Merci pour les schémas Quantique, c'est très parlant, ça facilite la compréhension.
Je voulais vérifier quelquechose suite à une citation lors d'un concert et je suis tombé sur ce site très intéressant sur les espaces euclidien et non euclidien :
http://www.prismeshebdo.com/prismeshebd ... rticle=810
Lisez attentivement le passage sur les miroirs "quantiques" c'est une probabilité de la lumière dans des espaces fractalisés. C'est depuis assez longtemps l'une des hypothèses que j'envisage et à laquelle je crois et qui me semble confortée par la Théorie de la Relativité d' Echelle.
Ce sont les questions que je me posais et ai soulevé dans le sujet sur "Le Temps de Planck" en cherchant si la singularité de l'inflation du Big Bang était comparable à celle du trou noir pour essayer de comprendre l'évolution de l' Univers sur lui-même, un Univers qui se recycle perpétuellement et dont le fini est quantique et le recommencement macroscopique. Ce sont les deux limites connues de notre Univers où s'effondrent les théories, le avant, le après ? Nous ne serions pas dans une perception d'un espace dans des termes "infini" mais un espace refermé sur lui-même.
Cet article me fait penser que ma réflexion n'est pas idiote car les quantas-espaces pourraient bien être de multiples singularités et la réalité du Cosmos. et que les rayonnements pourraient être déviés naturellement (comme l'expérience du cylindre masqué sur ce site qui devient imperceptible à nos yeux par un jeu de rayonnements cosmiques mais qui pourtant sont là, à côté de nous, invisibles.
Par conviction, je pense de plus en plus à un Univers fermé à plusieurs dimensions.
En appréhendant les théories fondamentales, attention, sans prétention à mon niveau, et en essayant de comprendre je trouve de plus en plus l'attitude d'Einstein assez "repliée sur lui-même" et je trouve cela très étonnant pour un savant qualifiée de "génie" du XIXème siècle, comme quoi, tout être humain même s'il est savant, pardonnez moi cette vulgarité, n'est jamais assis que sur son c... Il était assez hermétique aux idées des autres et peut être que sa fin de vie révèle cet hermétisme dont secrètement pour un homme intelligent il a bien du avoir conscience mais il ne pouvait pas faire volte face car il se serait saborder. Réfuter ou plus exactement ignorer l' idée d'une topologie différente de l' Espace, des espaces hyperboliques compacts et vouloir démonter la théorie quantique de Schrödinger, c'est une fin de vie triste pour ce savant qui, tout en croyant à un espace euclidien et infini démontrait qu'il avait lui aussi ses propres limites un être humain comme les autres même s'il s'appelait Einstein.
70 ans pour arriver à la conclusion (c'est pas encore fait non plus !) que Schrödinger et Nottale ont tracé une autre voie que celle d' Einstein qui est peut être bien la bonne, c'est un cher prix payé à la science mais en même temps une moralité à retenir : c'est que la vérité rejaillit tôt ou tard.