• Planètes partiellement creuses : est-ce définitivement impossible ?

  • Ce qui vous passe par la tête et qui ne correspond à aucune catégorie mais qui parle d'astronomie ou de science quand même.
Ce qui vous passe par la tête et qui ne correspond à aucune catégorie mais qui parle d'astronomie ou de science quand même.
 #17537  par bongo
 
Quels sont les deux modèles contradictoires ?
Par contre avant de continuer, je préfère une discussion qui reste sur le terrain de la science.
Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ?
S’il y a un trou dans l’océan, pourquoi l’eau des océans ne se vide-t-elle pas dans les deux trous béants ? S’il y a un trou pourquoi les images satellitaires ne le montrent pas ? Pourquoi est-ce que les nations qui ont envoyé des satellites seraient complices d’un tel mensonge ? Je cite : USA, Russie, France, Grande-Bretagne, Corée, etc…
Quel est l’intérêt de cacher ces trous ? Je comprends que l’on veuille cacher les véritables assassins de Kennedy, mais ici quel en est l’intérêt ?


En réalité, pas une journée ne se passe sans que je tourne et retourne des mots et des images dans mon imagination pour essayer de me forger un modèle acceptable pour une écorce terrestre de 2 800 km d'épaisseur, suivie d'une creusité composée de gaz.
Et ce modèle est un modèle physique avec des équations ou bien une image mentale tirée de ton imagination ?

Dans le cas des cathédrales, comme je l'ai expliqué plus haut dans ce forum, c'est la disposition des pierres, qui prennent appui les unes contre les autres, qui fait que l'ouvrage ne s'effondre pas.
Quelles analogies peut-on faire avec la planète Terre ?
Est-ce que tu sais que l’on ne peut pas construire des immeubles ou infrastructure de taille arbitraire ? En l’occurrence, on ne construit pas encore de tour de 1 000 km de haut (peut-être 500 m, voire 1 km, mais pas 1000). Ceci est lié à la contrainte des matériaux, puisque le poids à supporter est trop important.
Connais-tu la masse de la terre ? Est-ce que c’est un peu, ou beaucoup plus élevée qu’une cathédrale ?

L'équation magique qui permet officiellement de le déterminer est :
Vp = racine de ((K + 4/3 de mu) sur rhô) 2-smile3
où K est le module d'incompressibilité, mu le module de cisaillement, et rhô la masse volumique (ou densité).
Je ne connais pas ce modèle, et je ne peux pas en discuter de l’exactitude.
D'habitude, dans une équation, le premier terme est celui qu'on cherche à déterminer, en fonction des variables du deuxième terme qui elles, sont connues. Etrangement, c'est exactement l'inverse dans cette équation. La seule variable qui est mesurée est Vp, la vitesse de propagation des ondes sismiques primaires P. Ensuite, on invente la combinaison de valeurs, pour K, mu et rhô, que l'on souhaite inventer, puisqu'il existe une infinité de combinaisons possibles pour ces variables qui donneront la vitesse d'ondes sismiques qui a été mesurée. Dites-moi si je me trompe dans l'interprétation de cette équation. 2-smile3
Cela ne me choque pas, quel est ton niveau en maths ?

J'ajouterais qu'au niveau de la discontinuité de Gutenberg, soit à une profondeur de 2 800 km, le modèle classique, pour interpréter le fait que Vp passe brutalement de 14 à 7 km/s, déclare qu'on passe alors d'un milieu solide à un milieu liquide, alors que le milieu suivant peut tout aussi bien être gazeux, ce qui irait dans le sens du modèle de Terre creuse.
Non impossible, les ondes ont du mal à passer d’un état condensé vers un état gazeux (grosse perte d'énergie) puis d'un support gazeux à un support solide, et ces vitesses sont beaucoup trop élevées. Connais-tu la vitesse des ondes sonores dan l’air ? dans l’eau ? et dans l’acier ?

