Voici la question existencielle que se pose le créateur en herbe que je suis. Mon idée est de pouvoir faire éclore une vie sur un petit satéllite.
Voici le premier shémas général :
Voici les premiers points de répères généraux que je me suis fixés :
1/ Le satellite est plus petit que notre Terre (entre la taille de la lune et celle de mars) avec une atmosphère moins dense (impact de météorite plus fréquents).
2/ La Gravité est de l'ordre de 2 fois moins forte (un humain sauterais 2x plus haut et deux fois plus loin ou la relation n'est pas proportionnelle ?)
3/ Le satellite tourne sur lui même en 16h ce qui nous donne l'équivalent d'une journée locale. Pour ce point j'avoue ignorer si la vitesse de rotation est vraiment aléatoire ou s'il existe une tendance générale en fonction de la taille de l'objet.
4/ Le satellite subit l'attraction de son soleil d'ou la forme de son orbite en ovale (écliptique ?).
5/ La planète a elle aussi une orbite en ovale autour de son soleil (pas encore truvé de raison crédible mais il me semble que c'est le cas de nombreuses planète...)
6/ La révolution du satellite autour de la planète est de 52 journées ce qui nous donne un petit cycle.
7/ La révolution de la planète autour de son "soleil" est de 516 journée ce qui nous donne l'équivalent d'un grand cycle caractérisé par 2 Equinoxe d'hiver (aphélie) et 2 Equinoxe d'été (périphélie).
Un grand cycle planétaire est donc ponctuée de 8 petits cycles au niveau du satéllite caractérisé par autant de "petit Equinoxes d'étés et d'hiver". L'idée est de réguler le climat en fonction de l'exposition d'un hémisphère mais plus de par le positionnement "spatial" ....... de là est ce crédible ou les équinoxes (aphélie/périphélie) n'auraient théoriquement qu'un impact très limité ?
Climat Général
J'imaginais que cette planète était plus proche de son soleil que n'est la terre du sien. En sommes un vaste désert rocailleux ou la vie ne serait possible qu'en remontant vers les pôles (du fait d'un rayonnement moins intense et d'une chute de température qui permettrait la non évaporation de l'eau) ou dans des espèces de grands canyons qui permettraient une exposition limité aux rayons du soleil.
Les pluies :
Rarrissime du fait de la quasi absence d'eau, cependant j'avais imaginé des pluies torrentielles très courtes marquant la combinaison des equinoxes d'été (petite et grande). Cette météorologie astrale est-elle crédible (chaleur supposée plus forte => perturbations atmosphériques ?)
Ce phénomène serait responsable de par l'érosion qu'il engendre des paysages-canyons constituant les "berceaux de vie" à l'exterieur des pôles. Il permettrait aussi de garnir la nappe phréatique qui se trouve sous les imposant massifs rocheux.
Les eclipse :
Elles seraient cycliques, chaque "petite équinoxe d'hiver" entraîneant une eclipse de plusieurs heures.
La nuit et le second soleil :
J'envisage de faire cohabiter un second soleil plus lointain qui renverrais un halo (un peu comme la lumière que nous renvoie la lune en plus fort et plus bleuté) mais je connait trop mal les étoiles pour savoir si ce scénario est crédible.
Se pose aussi la question de son effet sur la température, car j'imagine que les très fortes températures de jour (imaginons entre 50° et 90° le jour a l'exterieur des zones de pôles) peuvent redescendre très vite (atmophère moins dense et faible présence d'eau liquide)..... donc peut-être émission d'une "chaleur" douce atténuant le froid nocturne (ce qui donnerais entre 0° et 10° hors pôles au lieu de température négatives a 2 voir 3 chiffres).
Poles :
Etant donné que la révolution du sattelite ne se fait pas autour du "soleil" est ce que le shémas équateur-pôle en terme d'exposition et de température tiendrais toujours ? En théorie les planète telluriques suivent un peu le même shémas non ? J'avoue avoir du mal a me représenter l'étendue et la nature d'une zone "pseudo tempéré" sur une planète désertique...... j'ai du mal à m'inspirer de vénus ou de mercure car ce sont des exemples difficilles.
Bon je suppose que ma planète n'est pas forcément très propice à la vie, mais en quelle mesure cela resterais plausible (sinon quel(s) paramètres me suggèreriez vous de changer). Quels variables seraient difficlement compatible avec une crédibilité astronomique ?
