme mesuré dans quel référentiel ?


à son rythme intrinsèque bien sûr. Pas du point de vue d'un observateur immobile bien entendu.
 #34228  par Edji
 
Salut.

L'univers n'a pas de fin. Il n'a peut-être même pas de début. C'est Edgard Gunzic (cosmologiste très en poupe en ce moment) qui le dit. Pour lui, je cite : "l'univers s'engendre lui-même à l'infini."

Pour résumer sa pensée, à la louche, il part de l'énergie du vide. Je cite encore (en parlant du vide en tant que concept) : "Quantiquement, il subsiste une agitation non éradicable, fluctuations quantiques du vide, ainsi que l'énergie minimale, mais non nulle, qui lui est associée soit : l'énergie du vide. "

Pour lui, le big-bang est purement mathématique dans le modèle standard. Il doit laisser place au mécanisme physique de la création autoconsistante dépourvue de toute singularité.

Il conclut que (toujours à la louche hein (mon résumé, pas lui)), avec l’expansion (big-chill ou big-ripp) l'univers retournera vers un état proche du vide quantique et donc, s'auto-engendrera de nouveau. Et ce, à l'infini.

Comme tout ça se passe en chaque point de l'univers, il prouve que l'univers est infini. (Cf : "que faisiez-vous avant le big-bang ?" de Edgard Gunzic ed Odile Jacob 2011.)

En plus, Einstein avait fait une de ses fameuses expériences mentales. Il s'est dit : si je prends une perche de 2 mètres de long et que je me poste au bord de l'univers. Si je tends ma perche vers l'extérieur. Elle ne sera pas coupée en deux. Je pourrais aller à l'autre bout et répéter l'opération autant de fois que je le voudrais.

L'univers est infini. Et la Terre n'est pas plate... Quant au temps, d'aucun disent, dont ce bon vieil Edgard, qu'il n'est pas une dimension de l'univers (comme le pensait Einstein), mais bel et bien une de ses propriétés émergentes. Il est relatif, ça, Albert avait raison, donc, comment imaginer qu'il puisse avoir une fin ? Et par ce fait, comment imaginer que l'univers himself ait une fin ?
Dernière modification par Edji le vendredi 20 mars 2015 à 20:51, modifié 1 fois.