Bien. Supposons maintenant que nos asthénosphères et mésosphères soit plutôt rigides. On aurait une écorce terrestre suffisamment rigide, solide, pour "supporter" l'action de la gravitation, qui par ailleurs, je le répète, diminuerait de façon linéaire, non pas jusqu'au centre, mais jusqu'à la discontinuité de Gutenberg, ce qui veut dire qu'elle diminuerait plus de deux fois plus vite.

Une petite image maintenant pour illustrer le phénomène mécanique de la clé de voute. Prenons une écorce planétaire d'épaisseur la moitié du rayon d'une petite planète. Coupons-la selon trois plans, chacun étant perpendiculaire aux deux autres et les trois plans se coupant au centre de la planète. Nous obtenons huit morceaux triangulaires courbes. Collons maintenant sept de ces huit morceaux pour reformer la planète. Il en reste un, que nous essayons maintenant de faire tomber à l'intérieur de la creusité planétaire. Impossible ! Le phénomène de clé de voute fait qu'il est coincé contre ses voisins. Il ne peut pas "tomber". J'espère que vous m'avez suivi. C'est ce genre d'images qui, je crois, vont nous permettre de nous mettre d'accord. Cela demande quelque peu de souplesse d'esprit.
Et si maintenant tu augmentes la masse de tes clés de voûte ?
Je comprends qu’avec des cures-dents, ça marche, mais avec des masses de 1E24 kg ? (je ne sais pas si tu es familiarisé avec la notation en puissance ?)

Je termine au sujet du tore. Il me paraît évident que le champ magnétique terrestre a cette forme. Il s'agit plutôt d'une multitude de tores concentriques emboîtés les uns dans les autres comme des poupées russes. L'axe du tore se confond pratiquement avec l'axe de rotation de notre planète. Observez la représentation en coupe de ce champ et vous comprendrez.
Pour le système solaire, la Galaxie et l'atome, c'est beaucoup moins évident, je le reconnais. D'ailleurs, je ne m'imaginais pas qu'ils puissent avoir une forme torique avant de visionner le film "Thrive". Mais j'ai appris que certaines étoiles migraient dans notre galaxie en suivant la courbure d'un tore. 2-smile3
Je me représente, de façon un peu poétique il est vrai, les planètes et les étoiles comme les perles d'un collier cosmique gigantesque. Le fil serait l'élément de base d'une immense trame électromagnétique invisible. J'ai déjà écrit plus haut que la science moderne connaissait très mal le mécanisme du magnétisme. Lire le paragraphe "L'étude du magnétisme" de l'article "Structure interne de la Terre" de wikipédia suffit à se donner une idées des incertitudes et des approximations qui tournent autour de ce sujet. Y-13
Le magnétisme est bien connu depuis Maxwell, qui a écrit les equations éponymes, tu les connais ? En tout cas ton paragraphe ici ne répond pas à mes questions.
 #17571  par Rayon de soleil
 
Bonjour Bongo,

Concernant mon niveau en maths, il est plus élevé que la moyenne des Français, sans être exceptionnel, même si depuis plus de dix ans je me suis plutôt orienté vers les langues de l'Inde et de la Chine, et l'agriculture (biologique évidemment). Il se trouve que j'ai passé mon bac spécialité maths avec mention bien. Je vois ce que c'est, les "puissances".

Je ne suis pas d'accord avec toi concernant le magnétisme. Tout ce que la science moderne sait dire, c'est qu'il y a des pôles positifs et des pôles négatifs, parce que les électrons sont tous orientés de la même façon dans le matériau. Mais elle ne sait pas dire pourquoi cela arrive. Il y a peut-être l'idée d'un courant électrique qui passe par là. Mais tout ça me fait penser à la gravitation. C'est bien beau d'avoir posé l'équation qui gouverne la gravitation, en corrélant le poids à la masse et à l'accélération de la gravité. Mais cela n'explique rien du tout de la cause ultime du phénomène. J'ai l'impression que la science s'empêtre avec des notions telles que neutrinos, matière noire, antigravité, bosons etc.

