Bonjour,
Précédemment partisan de la Théorie de la Relativité, j'étais néanmoins gêné par
- la variabilité du temps (par exemple, que le temps ne s'écoule pas de la même manière que l'on soit à l'Equateur ou aux Pôles)
- l'invariance de la lumière (que la lumière nous arrive exactement à la même vitesse que la source lumineuse s'éloigne ou se rapproche de nous).
Si la théorie de Newton a été dépassée par celle d'Einstein, rappelons que 99% des problèmes, y compris spatiaux, sont encore résolus dans le cadre de la mécanique newtonienne. Cette mécanique (basée sur l'écoulement constant du temps et la "force" de gravitation) n'est donc peut-être pas à rejeter.
C'est pourquoi j'ai essayé de regarder s'il n'était pas possible de conserver la mécanique newtonienne en la faisant évoluer sur deux points qui n'étaient pas discernables à l'époque de son élaboration :
1) Si Newton avait distingué qualitativement la masse gravitationnelle de la masse inerte, il n'était alors pas possible de mesurer leur différence et il avait conclu à leur égalité numérique. C'est ainsi que je garde bien les 2 concepts de masse inerte et de masse gravitationnelle, mais en les reliant par le facteur de Lorentz γ
2) J'ai également supposé l'existence d'une limite asymptotique, notée 's', à peine supérieure (dans la limite de l'incertitude de mesure) à la célérité 'c' de la lumière dans notre référentiel.
Nous parvenons ainsi à de premiers résultats semblables à ceux prédits par la Théorie de la Relativité.
N'étant ni astrophysicien ni astronome, c'est un travail indépendant qui demande à présent d'être confronté à des avis externes et critiques (même si les articles ont été essentiellement publiés dans des revues à Comité de Lecture).
Je vous prie de ne pas chercher à me convaincre de la validité de la Théorie de la Relativité sur cette page dédiée aux Autres Théories, mais j'apprécierais que vous preniez simplement mes hypothèses pour vraies (par définition d'une hypothèse) afin de pouvoir m'indiquer dans la démonstration les erreurs de calcul ou le besoin de clarification ou les défauts d'argumentation.
Ainsi voici 2 liens sur le premier résultat, c'est-à-dire sur la démonstration du facteur de Lorentz sans supposer un temps variable :
- l'un ci-dessous vers une petite video, pour une première approche
- l'autre vers l'article (en anglais, sorry) pour ceux qui auraient la curiosité d'approfondir ce thème : "How to demonstrate the Lorentz factor: variable time vs. variable inertial mass"
En vous remerciant de votre attention et peut-être de vos prochaines remarques
[youtube]3Pktu7WmM1Y[/youtube]
Lien vers la video : https://www.youtube.com/watch?v=3Pktu7WmM1Y
Précédemment partisan de la Théorie de la Relativité, j'étais néanmoins gêné par
- la variabilité du temps (par exemple, que le temps ne s'écoule pas de la même manière que l'on soit à l'Equateur ou aux Pôles)
- l'invariance de la lumière (que la lumière nous arrive exactement à la même vitesse que la source lumineuse s'éloigne ou se rapproche de nous).
Si la théorie de Newton a été dépassée par celle d'Einstein, rappelons que 99% des problèmes, y compris spatiaux, sont encore résolus dans le cadre de la mécanique newtonienne. Cette mécanique (basée sur l'écoulement constant du temps et la "force" de gravitation) n'est donc peut-être pas à rejeter.
C'est pourquoi j'ai essayé de regarder s'il n'était pas possible de conserver la mécanique newtonienne en la faisant évoluer sur deux points qui n'étaient pas discernables à l'époque de son élaboration :
1) Si Newton avait distingué qualitativement la masse gravitationnelle de la masse inerte, il n'était alors pas possible de mesurer leur différence et il avait conclu à leur égalité numérique. C'est ainsi que je garde bien les 2 concepts de masse inerte et de masse gravitationnelle, mais en les reliant par le facteur de Lorentz γ
2) J'ai également supposé l'existence d'une limite asymptotique, notée 's', à peine supérieure (dans la limite de l'incertitude de mesure) à la célérité 'c' de la lumière dans notre référentiel.
Nous parvenons ainsi à de premiers résultats semblables à ceux prédits par la Théorie de la Relativité.
N'étant ni astrophysicien ni astronome, c'est un travail indépendant qui demande à présent d'être confronté à des avis externes et critiques (même si les articles ont été essentiellement publiés dans des revues à Comité de Lecture).
Je vous prie de ne pas chercher à me convaincre de la validité de la Théorie de la Relativité sur cette page dédiée aux Autres Théories, mais j'apprécierais que vous preniez simplement mes hypothèses pour vraies (par définition d'une hypothèse) afin de pouvoir m'indiquer dans la démonstration les erreurs de calcul ou le besoin de clarification ou les défauts d'argumentation.
Ainsi voici 2 liens sur le premier résultat, c'est-à-dire sur la démonstration du facteur de Lorentz sans supposer un temps variable :
- l'un ci-dessous vers une petite video, pour une première approche
- l'autre vers l'article (en anglais, sorry) pour ceux qui auraient la curiosité d'approfondir ce thème : "How to demonstrate the Lorentz factor: variable time vs. variable inertial mass"
En vous remerciant de votre attention et peut-être de vos prochaines remarques
[youtube]3Pktu7WmM1Y[/youtube]
Lien vers la video : https://www.youtube.com/watch?v=3Pktu7WmM1Y