Bonjour à tous,
Je suis nouveau sur le forum.
J’ai des connaissances lacunaires et une compréhension limitées des théories actuelles que je trouve parfois très alambiquées. En revanche je crois être un bon observateur et posséder une logique quasi autistique. Ceci associer à des capacités intellectuelles ordinaires m’incitent à voir et à rechercher la sophistication dans la simplicité. Le génie est dans l’épure.
Je dois mon dernier nœud au cerveau aux théories sur la gravité. En particulier sur ce qui touche à l’espace temps et à ses déformations. Ne parvenant pas à faire miennes ces idées, j’ai malgré tout cherché à élaborer ma propre compréhension du phénomène. Cela prends du temps, certaines idées murissent depuis de longues années.
Je suis parti de cette étrange association du temps et de la matière. Le temps étant définit comme un changement d’état de la matière, je les jugeais indissociables à ce moment de ma réflexion. Je voyais même le temps comme une conséquence de la matière. Quoi qu’il en soit, j’en suis venu à me dire que la plus petite particule de matière devait donc détenir sa part de ce que nous ressentons comme le temps. Le regroupement de la matière coïnciderait donc avec une association des quantités de temps véhiculés. Vu sous cet angle, l’espace temps n’est pas déformé par des objets massifs, ceux-ci diffusent une valeur de temps égale à la quantité générée par l’association de la matière totale les constituant.
Très bien, mais cela n’explique pas la gravitation. Au mieux, on peut comprendre que plus le corps est massif , plus le temps global est perceptible car constitué d’un très grand nombre de « grains » de temps associés dont la valeur générale est probablement supérieure à la somme des valeurs isolées. Jusqu’où se ressentent donc les effets du temps lié à la matière et quel est le vecteur emprunté pour transmettre cet effet? Le périmètre pourrait-il être celui de la déformation de l’espace temps réfuté ? Cette superposition m’a donné l’idée d’un effet que j’appellerai le temps-gravitationnel et qui aurait la matière pour origine. Ainsi chaque particule de matière aurait en elle sa valeur de temps-gravitationnelle et les effets associés à la quantité détenue. Comment ce temps gravitationnel peut-il se propager instantanément ? Dans notre monde matériel, dans l’état de nos connaissance, il ne le peut pas !
Avant d’aller plus loin sur cette voie, il me faut parler d’énergie. Nous savons qu’au commencement connu, il y a eu manifestation d’une quantité d’énergie phénoménale . Cette énergie ne s’est pas volatilisée. Ce qui est « magique » c’est qu’au moins une partie est toujours là, captive de la matière. Nous avons en nous, dans la matière qui nous constitue, une quantité extraordinaire d’énergie captive. L’excitation, la fission ou la fusion de la matière libèrent une part de l’énergie contenue ici et l’emmagasinent là-bas. La matière se combine, s’assemble et se détruit ; son énergie se diffuse ou se concentre avec elle. Ainsi la matière et son corollaire de manifestations peuvent être vu comme le contenant et l’énergie initiale être le contenu.
Revenons à nos moutons et au problème de la propagation d’un hypothétique effet de temps-gravitationnel issu de la matière. Soumis aux lois de la matière il ne peut pas se propager instantanément. Et si nous confondions les effets et les lois du contenant et du contenu ?!!
Si l’effet de temps-gravitationnel était le fait de l’énergie initiale et non de la matière qui le contient. L’énergie initiale contenue dans la matière aurait-elle ses lois ?
Ce serait très pratique et très beau à la fois ; comme notre univers.
Cette énergie pourrait avoir la particularité de s’attirer, de chercher à se regrouper. Enfermée dans son enveloppe matérielle où elle se stabilise, elle diffuse et rayonne néanmoins et a pour effet notoire de transmettre sa cohérence.
Je trouve cette théorie amusante car elle rentre dans un esprit étroit. Partant que notre connaissance a les limites que notre matérialité impose, il y a probablement des phénomènes partiellement constatables dont la compréhension ne peut que nous échapper. L’énergie initiale est bien là stockée dans la matière et ses conséquences. Le temps et la gravitation (ou le temps gravitationnel si il s’agit d’une seule et même chose) en sont des effets situés dans notre champ d’observation car rendus observables par le mouvement associé de l’enveloppe matérielle.
Le déplacement de l’énergie, par différents vecteurs, est soumis aux lois de la matière, pas ses effets. Aussi le temps-gravitationnel peut-il être instantané.
A ce stade, il faut parvenir à distinguer les manifestations de l’énergie initiale et les effets des lois mécanique associées à la matière. Prenez 2 gobelets , placez un aimant sous chaque gobelet. Imaginons que la force électromagnétique symbolise notre Effet dont on voit la manifestation à travers l’attraction des aimants. Les gobelets s’attirent… Plaçons un poids suffisant sur chaque gobelet et les lois mécaniques de la matière l’emportent. Notre Effet n’est pas dominant par sa force mais donne la direction générale.
Je vais m’arrêter là car ça me semble assez pour l’instant.
Je ne sais pas si cette voie a déjà été explorée, ni si c’est une énorme connerie.
Bref, je soumets ça à votre sagacité.