Je réponds à ta question sur l'origine du champ magnétique terrestre (CMT) en te disant que dans ma vision des choses (qui se base sur un article du magazine Nexus, que tu pourrais qualifier de pseudo-scientifique sans que cela me choque...), le magnétisme est la base, la trame invisible de l'univers. Il vient avant la matière, c'est lui qui organise la matière, selon un réseau complexe d'autoroutes et de ganglions magnétiques, les astres se formant autour de ces ganglions. La science moderne cherche par tous moyens à expliquer que le CMT est causé par des mouvements de convection de fer et de nickel dans le noyau, mais je crois qu'elle fait fausse route. En effet, je crois que le CMT préexistait à la Terre et que c'est lui qui provoque ces mouvements, s'il y a lieu, et non l'inverse. Nous reviendrons là-dessus si un jour nous évoquons l'idée de soleil(s) central(aux).

La raison principale que je vois pour laquelle les Etats que tu as cités, ainsi que les agences spatiales étasunienne et européenne, auraient caché aux populations l'existence des ouvertures polaires, est qu'admettre leur existence mettrait ces Etats dans l'obligation morale envers les populations d'organiser des expéditions d'exploration de l'intérieur de la Terre. Or, je crois, avec d'autres, que cet intérieur est habité par une civilisation, qui d'une part a un lien avec les origines de l'humanité, et qui d'autre part n'a pour l'instant aucune envie de recevoir de la visite. Je ne donne pas plus de détails car je vois déjà les lecteurs de ce forum s'esclaffer, se tordre de rire ou s'insurger contre moi. 2-laugh3 2-smile3 Je renvoie toute personne curieuse et à l'esprit ouvert à la lecture de Barbara Marciniak (Terre, Clés Pléiadiennes de la Bibliothèque vivante) et surtout de la trilogie des "Chroniques du Girku" d'Anton Parks et de son premier volume "Le Secret des Etoiles sombres". Je ne crois pas que cet ouvrage qui rivalise avec "Star Wars" soit de la science-fiction. Y-45 Encore faut-il croire l'auteur quand il prétend que dans ses visions ou flashs, il se voyait dans la peau d'un personnage reptilien parlant une langue inconnue mais qu'il comprenait, et que ce n'est que dix ans plus tard qu'il a découvert qu'il s'agissait du proto-sumérien, la langue de Babylone. Y-9

Concernant les images d'ouvertures polaires et leur probable censure par la NASA, je t'invite à relire attentivement l'ensemble des échanges qui ont eu lieu sur ce forum depuis le début. 0-icon_hehe

Tu te demandes comment les océans ne s'engouffreraient-ils pas à l'intérieur de ces ouvertures, et encore une fois, c'est une question que je me suis posée dès que j'ai vu la photo de la NASA dans "Le Secret des Etoiles sombres", p. 108 (1996, mission STS75). La réponse approximative que je me suis forgée à cette question depuis, est qu'en ce lieu où la surface de la Terre présente une courbure très lente, selon un cercle de rayon 647 km, la gravitation reste perpendiculaire à la surface et donc l'océan suit "tranquillement" la courbure de la Terre vers l'intérieur pour rejoindre les océans intérieurs. On peut rétorquer qu'au milieu de cette courbure, il y a de la matière provoquant une attirance gravitationnelle dans l'écorce située de l'autre côté de l'ouverture, à 145 km de là. Pour l'instant, je n'ai été confronté à personne qui se pose les mêmes questions que moi à ce niveau, je n'ai donc pas plus "creusé" la question. Peut-être que la distance de 145 km suffit à atténuer suffisamment la gravitation de sorte que c'est celle provoquée par la matière située directement sous l'océan de la courbure qui prime. Peut-être aussi qu'en ce lieu règnent des phénomènes magnétiques inconnus dus à l'extrême proximité des champs de force du CMT, qui en quelque sorte plaqueraient au sol l'océan. J'invite tout astronome amateur curieux et sachant lire l'anglais à imprimer le texte "Location and Size of the Polar Openings" sur ourhollowearth.com pour le lire à tête reposée. C'est ce que j'ai fait pour tous les textes clés sur notre sujet. 0-icon_cool

