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Hypothèse sur l’expérience des deux fentes

Message non luPublié :jeudi 5 novembre 2015 à 22:56
par daniel83
Bonjour,

Je suis juste un amateur de la physique quantique, je vais peut être suggérer des énormités..

1. Et si onde et particule ont toujours été bien distinct dans cette expérience ?
Un surfeur qui attend sa vague va onduler et "devenir" onde dans son comportement mobile. Ou encore de la brume a la toute surface de la mer, va suivre les mouvement léger des oscillations et non pénétrer l'eau.
imaginons une onde dans la-quelle la particule serait tellement "comprimé" par le haut comme par le bas. que son apparence devient celle d'une "crêpe" PUIS se déplace sur le lit d'une onde.

2. l'observateur.
A l’échelle atomique, j'imagine que les instruments de mesures sont composé d’aimants, et ou d'éléments conducteurs ? Peut ont être certain qu'aucun composant de l'instrument ne va pas parasiter/annuler une onde ?

Re: Hypothèse sur l’expérience des deux fentes

Message non luPublié :vendredi 6 novembre 2015 à 10:12
par bongo
1. Et si onde et particule ont toujours été bien distinct dans cette expérience ?
Si je comprends bien, tu veux parler de l'interprétation de l'expérience d'interférence des fentes de Young ?

Je ne sais pas si tu as bien compris l'expérience, mais c'est très bien décrit dans le tome 3 des cours de Feynman.
Le problème est que lorsque l'on observe un électron, on observe un point sur un écran lors de l'impact. Cependant l'expérience des deux fentes nous dit que l'électron ne se comporte pas comme une balle de tennis.

Bien-sûr tu peux distinguer les deux objets, mais seul l'un d'eux est observable...
Un surfeur qui attend sa vague va onduler et "devenir" onde dans son comportement mobile. Ou encore de la brume a la toute surface de la mer, va suivre les mouvement léger des oscillations et non pénétrer l'eau.
imaginons une onde dans la-quelle la particule serait tellement "comprimé" par le haut comme par le bas. que son apparence devient celle d'une "crêpe" PUIS se déplace sur le lit d'une onde.
Je n'ai rien compris sur l'analogie avec la crêpe, mais je pense que ce que tu évoques est ce que l'on appelle l'onde pilote de Bohm - De Broglie.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9o ... oglie-Bohm

2. l'observateur.
A l’échelle atomique, j'imagine que les instruments de mesures sont composé d’aimants, et ou d'éléments conducteurs ? Peut ont être certain qu'aucun composant de l'instrument ne va pas parasiter/annuler une onde ?
Je ne comprends pas tellement où tu veux en venir. Est-ce que l'appareil de mesure va perturber l'objet étudié, la réponse est naturellement oui, d'ailleurs tu ne peux pas observer un objet sans le perturber.

Re: Hypothèse sur l’expérience des deux fentes

Message non luPublié :vendredi 6 novembre 2015 à 23:13
par daniel83
Pour le point numéro 1, la ou je voulais en venir est : et si l'onde était une constante, un acteur indépendant. Peut être une onde présente pour des raisons indépendante des éléments de l’expérience.
Et la particule "surferai" sur cette onde

Pour le point 2
d'ailleurs tu ne peux pas observer un objet sans le perturber.

Est ce vrai pour toutes les échelles ? si oui, je ne pense pas perturber la lune en la regardant ?

Est ce que l'observateur peut être l'oeil nue dans l’expérience des deux fentes ?

Re: Hypothèse sur l’expérience des deux fentes

Message non luPublié :samedi 7 novembre 2015 à 16:05
par bongo
mon petit doigt me dit que tu n'as pas lu entièrement mon message, et tu n'as pas non plus pris la peine d'ouvrir le lien...

Re: Hypothèse sur l’expérience des deux fentes

Message non luPublié :samedi 7 novembre 2015 à 22:52
par daniel83
Je me calme, je retourne dans ma chambre je révise et je reviens 0-icon_mrgreen

Re: Hypothèse sur l’expérience des deux fentes

Message non luPublié :mercredi 8 juin 2016 à 12:15
par Hendrix33
Une onde ou particule venue d’une dimension originelle et à plusieurs endroits à la fois

Supposons qu’il pourrait exister une (mono) dimension où l’espace (3D) et le temps n’existe pas. Le temps s’écoule plus lentement dans un champ gravitationnel fort, on peut donc imaginer qu’il tend vers un point nul ou quasiment nul dans la contraction de l’espace-temps. Cette dimension "originelle" pourrait alors n’être constituée que d’un seul élément fondamental (peut être une "corde") à l’origine des ondes-particules. Cet unique élément (ou vibration, ou corde) se "déplacerait" simultanément (le temps n’existant pas dans sa dimension) en transitant par ‘N’ autres dimensions (supposées en théorie quantique). En fonction des différents "parcours" empruntés par cette vibration, résulterait des éléments (particules) élémentaires qui constituent notre univers comme par exemple le photon, lepton, boson, etc., dont même certaines que nous n’avons même peut-être pas encore identifiées.

Cette unique particule jouerait une sorte de yin et yang, positif et négatif, matière anti matière, etc. en fonction des diverses dimensions parcourues entre la sienne (source) et la notre, et qui donc alternativement, en adoptant des "vibrations" différentes, compose à elle seule, l’ensemble des particules de notre univers (et autres univers parallèle ?).
Partant de ce postulat, n’est-il pas concevable de penser qu’un photon (par exemple) est bien une et une seule particule, et non une onde, mais issue de la résultante d’une corde qui s’exprime à plusieurs endroits à la fois ? Ceci concilierait le fait que lorsqu’on détecte (capture) le passage d’un photon, celui-ci disparaît. De même que dans un contexte d’intrication, les photons dit "jumeaux », ne le sont pas, mais il s’agirait d’un seul et même photon issu de la résultant d’une corde s’étant exprimée à deux "endroits à la fois". Pour tenter de se représenter ce concept, prenons l’exemple d’une guirlande ou d’une enseigne lumineuse qui donne l’illusion que la lumière se déplace d’une façon linéaire d’une ampoule à la suivante, alors qu’en fait, c’est successivement que chaque ampoule est électrisée, lui permettant de s’allumer puis s’éteindre aussitôt. Sur une échelle de vitesse bien plus lente que 300 000 km/s, un observateur non avisé pourrait préjuger qu’un rayon lumineux se déplace continuellement d’un point d’origine à un point final de la guirlande.
L’expérience de la gomme quantique à choix retardé, ou la possibilité de conditionner le comportement dans le passé d’onde-particules, trouverait une réponse avec ce postulat, de même que « Démon de Laplace » qui disait qu’ « Une intelligence qui, à un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la compose embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome ; rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. » .