Imaginez les effets d'une répulsion cosmique qui agirait à l'intérieur des étoiles et des planètes depuis leur formation.
Je vais peut-être vous faire l'effet d'un mec qui se prend pour un grand théoricien.
En réalité, je suis pleinement et terriblement conscient que le plus probable, c'est que ce petit post dans ce petit nouveau sujet timide tombe dans les oubliettes de l'Histoire, perdu au milieu d'énigmes mathématiques et d'astrams à la recherche du meilleur téléscope et de la plus belle photo d'étoiles ou de galaxies.
Mais bon, au moins j'aurais la conscience tranquille, j'aurais essayé de vous faire comprendre ce que j'imagine. En réalité j'avais une petite appréhension dans l'idée d'ouvrir un nouveau sujet. Mimata, l'administrateur de ce site, m'a rassuré dans un courriel :
L'effet de la gravitation, c'est un effet qui va de l'espace vers la Terre.
Un effet qui aurait donc une direction exactement inverse à celle de la répulsion cosmique de Georges Lemaître (analysée aussi par Jean-Pierre Luminet), qui elle aurait un effet qui irait de la Terre vers l'espace.
A une différence près, c'est qu'en réalité la répulsion cosmique n'agirait pas à la surface de la Terre. Ce serait pas l'endroit où elle crêche, son bar favori. Elle traînerait pas par là, quoi. Non, elle, ce qu'elle préfèrerait, c'est l'intérieur de la Terre, son centre, mais aussi le cœur de toutes les étoiles et de toutes les planètes de l'Univers.
On n'est pas loin d'une révolution en cosmologie, en astrophysique, en sciences en général en affirmant cela. Ce serait même un événement majeur dans l'Histoire de l'humanité, un basculement ! Mais en même temps, c'est un pauvre petit post de Rayon de soleil qui n'arrive pas à se faire comprendre sur un forum où traîne le soir 0, 000 000 001 % de la population mondiale...
Bongo va rétorquer, invariablement, qu'il est impossible que la répulsion cosmique "choisisse" d'agir ici plutôt que là, et hop ça aurait l'air vrai ce qu'il écrit et pfffuiiit, ciao salut les mecs, je vous ai prouvé par A + B que ça vaut rien, n'en parlons plus ça vaut pas la peine. Et qu'est-ce qu'on mange ce soir ?
Bongo, tu m'écris que la gravitation est un loi universelle, qu'elle a le même effet partout dans l'Univers. Mais en même temps, la gravitation a toujours des effets très localisés ! Ça se passe toujours du côté des planètes, des étoiles... En bref, là où il y a de la matière. Et regardons bien la répartition de la matière dans la Galaxie. Des espaces immensément vides, un infini noir et sans fin, et puis hop ! ho ! là ! toute petite ! une petite planète bleue, une petite bille, un petit bijou ... à vos microscopes !
Tu vois ce que je veux dire, non ? En théorie, oui, la gravitation est une de ces lois "universelles", valable partout. Mais en pratique, c'est très localisé, très focalisé. Une observation valable pour la gravitation mais aussi pour la répartition du magnétisme et de l'électricité dans l'espace, au niveau du système solaire, de la Galaxie et de l'Univers.
Pourquoi n'en serait-il pas de même avec la répulsion cosmique ? Pourquoi sa répartition dans l'espace ne serait-elle pas aussi inhomogène que la gravitation, le magnétisme et l'électricité ? On voit bien que tout ceci se concentre au niveau des axes de rotation des astres, là où on observe des "plumes" (pour les étoiles), des jets de matière ionisée qui dans le cas de Jupiter ont une longueur valant dix fois le diamètre de la planète.
N'existerait-il pas des "petites soeurs" de la Répulsion Cosmique qui agit à l'échelle de l'Univers ? Je mets ces majuscules pour la différencier des "petites" répulsions cosmiques qui seraient localisées au cœur des étoles et des planètes.
Imaginez les effets d'une répulsion cosmique qui agirait à l'intérieur des étoiles et des planètes depuis leur formation.
Je vais peut-être vous faire l'effet d'un mec qui se prend pour un grand théoricien.
En réalité, je suis pleinement et terriblement conscient que le plus probable, c'est que ce petit post dans ce petit nouveau sujet timide tombe dans les oubliettes de l'Histoire, perdu au milieu d'énigmes mathématiques et d'astrams à la recherche du meilleur téléscope et de la plus belle photo d'étoiles ou de galaxies.