Quand je parle de deux modèles contradictoires, je parle bien entendu du paradigme scientifique officiel actuel (2012) considérant la Terre comme pleine, et de la théorie de la Terre creuse, représentée au cours des siècles par Halley, Newton, Gautier et aujourd'hui Jacques Fortier. Je me base sur les mesures de ce dernier dans la Kidd Creek Mine en Ontario au Canada pour me forger un modèle aussi scientifique que possible d'une écorce terrestre de 2 800 km d'épaisseur.

J'ai retrouvé la version officielle pour la rigidité du manteau.
" Manteau supérieur, qui est moins visqueux (plus « ductile ») que le manteau inférieur car les contraintes physiques qui y règnent le rendent en partie plastique. Il est formé essentiellement de roches telles que la péridotite (ses minéraux sont : olivine, pyroxène, grenat).
Manteau inférieur aux propriétés d’un solide élastique aux échelles de temps inférieures à l'année, plastique aux échelles de temps supérieurs au siècle. Le manteau terrestre, inférieur comme supérieur, n’est pas liquide comme on pourrait le croire en regardant les coulées de lave de certaines éruptions volcaniques mais il est moins « rigide » que les autres couches. Néanmoins, très grossièrement, sa viscosité est à celle de la glace d'eau, comme celle qui s'écoule dans les glaciers, ce que la viscosité de la glace est à celle de l'eau. "

Je viens de buter sur la dernière phrase, qui me semble dire que le manteau inférieur est quand même très solide. Bon. Retenons que le manteau inférieur, qui m'intéresse ici, est de nature solide, même s'il l'est "moins que les autres". Pourquoi est-ce le manteau inférieur qui retient mon attention ? Parce que dans le modèle de Terre creuse avec une écorce ou "coquille" (peut-on parler de coquille pour une telle épaisseur ?) de 2 800 km d'épaisseur (presque la moitié du rayon terrestre qui est d'approximativement 6 400 km, comme chacun sait sur ce forum), c'est ce manteau inférieur du modèle classique qui occupe la dernière place, tout en bas. C'est donc à lui qu'est attribuée la lourde tâche de "supporter" tout le "poids" de ce qui est au-dessus.

Tu insistes sur le fait que nous traitons ici de quantité de matière immensément plus grandes que celles composant nos "petites" cathédrales à échelle "humaine". Je te remercie de le noter. Je voulais juste que nous soyons d'abord d'accord sur des petites choses, avant de nous intéresser aux grandes.

Mais je vais insister aujourd'hui sur la question de la gravitation qui règnerait dans le bas du manteau inférieur si l'on supposait que la Terre était ensuite composée uniquement de gaz, à savoir de très peu de matière, de sorte qu'on puisse pratiquement dire que c'est comme si le milieu était vide. Nous sommes donc dans la configuration d'une creusité planétaire, où, comme l'a démontré Gauss (et non pas Newton, merci pour la correction), la gravitation est nulle en tout point, et où la gravitation diminue depuis la surface, pour atteindre zéro aux points de la surface interne de l'écorce planétaire. Donc, si on part du bas cette fois, on a d'abord un milieu dans lequel règne une gravitation, nulle au début, puis extrêmement faible. Donc, aussi immense soit la quantité de matière à laquelle nous avons à faire et donc la masse de celle-ci, son poids est d'abord nul, puis extrêmement faible. J'espère que je me suis bien fait comprendre en délayant autant, avec force détails.

