Équation de tridimensionnalité universelle (identité d’Euler) :
L’imaginaire i est une valeur géométrique analgébrique :
L’imaginaire i fixe l’orthogonalité universelle.
La relativité de l’univers est : i²=-1
Les nombres négatifs n’existent pas naturellement : ils sont relatifs.
La paillette monodimensionnelle est :
Telle que :
Pour x=1 (segment unité), la force de l’imaginaire i correspond au vecteur numérique :
La condition existentielle de la monodimentionnalité est : 0 = 1 + i²
0 est la jonction entre l’imaginaire et le réel.
Dans un environnement de paillettes monodimensionnelles, vont se différencier des paillettes bidimensionnelles, puis tridimensionnelles.
La paillette bidimensionnelle caractéristique de l’imaginaire j est telle que :
La congruence des imaginaires fait s’associer les paillettes monodimensionnelles avec les paillettes bidimensionnelles.
La force de l’imaginaire j correspond au vecteur numérique :
Pour xy = 1, soit l’étude de la fonction : y = 1/x
L’aire unité est atteinte pour la valeur e.
La constante de Neper e apparaît comme le transcendant de la bidimensionnalité.
La condition existentielle de la bidimensionnalité est :
La paillette tridimensionnelle de l’imaginaire k se caractérise ainsi :
Toujours par congruence, les paillettes tridimensionnelles s’associent avec la structure bidimensionnelle formée par les paillettes des imaginaires i et j.
Pi est le nombre réel qui apparaît dans la formule de la dérivée de la fonction de e(x) qui est l'homomorphisme continu du groupe additif R sur le groupe multiplicatif U des nombres complexes de valeur absolue 1.
Le nombre d’Archimède Pi apparaît comme le transcendant de la tridimensionnalité.
La force de l'imaginaire k correspond au vecteur numérique :
A ce stade, la structure tridimensionnelle ressemble à un flocon orthonormé.
La force de l’imaginaire k va entraîner la rotation du plan formé par les imaginaires i et j (sens donné par : un i vers j) et constituer la première particule élémentaire discoïdale : un chronoton.
La structure tridimensionnelle de la particule est à l’espace ce que sa cinématicité est au temps. L’énergie cinématique fixe le seuil le plus bas des températures : la température absolue de 0°K.
L’imaginaire i est une valeur géométrique analgébrique :
L’imaginaire i fixe l’orthogonalité universelle.
La relativité de l’univers est : i²=-1
Les nombres négatifs n’existent pas naturellement : ils sont relatifs.
La paillette monodimensionnelle est :
Telle que :
Pour x=1 (segment unité), la force de l’imaginaire i correspond au vecteur numérique :
La condition existentielle de la monodimentionnalité est : 0 = 1 + i²
0 est la jonction entre l’imaginaire et le réel.
Dans un environnement de paillettes monodimensionnelles, vont se différencier des paillettes bidimensionnelles, puis tridimensionnelles.
La paillette bidimensionnelle caractéristique de l’imaginaire j est telle que :
La congruence des imaginaires fait s’associer les paillettes monodimensionnelles avec les paillettes bidimensionnelles.
La force de l’imaginaire j correspond au vecteur numérique :
Pour xy = 1, soit l’étude de la fonction : y = 1/x
L’aire unité est atteinte pour la valeur e.
La constante de Neper e apparaît comme le transcendant de la bidimensionnalité.
La condition existentielle de la bidimensionnalité est :
La paillette tridimensionnelle de l’imaginaire k se caractérise ainsi :
Toujours par congruence, les paillettes tridimensionnelles s’associent avec la structure bidimensionnelle formée par les paillettes des imaginaires i et j.
Pi est le nombre réel qui apparaît dans la formule de la dérivée de la fonction de e(x) qui est l'homomorphisme continu du groupe additif R sur le groupe multiplicatif U des nombres complexes de valeur absolue 1.
Le nombre d’Archimède Pi apparaît comme le transcendant de la tridimensionnalité.
La force de l'imaginaire k correspond au vecteur numérique :
A ce stade, la structure tridimensionnelle ressemble à un flocon orthonormé.
La force de l’imaginaire k va entraîner la rotation du plan formé par les imaginaires i et j (sens donné par : un i vers j) et constituer la première particule élémentaire discoïdale : un chronoton.
La structure tridimensionnelle de la particule est à l’espace ce que sa cinématicité est au temps. L’énergie cinématique fixe le seuil le plus bas des températures : la température absolue de 0°K.