• matière noire et champs de l'univers observable

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #50700  par moijdikssekool
 
Bon, je crois qu'on a fait les présentations
Donc, voyons ce qu'on a: une ligne brisée, en gros elle est tordue en chaque point, et avec l'hypothèse du discontinu, ces points sont des packs avec au moins un vecteur et une symétrie, un pack du genre 1+(-1)=0. Si vous avez d'autres idées pour dire que l'univers est parti de rien, faites-vous plaisir. A cette ligne on peut tout de suite lui coller sa version imaginaire (i²=-1), avec laquelle est est couplée. Bon, là, faut faire un peu de gymnastique géométrique, du genre sphère de Bloch. Ah oui, on vous avait pas dit, mais dans une sphère de Bloch, les états que l'on représente opposés, <↑> et <↓>, dans cette sphère, ils sont dit orthogonaux, en fait. La représentation sous forme 3D est donc trompeuse, c'est pas toujours précisé et c'est bien dommage! En tout cas, cette géométrie joue sur les orthogonalités et les opposés, et ça, on ne va pas l'oublier! Faut donc s'imaginer une sphère avec une moitié côté réel, l'autre côté imaginaire. Et bien sûr en dimension n, sinon ça serait pas drôle. Petit cadeau, quand même: n<N, bon, N augmente avec le temps, on notera N++, il est incrémenté régulièrement. Ca c'est le signal lancé dans la tuyauterie hein, le signal fait des pings voire même des pongs dans les coins, et ça, ça remet en place les coudes, ça leur donne une dimension supplémentaire, une sorte de rotation élémentaire, puisque quand on reçoit un vecteur orthogonal dans la gueule, on 'tourne à 90°', et puis donc ce tuyau est envahi de toujours plus de signaux, toujours plus nombreux, toujours plus faibles, la géométrie, les piongs (oui, il faut savoir être inclusif, jusqu'à l'extrême particule de poil d'acariens s'égayant sur l'extrême bout du bouts des ongles) y compris
Dans cette tuyauterie, les coudes forment dorénavant des angles en apparence continue (c'est quourpoi on se dit qu'on peut faire l'hypothèse du continu, à tort donc) si l'unité de temps est plus longue (à notre échelle de tous les jours, pas moyen), par exemple à l'échelle de la seconde, je ne crois pas qu'on puisse déceler un phénomène quantique, à part par la pensée donc. Dans cette théorie du tuyau, se propagent ensemble les signaux originaux et leur écho, voire leurs écho de second ordre, chaque coude du réseau dessiné originellement par la ligne se repositionne par rapport aux autres, enfin sur une distance finie, de taille N++. Bon, ça c'est une vue de l'extérieur façon Zeus qui regarde les effets de l'éclair qu'il a déclenché, en un instant, au top chrono, mais nous, nous sommes au milieu de notre univers observable, chacun a le sien si on peut dire, on partage quand même un bon morceau de géométrie, on a un certain nombre de dimensions en commun, la quasi totalité, en fait. Attention, quand on a un chiffre comme 1E80 et qu'on le compare à 1E81, on voit un facteur 10 apparaître: ces gros chiffres peuvent paraître ubuesques à manipuler, mais ils peuvent très bien s'effacer et ne laisser apparaître que des valeurs 'à portée de main', désormais à portée d'outils de plus en plus précis. Donc, faut pas trop s'effrayer, à la fin on arrive à la théorie de la banane
En gros, un photon, quand il se déplace dans ce tuyau moulti-dimensionnel, il réussit à la fois à se déplacer en ligne droite et de 'façon sphérique': pour donner une image de la trajectoire d'un photon, on peut s'imaginer un photon en ligne droite, et des miroirs placés le long de sa trajectoire où l'on verrait son reflet. Ce reflet est en fait ce photon, il parcourt chaque miroir avec la même régularité , quelque soit l'"inclinaison" des miroirs. Cette performance vient du fait qu'une rotation élémentaire (le parcours d'un miroir, on peut prendre l'image du rouage) est constante, un peu comme quand on calcule une projection, le temps de calcul est toujours le même quelque soit l'angle du vecteur à projeter. Enfin, on peut aussi dire qu'une telle projection est une addition de N éléments, tel le développement limité de cosinus, il y a toujours N éléments, donc le 'temps de calcul' est toujours le même. Le fait que ces rotations soient élémentaires est important, il n'y a pas à faire d'"additions" avec des termes en plus ou moins grand nombre. Bon, sauf quand un photon se brise et qu'il laisse apparaître des particules, mais c'est une autre histoire
On a juste l'impression qu'un photon se déplace en ligne droite à vitesse constante, en tout cas les deux représentations semblent équivalentes. Dans la réalité, ces miroirs ne sont pas placés le long d'une ligne droite, mais de 'façon sphérique': quand un photon est émis, on ne sait pas dans quelle direction, sa propagation est dite sphérique, il passe de la surface sphérique de rayon R à la surface R+dr en passant par deux points (pas quelconques, le photon a un trajet à effectuer) en un temps constant, même si, dans notre représentation, ces points sont diamétralement opposés, d'où cette description de propagation sphérique avec un trajet final en apparente ligne droite
Et avec ça, ça devient facile d'expliquer le redshift: quourpoi on observe aujourd'hui 80MHz alors qu'on s'attend à 100MHz? Facile, ce n'est qu'une histoire de projection, d'une géométrie passée, plus grossière, sur une géométrie future, plus fine. Une énergie, c'est comme une accumulation de diagonales entre vecteurs orthogonaux, il voyage dans une géométrie qui se modifie lors de son trajet, mais il ne peut profiter des nouvelles dimensions. A l'arrivée, quand il se fait attraper par un électron, il se fait contorsionner à la sauce électronique, mouliné qu'il sera par les symétries de l'électron, sa mécanique, il pourrait en ressortir projetable dans la géométrie actuelle, matrixé par le dit électron, mais pas avec plus de phases qu'il n'en avait avant le moulinage