J'aimerais que tu me dises si tu es d'accord pour dire que le poids du bas du manteau inférieur est, dans le cas que j'imagine, extrêmement faible. Nous pourrons ensuite poursuivre la discussion pour déterminer ce qui se passe avec les couches supérieures, à savoir si elles "pèsent" de leur poids sur les couches inférieures ou pas, et dans quelles mesure, et pourquoi. 0-icon_cheesygrin

Tu m'expliques que "les ondes ont du mal à passer d’un état condensé vers un état gazeux (grosse perte d'énergie) puis d'un support gazeux à un support solide". Je ne connais pas la vitesse des ondes sonores dans l’air, dans l’eau et dans l’acier. Je veux bien que tu m'en dise plus sur ce sujet que tu as l'air de maîtriser. En effet, tu constateras que cette question est la première que j'ai posée à Mimata sur ce forum, et que personne ne m'avait encore opposé d'argument sur ce point précis. Si tu peux donner des liens vers des pages explicitant plus en détail ces lois physiques, je t'en serais reconnaissant. Y-16
 #17576  par bongo
 
Magnétisme
Je te renvoie au cours de dia, para et ferromagnétisme, pour les réponses à tes questions. L'interaction électromagnétique n'a aucune rapport avec la gravitation. Comme tu as fait des études scientifiques, je pense que l'équation de Laplace, ou l'équation de Poisson te parle ? De même pour les équations de Maxwell ? qui décrivent qu'un champ électrique variable engendre un champ magnétique, et que le champ magnétique n'est qu'un effet relativiste d'un champ électrique ?

Par contre dans tout ce que tu dis, tu crois, alors que tu n'observes et ne prévois rien... est-ce dérangeant ?

Physique des particules
La science ne s'empêtre pas avec ces notions... ce sont des particules. Ce sont des observations qui font en sorte que ces particules sont détectées, et permettent la conservation de certaines quantités, telles que le nombre leptonique, le spin etc... Je pense que tu cites des termes que tu ne comprends pas (l'anti gravité n'a rien de scientifique, cela reste à prouver).

Intérieur de la terre
Je veux bien ces détails.
Pourquoi une obligation morale ? Est-ce que tu crois qu'il y a une obligation morale à aider les syriens ? Est-ce que les gouvernements se mobilisent ?
Pourquoi ne pas croire à tous les autres films ? Alien, Predator, Terminator ?

Trou des pôles
Indique moi les postes à lire, je ne vais pas lire 5 pages. Si la NASA censure, pourquoi la Chine censure également ? Tu me dirais ça dans les années 60, je dirais ok, les USA et la Russie complote contre le monde, mais là il y a une 20aine de puissances spatiales...
Qui a écrit le secret des étoiles sombres ? un scientifique ?

Je n'ai pas compris l'argumentaire de l'eau qui ne se vide pas à l'intérieur... Simplifions les choses... L'eau est attirée vers le centre de la terre, on est d'accord ? (puisque l'eau est à l'extérieur). Maintenant explique moi comment l'eau ne rentre pas dans le trou. Dans mon lavabo, l'eau se vide par le bas.

J'ai essayé de bouger l'eau avec mon aimant... mais ça marche mieux avec du fer... Tu as déjà essayé de tester tes idées ? L'eau et l'aimant ?

Euh... il y en a un qui est un modèle scientifique, mais pas l'autre... lequel ?

Problème du poids
Es-tu d'accord que si en haut le poids est très élevé, il appuie jusqu'en bas... donc le bas doit également supporter ce poids. Le poids des roches à 2800 km de profondeur est certes nul, mais... ces roches supportent le poids des roches au dessus. Tu as déjà essayé de soulever une cathédrale ? ou une montagne ? Je pense que la roche en bas qui doit soutenir tout le poids doit forcément tomber... à moins que cette roche repose sur une roche qui repose sur une autre roche, et ce... jusqu'au centre de la terre.