Voici le premier shémas général :
Voici les premiers points de répères généraux que je me suis fixés :
1/ Le satellite est plus petit que notre Terre (entre la taille de la lune et celle de mars) avec une atmosphère moins dense (impact de météorite plus fréquents).
2/ La Gravité est de l'ordre de 2 fois moins forte (un humain sauterais 2x plus haut et deux fois plus loin ou la relation n'est pas proportionnelle ?)
3/ Le satellite tourne sur lui même en 16h ce qui nous donne l'équivalent d'une journée locale. Pour ce point j'avoue ignorer si la vitesse de rotation est vraiment aléatoire ou s'il existe une tendance générale en fonction de la taille de l'objet.
4/ Le satellite subit l'attraction de son soleil d'ou la forme de son orbite en ovale (écliptique ?).
5/ La planète a elle aussi une orbite en ovale autour de son soleil (pas encore truvé de raison crédible mais il me semble que c'est le cas de nombreuses planète...)
6/ La révolution du satellite autour de la planète est de 52 journées ce qui nous donne un petit cycle.
7/ La révolution de la planète autour de son "soleil" est de 516 journée ce qui nous donne l'équivalent d'un grand cycle caractérisé par 2 Equinoxe d'hiver (aphélie) et 2 Equinoxe d'été (périphélie).
Un grand cycle planétaire est donc ponctuée de 8 petits cycles au niveau du satéllite caractérisé par autant de "petit Equinoxes d'étés et d'hiver". L'idée est de réguler le climat en fonction de l'exposition d'un hémisphère mais plus de par le positionnement "spatial" ....... de là est ce crédible ou les équinoxes (aphélie/périphélie) n'auraient théoriquement qu'un impact très limité ?
Climat Général
J'imaginais que cette planète était plus proche de son soleil que n'est la terre du sien. En sommes un vaste désert rocailleux ou la vie ne serait possible qu'en remontant vers les pôles (du fait d'un rayonnement moins intense et d'une chute de température qui permettrait la non évaporation de l'eau) ou dans des espèces de grands canyons qui permettraient une exposition limité aux rayons du soleil.
Les pluies :
Rarrissime du fait de la quasi absence d'eau, cependant j'avais imaginé des pluies torrentielles très courtes marquant la combinaison des equinoxes d'été (petite et grande). Cette météorologie astrale est-elle crédible (chaleur supposée plus forte => perturbations atmosphériques ?)
Ce phénomène serait responsable de par l'érosion qu'il engendre des paysages-canyons constituant les "berceaux de vie" à l'exterieur des pôles. Il permettrait aussi de garnir la nappe phréatique qui se trouve sous les imposant massifs rocheux.
Les eclipse :
Elles seraient cycliques, chaque "petite équinoxe d'hiver" entraîneant une eclipse de plusieurs heures.
La nuit et le second soleil :
J'envisage de faire cohabiter un second soleil plus lointain qui renverrais un halo (un peu comme la lumière que nous renvoie la lune en plus fort et plus bleuté) mais je connait trop mal les étoiles pour savoir si ce scénario est crédible.
Se pose aussi la question de son effet sur la température, car j'imagine que les très fortes températures de jour (imaginons entre 50° et 90° le jour a l'exterieur des zones de pôles) peuvent redescendre très vite (atmophère moins dense et faible présence d'eau liquide)..... donc peut-être émission d'une "chaleur" douce atténuant le froid nocturne (ce qui donnerais entre 0° et 10° hors pôles au lieu de température négatives a 2 voir 3 chiffres).
Poles :
Etant donné que la révolution du sattelite ne se fait pas autour du "soleil" est ce que le shémas équateur-pôle en terme d'exposition et de température tiendrais toujours ? En théorie les planète telluriques suivent un peu le même shémas non ? J'avoue avoir du mal a me représenter l'étendue et la nature d'une zone "pseudo tempéré" sur une planète désertique...... j'ai du mal à m'inspirer de vénus ou de mercure car ce sont des exemples difficilles.
Bon je suppose que ma planète n'est pas forcément très propice à la vie, mais en quelle mesure cela resterais plausible (sinon quel(s) paramètres me suggèreriez vous de changer). Quels variables seraient difficlement compatible avec une crédibilité astronomique ?