Mais bon, au moins j'aurais la conscience tranquille, j'aurais essayé de vous faire comprendre ce que j'imagine. En réalité j'avais une petite appréhension dans l'idée d'ouvrir un nouveau sujet. Mimata, l'administrateur de ce site, m'a rassuré dans un courriel :
Sinon, je n'ai pas d'avis sur tout. Ce que je fais en tant que modérateur, c'est de contrôler que les échanges restent courtois, qu'ils respectent les règles du forum et que les avis des uns et des autres sont bien argumentés et ont des bases scientifiques. Autrement dit, je veille à ne pas diffuser de théories fumeuses, complotistes ou farfelues. J'essaie aussi d'éviter toute censure systématique et arbitraire.Je crois qu'il me faut clarifier un point (et pour être honnête, à la façon dont Mimata tu résumes le "problème", sans vouloir te vexer, je me dis que j'ai encore "du boulot"). Peu m'importe la nature de la gravitation : attraction ou poussée, répulsive ou attractive, courbure de l'espace-temps etc. Ce qui m'importe, c'est l'effet observable de la gravitation : elle fait tomber les pommes sur Sir Isaac Newton, et elle nous fait rester les pieds sur terre, en plus d'être assez pratique dans le milieu du bâtiment, des transports, de l'agriculture etc. Bref c'est un truc assez connu et assez visible, même si on oublie souvent "qu'il y a une force" qui nous maintient au sol, même si tout ceci donne une impression d'évidence... cosmique.
Pour ce qui est de savoir si la gravitation est une force répulsive ou attractive, si on considère qu'il s'agit d'une courbure de l'espace-temps, alors ce n'est ni l'une ni l'autre il me semble car finalement ce n'est pas une force qui s'exerce sur le objets massifs mais une force qui déforme d'espace-temps.
La gravitation est une notion relativiste, qui dépend de l'observateur. Si on a un mouvement rectiligne uniforme et qu'on mesure la masse d'un objet en chute libre, il semblerait, d'après les expériences, que la gravitation disparaît. Un corps en chute libre, ou en impesanteur, ne pèse plus rien...
L'effet de la gravitation, c'est un effet qui va de l'espace vers la Terre.
Un effet qui aurait donc une direction exactement inverse à celle de la répulsion cosmique de Georges Lemaître (analysée aussi par Jean-Pierre Luminet), qui elle aurait un effet qui irait de la Terre vers l'espace.
A une différence près, c'est qu'en réalité la répulsion cosmique n'agirait pas à la surface de la Terre. Ce serait pas l'endroit où elle crêche, son bar favori. Elle traînerait pas par là, quoi. Non, elle, ce qu'elle préfèrerait, c'est l'intérieur de la Terre, son centre, mais aussi le cœur de toutes les étoiles et de toutes les planètes de l'Univers.
Imaginez les effets d'une répulsion cosmique qui agirait à l'intérieur des étoiles et des planètes depuis leur formation.
On n'est pas loin d'une révolution en cosmologie, en astrophysique, en sciences en général en affirmant cela. Ce serait même un événement majeur dans l'Histoire de l'humanité, un basculement ! Mais en même temps, c'est un pauvre petit post de Rayon de soleil qui n'arrive pas à se faire comprendre sur un forum où traîne le soir 0, 000 000 001 % de la population mondiale...
Bongo va rétorquer, invariablement, qu'il est impossible que la répulsion cosmique "choisisse" d'agir ici plutôt que là, et hop ça aurait l'air vrai ce qu'il écrit et pfffuiiit, ciao salut les mecs, je vous ai prouvé par A + B que ça vaut rien, n'en parlons plus ça vaut pas la peine. Et qu'est-ce qu'on mange ce soir ?
Bongo, tu m'écris que la gravitation est un loi universelle, qu'elle a le même effet partout dans l'Univers. Mais en même temps, la gravitation a toujours des effets très localisés ! Ça se passe toujours du côté des planètes, des étoiles... En bref, là où il y a de la matière. Et regardons bien la répartition de la matière dans la Galaxie. Des espaces immensément vides, un infini noir et sans fin, et puis hop ! ho ! là ! toute petite ! une petite planète bleue, une petite bille, un petit bijou ... à vos microscopes !
Tu vois ce que je veux dire, non ? En théorie, oui, la gravitation est une de ces lois "universelles", valable partout. Mais en pratique, c'est très localisé, très focalisé. Une observation valable pour la gravitation mais aussi pour la répartition du magnétisme et de l'électricité dans l'espace, au niveau du système solaire, de la Galaxie et de l'Univers.
Pourquoi n'en serait-il pas de même avec la répulsion cosmique ? Pourquoi sa répartition dans l'espace ne serait-elle pas aussi inhomogène que la gravitation, le magnétisme et l'électricité ? On voit bien que tout ceci se concentre au niveau des axes de rotation des astres, là où on observe des "plumes" (pour les étoiles), des jets de matière ionisée qui dans le cas de Jupiter ont une longueur valant dix fois le diamètre de la planète.
N'existerait-il pas des "petites soeurs" de la Répulsion Cosmique qui agit à l'échelle de l'Univers ? Je mets ces majuscules pour la différencier des "petites" répulsions cosmiques qui seraient localisées au cœur des étoles et des planètes.
Imaginez les effets d'une répulsion cosmique qui agirait à l'intérieur des étoiles et des planètes depuis leur formation.
Les messages écrits ne sont pas des paroles. Ce sont des possibilités de paroles. Les paroles seules ont le pouvoir de décrire, de transformer et de redéfinir la réalité.