Ondes
Air : 330 m/s
Eau : 2 km/s
Fer : 5 km/s
As-tu essayé de demander à quelqu'un en dehors de l'eau de parler, mais avec toi dans l'eau ? As-tu essayé de demander à quelqu'un de taper des mains dans l'eau, et essayer d'entendre le bruit en surface ?
 #17585  par Rayon de soleil
 
Merci, Bongo, pour tes explications. Je devine une pointe d'ironie et d'impatience dans tes messages. Es-tu professeur de sciences ? J Y-37 e n'ai pas fait d'études scientifiques après mon bac. Je ne connais donc pas les équations que tu évoques. Quand j'écris "je crois", c'est par humilité. Y-27 C'est pour dire que je n'ai aucune certitude. Tu me reproches de ne pas me baser sur des observations expérimentales. Ce n'est pas vrai, et puis la science ne fait pas que des observations. Elle élabore aussi des théories. Y-18 Dont celle du "graviton". C'est censé être une particule, mais en a-t-on déjà observés ? 0-icon_eek

Je comprends bien que je me suis trompé en imaginant que la grande proximité entre elles des lignes de champ du CMT pouvaient influer sur l'océan. Oublions cela. Tu me dis que pour toi, l'eau tombe forcément dans un trou. yes3 Cela dépend. Regardons la Terre depuis l'espace. L'eau ne tombe pas sur les côtés. Y-13 Tout comme les Australiens ne marchent pas la tête en bas. L'eau des océans suit la courbure de la Terre. Parce qu'ils sont attirés vers là où pointe le vecteur des forces gravitationnelles. Y-18 On s'imagine généralement que ce vecteur pointe obligatoirement vers le centre de la Terre. Je ne "crois" pas que ce soit le cas. Regarde ce schéma tiré du texte "Location and Size of the Polar Openings" de ourhollowearth.com

The fact is the polar opening cannot be located at the exact geographic pole. The reason is because the pole has been crossed several times, and if an opening into the earth were located there, it could not have been crossed. For example, the Amundsen Nobile dirigible expedition flew across the geographic north pole from Spitsbergen to Alaska in 1926. The U.S. nuclear submarine, the Nautilus, crossed the pole from Alaska in 1958. Wally Herbert from Britain crossed the pole from Alaska to Spitsbergen with his dog sleds in 1969.

In late 2008, I was contacted by Retired U. S. Air Force Colonel Billie Faye Woodard. We visited Billie in Pahrump, Nevada in November, and I have been writing a biography that you can read here. Billie has had a very interesting life, much of it having to do with Our Hollow Earth. After joining the military, Billie was assigned to Area 51 in Nevada, USA. While at Area 51, Billie was assigned an office in the Administration and Archives, level 6. Billie distinctly remembers reading a 35 page document on the discoveries of Our Hollow Earth by Admiral Richard E. Byrd, and before leaving the military recorded the exact coordinates of the north polar opening on a piece of paper Billie managed to take upon being discharged from the military. For the North Polar Opening, those coordinates are 87.7 N Lat, 142.2 E Lon. I have determined that these coordinates give the most correct estimate of the location of the North Polar Opening and supported by all the evidence I have been able to gather.

If we draw a line northeast of Franz Josef Land, and another northwest of Ellesmere Island in the direction the Crocker land mirage was sighted as described in Jan Lamprecht's book on Hollow Planets, the two lines meet at about 142.2 E Longitude and 87.7 North Latitude.

So let's analyze these new coordinates. From the center of the polar opening at these coordinates to the geographic pole is about 135 miles. So the geographic pole is actually somewhat within the polar opening.

Let's assume that the polar opening is symmetrical with a curving surface instead of being a straight hole through the planet. Since most of the earth's atmosphere is located in the first 45 miles from the surface, then perhaps the polar opening is twice that at it's smallest diameter. So we'll estimate a 90 mile wide polar opening at it's smallest diameter at it's "neck." That would place the span from the center of the polar opening to the periphery where the earth begins to curve into the opening at 890 miles. The North Geographic pole would be on the top rim of the perimeter, somewhat inside where the opening begins to dip into the polar hole. This would explain why Wally Herbert had some difficulty in pinpointing the exact geographic pole on his dog sled trek across the Arctic in 1969.