Max.
Je suis nouveau sur le forum.
J’ai des connaissances lacunaires et une compréhension limitées des théories actuelles que je trouve parfois très alambiquées. En revanche je crois être un bon observateur et posséder une logique quasi autistique. Ceci associer à des capacités intellectuelles ordinaires m’incitent à voir et à rechercher la sophistication dans la simplicité. Le génie est dans l’épure.
Je dois mon dernier nœud au cerveau aux théories sur la gravité. En particulier sur ce qui touche à l’espace temps et à ses déformations. Ne parvenant pas à faire miennes ces idées, j’ai malgré tout cherché à élaborer ma propre compréhension du phénomène. Cela prends du temps, certaines idées murissent depuis de longues années.
Je suis parti de cette étrange association du temps et de la matière. Le temps étant définit comme un changement d’état de la matière, je les jugeais indissociables à ce moment de ma réflexion. Je voyais même le temps comme une conséquence de la matière. Quoi qu’il en soit, j’en suis venu à me dire que la plus petite particule de matière devait donc détenir sa part de ce que nous ressentons comme le temps. Le regroupement de la matière coïnciderait donc avec une association des quantités de temps véhiculés. Vu sous cet angle, l’espace temps n’est pas déformé par des objets massifs, ceux-ci diffusent une valeur de temps égale à la quantité générée par l’association de la matière totale les constituant.
Très bien, mais cela n’explique pas la gravitation. Au mieux, on peut comprendre que plus le corps est massif , plus le temps global est perceptible car constitué d’un très grand nombre de « grains » de temps associés dont la valeur générale est probablement supérieure à la somme des valeurs isolées. Jusqu’où se ressentent donc les effets du temps lié à la matière et quel est le vecteur emprunté pour transmettre cet effet? Le périmètre pourrait-il être celui de la déformation de l’espace temps réfuté ? Cette superposition m’a donné l’idée d’un effet que j’appellerai le temps-gravitationnel et qui aurait la matière pour origine. Ainsi chaque particule de matière aurait en elle sa valeur de temps-gravitationnelle et les effets associés à la quantité détenue. Comment ce temps gravitationnel peut-il se propager instantanément ? Dans notre monde matériel, dans l’état de nos connaissance, il ne le peut pas !
Avant d’aller plus loin sur cette voie, il me faut parler d’énergie. Nous savons qu’au commencement connu, il y a eu manifestation d’une quantité d’énergie phénoménale . Cette énergie ne s’est pas volatilisée. Ce qui est « magique » c’est qu’au moins une partie est toujours là, captive de la matière. Nous avons en nous, dans la matière qui nous constitue, une quantité extraordinaire d’énergie captive. L’excitation, la fission ou la fusion de la matière libèrent une part de l’énergie contenue ici et l’emmagasinent là-bas. La matière se combine, s’assemble et se détruit ; son énergie se diffuse ou se concentre avec elle. Ainsi la matière et son corollaire de manifestations peuvent être vu comme le contenant et l’énergie initiale être le contenu.
Revenons à nos moutons et au problème de la propagation d’un hypothétique effet de temps-gravitationnel issu de la matière. Soumis aux lois de la matière il ne peut pas se propager instantanément. Et si nous confondions les effets et les lois du contenant et du contenu ?!!
Si l’effet de temps-gravitationnel était le fait de l’énergie initiale et non de la matière qui le contient. L’énergie initiale contenue dans la matière aurait-elle ses lois ?
Ce serait très pratique et très beau à la fois ; comme notre univers.
Cette énergie pourrait avoir la particularité de s’attirer, de chercher à se regrouper. Enfermée dans son enveloppe matérielle où elle se stabilise, elle diffuse et rayonne néanmoins et a pour effet notoire de transmettre sa cohérence.
Je trouve cette théorie amusante car elle rentre dans un esprit étroit. Partant que notre connaissance a les limites que notre matérialité impose, il y a probablement des phénomènes partiellement constatables dont la compréhension ne peut que nous échapper. L’énergie initiale est bien là stockée dans la matière et ses conséquences. Le temps et la gravitation (ou le temps gravitationnel si il s’agit d’une seule et même chose) en sont des effets situés dans notre champ d’observation car rendus observables par le mouvement associé de l’enveloppe matérielle.
Le déplacement de l’énergie, par différents vecteurs, est soumis aux lois de la matière, pas ses effets. Aussi le temps-gravitationnel peut-il être instantané.
A ce stade, il faut parvenir à distinguer les manifestations de l’énergie initiale et les effets des lois mécanique associées à la matière. Prenez 2 gobelets , placez un aimant sous chaque gobelet. Imaginons que la force électromagnétique symbolise notre Effet dont on voit la manifestation à travers l’attraction des aimants. Les gobelets s’attirent… Plaçons un poids suffisant sur chaque gobelet et les lois mécaniques de la matière l’emportent. Notre Effet n’est pas dominant par sa force mais donne la direction générale.
Je vais m’arrêter là car ça me semble assez pour l’instant.
Je ne sais pas si cette voie a déjà été explorée, ni si c’est une énorme connerie.
Bref, je soumets ça à votre sagacité.
Max.