• matière noire et champs de l'univers observable

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #50540  par moijdikssekool
 
C'est une espèce de gymnastique intellectuelle
je me place dans un cadre où l'on fait l'hypothèse du discontinu, pas celle du continu
Avec un électron et un photon ponctuels, on ne risque pas de les sonder
elles sont des solitons (ondes stationnaires non linéaires) d'espace-temps.
Il n'y a rien d'élémentaire à décrire un électron au travers d'une onde, il faut clairement creuser d'avantage, chercher l'élémentarité qui permettrait par exemple d'arriver à cette description
 #50541  par externo
 
Il n'y a rien d'élémentaire à décrire un électron au travers d'une onde, il faut clairement creuser d'avantage, chercher l'élémentarité qui permettrait par exemple d'arriver à cette description
Tu étudies cet article et tu auras l'élémentarité qui permet d'arriver à cette description dans un milieu hydrodynamique et simplifié.
https://arxiv.org/pdf/1401.4356

Tu étudies celui-ci et tu auras une première idées des conséquences physiques et cosmologiques que ça peut impliquer :
https://web.archive.org/web/20121221090 ... -particle/
 #50545  par externo
 
La théorie Cl(0,3) explique l'expansion cosmique donc la matière noire ainsi :
La particule transfère une partie de l'énergie entrante des ondes de l'éther en énergie magnétique de spin et retourne le reste sous forme électrique. Ce déficit entre ce qui entre et ce qui sort est la gravité qui est un gradient d'énergie vers la masse. L'énergie de spin arrive avec un retard de réponse, se disperse et est la cause de l'expansion.
 #50546  par moijdikssekool
 
Ce déficit, gravité expansion
Il explique l'ordre de grandeur du rapport électromagnétique/gravitationnel, environ 1E40, en le calculant ou il faut introduire ce paramètre? On retrouve a0, que ce soit sous la forme de MOND avec une accélération normalisée a/a0, ou sous la forme de l'accélération associée à V0 obtenue dans la représentation de l'univers sous forme de demi-ligne? Peut on calculer H0, le taux d'expansion?

Pour ma part, le rapport 1E40 doit s'expliquer en disant que l'interaction gravitationnel est un écho de l'interaction électromagnétisme, tel un effet de second ordre. Notre univers observable renferme 1E80dimensions (1dimension par particule minimum), regroupées et formant les vecteurs de base de notre géométrie macroscopiques.
Tel un reflet sur un 'miroir' constitué de 10E80dimensions, on aurait à priori un rapport 1E80 plutôt que 1E40
Pour expliquer qu'il faut prendre la racine carrée, il faut considérer que le temps s'écoule en t²: dans un référentiel dans lequel le temps s'écoule 2fois plus vite, une force appliquée pendant Xsec équivaut à une force 2fois plus faible dans le référentiel statique, puisqu'appliquée pendant 2Xsec; tout ça pour dire qu'il faut donc prendre la racine de 10E80
En effet, la vrai référence temporelle est le temps que met l'univers observable pour doubler de taille (en partant de h=10E-35m pour arriver à R=13.8Mdal, l'univers double de taille à peine 200fois. Pour une fois, il existe un chiffre cosmologique dont le nombre de zéros ne s'envole pas!). A notre échelle, le temps est linéaire mais en fait c'est une évolution approximative d'une 'évolution parabolique' témoignant que l'univers ne gonfle pas linéairement, il faudra un jour resynchroniser nos horloges, même si l'univers ne nous dit pas quand il double de taille (c'est toujours pareil, dans un référentiel, on ne peut sentir l'évolution temporelle qu'en constatant que les autres ont accéléré ou ralenti, et dans notre cas, il n'y a qu'un seul temps cosmologique, dont l'incrément est vraisemblablement le temps de Planck, le temps que notre géométrie locale gagne 1nouvelle dimension, c'est à dire l'épaisseur du cri de la dernière particule en date nouvellement visible par nos instruments, et donc acquise par l'univers observable). Enfin, il faut s'entendre sur la taille: le nombre d'atomes que contient notre univers observable (à priori), ou alors son rayon, la surface de l'horizon (après tout les nouvelles particules visibles y apparaissent) ou son volume. Notre perception du temps est encore quelque peu arbitraire, on verra bien, on n'est pas à des puissances près de 2, de 3, leur opposé, leur rapport dans les équations fonction du temps
Sur le modèle de l'écho, l'interaction des particules naissantes de l'univers s'est propagée sur 14Mdal, son écho est détectable à partir de 7Mdal (qui a mis 7Mda à nous parvenir, émis par l'horizon cosmologiste quand l'univers était âgé de 7Mda, on le reçoit aujourd'hui parceque 7+7=14), distance en deçà de laquelle on distingue l'énergie noire. A tout âge X de l'univers observable, de taille X.c, ce ressac est détectable par nos instruments jusqu'à X.c/2, le comportement observable de l'univers observable se distingue suivant qu'on l'observe avant ou après X.c/2
Quand à l'expansion, il n'y a besoin de rien de bien compliqué, il suffit de faire R/c pour obtenir H0, R = 13.7Mdal, 13.7Mda étant l'âge de l'univers (mesuré à l'aide des étoiles 'Mathusalem')

Si tu me dis que Cl(0,3) permet d'arriver à ces conclusions, ça m'intéresse! De mon côté, l'hypothèse du discontinu me parait nécessaire, est-elle introduite dans la théorie?
 #50547  par moijdikssekool
 
bon, j'avoue, je ne suis pas hyper satisfait de cette histoire de racine carrée, j'ai plutôt des puissances de 2 que des puissances 2.. Ceci dit, j'explique que les dimensions sont localement couplées par symétries, si on caractérise une surface élémentaire constituée de dimensions couplées, sur laquelle se fait l'écho, son effet est alors, plus naturellement, une racine carrée
En tout cas, il faudra un jour tenir compte du rythme de croissance de l'univers, rythmé par un doublement de taille à la vitesse de la lumière, le temps cosmologique a d'avantage un profil parabolique que linéaire
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