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In this drawing of the North Polar Opening, the thickness of the earth's shell is assumed to be 800 miles. If the earth's shell were any larger, say a thousand or 2,000 miles thick, the polar opening would be too big to be hidden in the Arctic Ocean. So the 800 mile estimate of the earth's shell thickness is a reasonable estimate. It is the estimate of the earth's shell thickness given by the Inner Earth Guide in ETIDORPHA and confirmed by Col. Woodard. The beginning of the curvature into the opening begins at 890 miles diameter. At the center of the polar opening, I am estimating the diameter to be 90 miles.

On a map, the perimeter would begin at about 784 miles from Point Barrow, Alaska and the center of the polar opening would be located at 87.7 N Latitude and 142.2 E Longitude (2.3 degrees from the pole). From Point Barrow, Alaska, the perimeter would begin at 784 statute miles and the inner continent, which I estimate to be located half way through the polar opening, at 1,413 miles. The direction from Point Barrow is a bearing of 2.3 degrees to the left of the geographic north pole. The direction to the North Pole can be determined at midnight during the spring and summer when the sun can be seen directly across the pole from Point Barrow.

This location for the polar opening would be consistent with the Soviet Flyers who flew north of the Kara Sea towards Alaska and were lost. This position is also consistent with the Soviet Ice Breakers who take tourists to the pole each year north of Franz Josef Land. This estimated location would place the opening on the Russian side of Amundsen's line of flight from the Pole to Alaska, and yet also be in the line of sight of the direction that Admiral Peary sighted the mirage of Crocker land from the west coast of Ellesmere Island in Northern Canada.


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L'auteur imagine qu'au niveau de l'ouverture polaire nord, la surface de la Terre s'incurve selon un demi-cercle. Personnellement, je crois que cette courbure serait plutôt ovale, mais admettons qu'elle soit demi-circulaire. Dans le modèle de Terre creuse, il n'y a plus de matière en-dessous de ce demi-cercle, donc rien qui puisse attirer l'eau de l'océan vers le bas. Par contre, au point le plus étroit de l'ouverture ("90 miles"), on est dans la même configuration que la Terre vue de l'espace, sauf que la "demi-planète" serait plus petite. 2-smile3 Le vecteur de forces gravitationnelles ne serait pas dirigé vers le centre de la Terre, mais serait parallèle à sa surface. Y-29 D'où l'idée que les océans suivraient "tranquillement" la courbure de l'ouverture. D'ailleurs, cela est corroboré par les témoignages de certains explorateurs comme l'Amiral Byrd de la Marine américaine en 1947 avec un co-équipier ou Jens et Olaf Jansen au XIXème siècle. Les quatre se sont retrouvés à l'intérieur de la Terre sans même s'en rendre compte car ils ont tout simplement suivi la surface de la Terre qui s'incurvait, par les airs pour les deux premiers, par la mer pour les deux autres. 0-icon_lol

Problème du poids
Es-tu d'accord que si en haut le poids est très élevé, il appuie jusqu'en bas... donc le bas doit également supporter ce poids. Le poids des roches à 2800 km de profondeur est certes nul, mais... ces roches supportent le poids des roches au dessus. Tu as déjà essayé de soulever une cathédrale ? ou une montagne ? Je pense que la roche en bas qui doit soutenir tout le poids doit forcément tomber... à moins que cette roche repose sur une roche qui repose sur une autre roche, et ce... jusqu'au centre de la terre.


