• Lee Smolin et processus du mouvement de l'information

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #4958  par JPJ41
 
@ manuelarm

J'ai toujours fait l'effort de contre-argumenter pour répondre à vos interrogations.
Vous ne faites pas ce même effort en retour (problème de politesse), et ressassez toujours vos classiques.
J'abandonne, problême incontournable d'incommunicabilité.
Je vous prie de m'excuser.
Cordialement JP

@ GAIA

Je n'interviens pas sur les tachyons le temps que je cherche à les rencontrer dans la littérature.
J'espère que le bouquin (remarquable) de Smolin que je lis actuellement va m'apporter des réponses à ce sujet (comme il en apporte à mon argumentation sur ce fil).
 #4965  par quantique
 
JPJ41 : je ne vois pas un manque de courtoisie de manuelarm sur le sujet ; il a ses positions et les posts ne doivent pas nécessairement être un ping pong permanent à coup d'argumentaire contradictoire ; de plus, sur ce genre de sujet, c'est une boucle inévitablement sans fin car on arrive forcément à émettre, de part et d'autre, des hypothèses sans véritable fondement : récursivité garantie.

Pour ma part, ta théorie me semble intéressante et cohérente sous divers aspects, en fait, elle se base sur l'apparition du discret (tes cubes) à un certain niveau ; l'approche versus RG est par contre à prendre avec des pincettes en raison de l'incompatibilité entre le RG et le quantique, domaine que tu frôles avec les dimensions de Planck. Les effets de la RG se manifestent dans des ordres de grandeur bien différents.

Ensuite, n'oublions pas qu'une particule, disons un photon (toujours lui pris comme exemple comme le chat pour les expériences macros...) va subir un nombre incalculable de réactions durant son voyage : en raison de l'effervescencen quantique, que tu juges sans effet, il est en permanence la proie de créations / annihilations de particules (électrons, positons, etc.) dites virtuelles (mais réelles, trop long à expliquer ici) sachant qu'au final, le solde énergétique, vis à vis du photon, reste constant et le photon redevient toujours un photon.

Ce dernier point est intéressant car cela signifie qu'une énergie en déplacement (un photon) qui a la valeur disons 10 va "avancer" dans un océan d'énergie similaire dont chaque goutte a une valeur énergétique aléatoire : 23, 1000 , -47, etc.) mais au final, l'énergie de valeur 10 sera toujours là, son information a été conservée malgré ses incessantes interactions.

Enfin, quand on parle de vitesse, on ne parle en fait que d'une division, espace par le temps ; sachant que ces 2 derniers sont deux facettes d'un même concept et, sachant que l'on peut aisément définir l'espace mais pas le temps (définir ce qu'est le temps sans faire référence à l'espace et ce qu'il contient est impossible), on peut considérer le temps comme inexistant en tant qu'entité réelle et donc la vitesse ne reste que le constat d'un écart de coordonnées de positions (x,y,z) si l'on veut rester dans un "simple" espace 3D, coordonnées dans un espace dynamique donc en mouvement (mais sans notion de vitesse).

Le concept n'est pas très simple à expliquer dans un post... :?
 #4967  par quantique
 
Manuelarm : je te déconseille de suivre le marché en même temps que de poster sur ce site, un collègue à toi à fait la même erreur dernièrement dans une banque !!

Sinon, tu risques aussi de lancer une OPA sur Planete Saturn :D
 #4969  par JPJ41
 
quantique a écrit :
Pour ma part, ta théorie me semble intéressante et cohérente sous divers aspects, en fait, elle se base sur l'apparition du discret (tes cubes) à un certain niveau ; l'approche versus RG est par contre à prendre avec des pincettes en raison de l'incompatibilité entre le RG et le quantique, domaine que tu frôles avec les dimensions de Planck. Les effets de la RG se manifestent dans des ordres de grandeur bien différents.

Ensuite, n'oublions pas qu'une particule, disons un photon (toujours lui pris comme exemple comme le chat pour les expériences macros...) va subir un nombre incalculable de réactions durant son voyage : en raison de l'effervescencen quantique, que tu juges sans effet, il est en permanence la proie de créations / annihilations de particules (électrons, positons, etc.) dites virtuelles (mais réelles, trop long à expliquer ici) sachant qu'au final, le solde énergétique, vis à vis du photon, reste constant et le photon redevient toujours un photon.

Ce dernier point est intéressant car cela signifie qu'une énergie en déplacement (un photon) qui a la valeur disons 10 va "avancer" dans un océan d'énergie similaire dont chaque goutte a une valeur énergétique aléatoire : 23, 1000 , -47, etc.) mais au final, l'énergie de valeur 10 sera toujours là, son information a été conservée malgré ses incessantes interactions.
Le photon reste un photon, mais ce n'est pas lui qui le décide, ni ses voisins immédiats, qui sont aussi nunuches que lui, sinon ce serait la pagaille.
C'est le cube qui l'autorise à repartir avec ou sans perte, selon une loi immuable bien précise, car le cube est informé de la présence et de la nature des voisins immédiats.
Je rend le cube responsable de l'application sans faille de LA LOI, et de "relacher" les particules en fonction de cette loi, absorbant de l'énergie ou en injectant, au contraire.
Le cube gère donc de l'énergie, à chaque temps de Planck, en redistribution.
Il en profite pour stocker l'opération effectuée et les parties en cause, comme microsoft ou google via des cookies, pour son plaisir personnel ;-)
Sous quelle forme, cette énergie, dans le cube, je ne sais, mais en tout cas, les ondes quantiques sont reconstituées avec leur valeur correcte, pour l'étape suivante de Planck (rôle de modem intelligent, avec mémoire du passé, pour rendre compte, à qui ?)

C'est un peu comme si, sous le billard du coin, quelque chose décidait de la quantité de mouvement et du spin réalloués à chaque boule dans le carambolage.
 #4972  par quantique
 
Ouais, cela sent l'Univers-programme tout ça :;-): ; reste à élucider ce dont les bits sont faits...

2ème question : est-ce que ce fonctionnement "cubique" (ou Kubrick !!) est du type domino : on donne une configuration figée au départ avec des règles puis on appuie sur la touche "Execute" et tout s'enchaine suivant "la loi" ou bien une part de hasard qui ne doit pas être un constat d'ignorance mais bien un hasard pur (sachant que le hasard pur ne peut s'expliquer que par une décision "intelligente" ou "volontaire" de choisir au hasard, si ce n'est pas volontaire, c'est que l'on est nécessairement dans une relation de cause à effet donc sans hasard)
 #4975  par JPJ41
 
Le hasard, c'est peut-être quand un cube est débordé de travail et qu'il n'a pas le temps de tout faire, alors il relâche au hasard, dans les trous noirs, par exemple.
Ou alors, lorsqu'un cube "pète" et laisse tout passer ("A la grâce de Dieu", comme certains disent).
Comme quoi, rien n'est parfait en ce bas monde !

Pourquoi disiez-vous auparavant ?
"l'approche versus RG est par contre à prendre avec des pincettes en raison de l'incompatibilité entre le RG et le quantique, domaine que tu frôles avec les dimensions de Planck. Les effets de la RG se manifestent dans des ordres de grandeur bien différents."
La longueur de Planck n'est elle pas égale au produit de c par le temps de Planck ? ou bien est-ce autre chose ?
Dernière modification par MIMATA le mardi 5 février 2008 à 21:33, modifié 2 fois. Raison : Suppression de la citation car l'ensemble du message précédent était cité. Utiliser simplement la fonction "répondre" dans ce cas là.
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