Ensuite je vous suggère de réfléchir sur ce qu'est la connaissance scientifique. Heureusement que ce n'est plus la philosophie, où on réfléchit sur du vent. Faire des sciences, c'est avoir une connaissance synthétique et organisée des lois de la nature conformes à l'expérience.
Là, je ne suis pas du tout d'accord sur l'épistémologie arbitraire de cette phrase, . . . je dirai plus modestement que faire de la science, c'est essayer de pouvoir reproduire, de démontrer, aujourd'hui, avec nos outils connus à ce jour et nos moyens, ce que nous percevons de la nature en ce même jour.
Cela n'exclut pas d'éventuelles erreurs, même à ce niveau.
Par contre, la philosophie est la seule source rhétorique possible pour l'esprit humain.
Nous n'avons rien d'autre comme outil à part notre cerveau pour réfléchir, et il y en a pas d'autre !
C'est même le Saint Graal de notre savoir.
Pas de cervelle, pas d'idée !
La sagesse (sophos) vient de l'essence de cet envie d'apprendre (philos) et se conjuguent à merveille.
Je dirai que les sciences furent souvent rejetées par l'obscurantisme ténébreux de l'histoire de l'humanité, autant que la philo, et pour les mêmes raisons qui amenèrent Socrate à la mort.
Pour qu'il y ait des thèses, il faut des hypothèses, cela coule de source.
La meilleure de toutes ces preuves vient du fait que si nous étudions une thèse teléonomique ou autre dans ce forum, est que si le paradigme est à exclure, nous stagnerons et nous allons nous poser les mêmes questions fort longtemps.
Et là, le pauvre sujet ne pourra pas être justifié par la réflexion philosophique . . . on n'en parle pas, puisqu'il n'existe même pas.
Cela revient-il à dire que tout existe dès l'instant zéro ou non ?
La physique se base sur les données et des résultats mathématiques qui n'ont de plus scientifiques que les preuves que nous en déduisons.
De plus, les résultats arrivent petit à petit, et avec du retard.
Nous ne pouvons pas dire dans l'absolu que les mathématiques soient le meilleur des outils scientifiques, mais un bon outil à notre disposition.
Tout outil a ses propres limites et peut être amélioré.
Amicalement.
yoyo
Là, je ne suis pas du tout d'accord sur l'épistémologie arbitraire de cette phrase, . . . je dirai plus modestement que faire de la science, c'est essayer de pouvoir reproduire, de démontrer, aujourd'hui, avec nos outils connus à ce jour et nos moyens, ce que nous percevons de la nature en ce même jour.
Cela n'exclut pas d'éventuelles erreurs, même à ce niveau.
Par contre, la philosophie est la seule source rhétorique possible pour l'esprit humain.
Nous n'avons rien d'autre comme outil à part notre cerveau pour réfléchir, et il y en a pas d'autre !
C'est même le Saint Graal de notre savoir.
Pas de cervelle, pas d'idée !
La sagesse (sophos) vient de l'essence de cet envie d'apprendre (philos) et se conjuguent à merveille.
Je dirai que les sciences furent souvent rejetées par l'obscurantisme ténébreux de l'histoire de l'humanité, autant que la philo, et pour les mêmes raisons qui amenèrent Socrate à la mort.
Pour qu'il y ait des thèses, il faut des hypothèses, cela coule de source.
La meilleure de toutes ces preuves vient du fait que si nous étudions une thèse teléonomique ou autre dans ce forum, est que si le paradigme est à exclure, nous stagnerons et nous allons nous poser les mêmes questions fort longtemps.
Et là, le pauvre sujet ne pourra pas être justifié par la réflexion philosophique . . . on n'en parle pas, puisqu'il n'existe même pas.
Cela revient-il à dire que tout existe dès l'instant zéro ou non ?
La physique se base sur les données et des résultats mathématiques qui n'ont de plus scientifiques que les preuves que nous en déduisons.
De plus, les résultats arrivent petit à petit, et avec du retard.
Nous ne pouvons pas dire dans l'absolu que les mathématiques soient le meilleur des outils scientifiques, mais un bon outil à notre disposition.
Tout outil a ses propres limites et peut être amélioré.
Amicalement.
yoyo