Je suis très reconnaissant envers toi, car ça fait longtemps que j'attendais d'avoir un échange sur ce point précis avec quelqu'un pour confronter ce que j'ai imaginé à un avis extérieur. Y-16 Plus haut dans ce forum, j'ai évoqué l'image d'une brique posée au sol. Si tu la pousses, elle va se déplacer. Mais si tu juxtaposes cinquante briques en ligne, tu ne pourras pas les pousser, car les frottements avec le sol vont t'en empêcher. Par conséquent, je ne "crois" donc pas qu'il soit évident que les couches supérieures pèsent sur le manteau inférieur. Leur poids peut très bien être progressivement encaissé par la matière (je ne suis pas sûr d'être clair...), d'autant plus que celle-ci est solide et que la force exercée est répartie sur les côtés comme dans le cas de la clé de voûte de ma fameuse cathédrale qui me tient tant à coeur. Y-18 Concernant la solidité, je comprends que tu émettes des doutes sur la capacité d'une structure, même très solide, à supporter des forces gigantesques telles celles induites par la gravitation à de si grandes échelles. Mais je ne suis pas sûr qu'on puisse conclure aussi vite. Il faudrait nous confronter à d'autres avis. Selon la démonstration de Gauss, le poids du manteau ne serait pas seulement nul au point le plus bas, il serait aussi diminué de moitié, approximativement, au milieu de l'écorce de 2 800 km d'épaisseur. Y-37 C'est une donnée qu'il ne faut pas négliger dans notre réflexion.


Anton Parks n'est pas un scientifique. Ou alors c'est un excellent linguiste. Son ouvrage n'est pas un ouvrage scientifique. C'est un récit romancé, d'ailleurs assez captivant, où il est question d'une civilisation venue des Pléiades. La science aime les observations extérieures. Le récit de Parks se base sur une expérience intérieure. C'est dommage que ce soit si mal perçu. Je pense au livre "The Tao of Physics" où l'auteur tente de réconcilier deux approches, celle de la physique moderne et celle des philosophies orientales, qui montrent beaucoup de similitudes.

As-tu essayé de demander à quelqu'un en dehors de l'eau de parler, mais avec toi dans l'eau ? As-tu essayé de demander à quelqu'un de taper des mains dans l'eau, et essayer d'entendre le bruit en surface ?


Si je suis dans l'eau, je n'entendrai pas la personne à l'extérieur de l'eau. Si je suis à l'extérieur, je n'entendrai pas la personne taper des mains. Il faut en conclure quoi ? 0-icon_rolleyes
 #17591  par Rayon de soleil
 
Je voulais utiliser un logiciel pour ajouter des flèches sur le schéma qui précède, mais je n'y parviens pas. Je t'invite donc à prendre un papier et un crayon pour suivre ce qui va suivre.
Sur le dernier schéma (en allemand), je m'intéresse au demi-cercle de gauche. Je place dessus cinq points espacés d'un huitième de demi-cercle les uns des autres, en partant de là où est écrit "900 km" : A, B, D, E et F. F se situe donc tout en bas, là où commence la courbure convexe de la surface interne. D est au niveau le plus étroit de l'ouverture. Je note G le centre du cercle dont le demi-cercle que l'on voit est la moitié. Je note C le centre de la Terre. zh0125

Il me semble que nous avions tous les deux tort dans nos représentations car toi comme moi n'avons pris en compte que les influences gravitationnelles qui nous intéressaient et pas les autres. Toi, tu imaginais que le vecteur gravitationnel, que je note Vg, pointait systématiquement vers le "bas", verticalement, c'est-à-dire vers C. Moi, je croyais que Vg pointait systématiquement vers G, ce qui est tout aussi faux. En effet, il faut combiner nos deux versions pour faire une synthèse plus réaliste. 0-icon_arrowd 0-icon_arrowl 0-icon_arrowu 0-icon_arrow 0-icon_exclaim 2-ok

Voici ce à quoi pourrait ressembler Vg aux différents points :
- en A, il serait incliné de 5° vers la gauche par rapport à la verticale (j'utiliserai toujours le mot "vertical" dans le sens "dirigé vers C, le centre de la Terre"), et sa force serait de 100% ;
- en B, l'inclinaison serait de 30°, la force 75% ;
- en D, 45° et 50% ;
- en E, 60° et 25 % ;
- et en F, 180° et 0%. x-teacher

Ce qui me conduit à penser que dans cette configuration, même si on n'est pas dans le cas des chutes du Niagara, on aurait quand même un fort courant marin dirigé vers l'intérieur de la Terre, ce qui pose la question de savoir pourquoi dans ce cas les océans ne finiraient pas par se vider. 0-icon_mrgreen
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