Une monture motorisée suit le mouvement de rotation de la terre : c'est le principe des montures équatoriales, on effectue un alignement (mise en station MES ) de l'axe de la monture avec l'axe de rotation de la Terre. Ensuite un moteur assure le suivi en ascension droite AD.
Le problème c'est que :
1° la MES est rarement parfaite et atteindre une précision suffisante pour de pauses longues nécessite des réglages longs...enfin question de pratique.
2° TOUTES les montures ont des défauts mécaniques qui empêchent un suivi parfait. Ces défauts sont plus ou moins imprimants et les montures de qualité (donc chères) en ont de fait bien moins.Sur une focale courte et une cible proche de la polaire, c’est peu perceptible mais avec une longue focale (ou de petits pixels) et pour des cibles proches de l'équateur on obtient des oscillations , erreurs de suivi, périodiques si tout va bien.
Bref pour corriger cela et obtenir un bon suivi même sur une monture moyenne (pas non plus sur un truc trop léger, faut pas abuser), on utilise la technique de l'autoguidage qui consiste à mettre un second capteur, type webcam, en parallèle de l'imageur soit avec un diviseur optique, soit avec un second tube placé sur le premier (lui de moindre qualité). Ce second capteur asservi la monture et apporte des corrections en temps réel à la monture pour corriger toutes les erreurs de dérive (à part la rotation de champ qui elle n'est dû qu'à une mauvaise MES).
C'est plus clair ?
Le problème c'est que :
1° la MES est rarement parfaite et atteindre une précision suffisante pour de pauses longues nécessite des réglages longs...enfin question de pratique.
2° TOUTES les montures ont des défauts mécaniques qui empêchent un suivi parfait. Ces défauts sont plus ou moins imprimants et les montures de qualité (donc chères) en ont de fait bien moins.Sur une focale courte et une cible proche de la polaire, c’est peu perceptible mais avec une longue focale (ou de petits pixels) et pour des cibles proches de l'équateur on obtient des oscillations , erreurs de suivi, périodiques si tout va bien.
Bref pour corriger cela et obtenir un bon suivi même sur une monture moyenne (pas non plus sur un truc trop léger, faut pas abuser), on utilise la technique de l'autoguidage qui consiste à mettre un second capteur, type webcam, en parallèle de l'imageur soit avec un diviseur optique, soit avec un second tube placé sur le premier (lui de moindre qualité). Ce second capteur asservi la monture et apporte des corrections en temps réel à la monture pour corriger toutes les erreurs de dérive (à part la rotation de champ qui elle n'est dû qu'à une mauvaise MES).
C'est plus clair ?