Donc, voilà, facile. Et je vais même vous dire que c'est forcément comme ça que ça se passe, parceque tout ce que je fais c'est projeter l'état d'une particule sur toutes les autres, en tenant compte de la distance, des échos sur la base de la rétro-action qui définit pour moitié le principe d'interaction, et ce sur un rayon d'action de taille finie. Il y a des symétries, ça on s'y attend, de pied ferme même, et même encore des symétries élémentaires. Et quand on dit élémentaire, on ne lésine pas, on va jusqu'au bout, on enlève tout ce qu'on peut, à la fin, on obtient forcément un squelette, définit localement, et avec une curiosité qui tombe à point: si l'on considère une droite dirigée par le vecteur U=Σuk, k variant de 1 à l'infini, tel que les vecteurs uk soient de norme identique, la normalisation |U|=1 implique que tous les uk soient nuls. En somme cette droite, et sa consœur imaginaire, est aussi représentable par un point. Donc, du point de vue mathématique, cette droite-point, constituée localement par uk, mis bout à bout, a la possibilité d'exister, d'apparaître d'un coup, toute infinie qu'elle est. Elle est un peu singulière, mais bon, quourpoi pas!
Dernière modification par moijdikssekool le jeudi 20 novembre 2025 à 17:28, modifié 5 fois.
Dick a approuvé ça
 #50701  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : mercredi 19 novembre 2025 à 22:21 jeparlais du coeff de Lorentz.
Ils le savent déjà, les physiciens ont leurs explications, et on est encore dans un modèle, hein, on va pas leur en vouloir qu'ils aient leur explication.
C’est le but de la science, celui d’élaborer un modèle, qui explique un phénomène, aussi bien en chimie, en médecine, en physique et autres sciences, hein!
Le coefficient de Lorentz explique la variation de la longueur d’onde perçue par rapport à celle qui est émise au second degré de la vitesse, celle au premier degré de la vitesse est expliquée par ’effet Doppler. Tu confonds le coefficient de Lorentz avec l’effet Doppler.
Dernière modification par Dick le samedi 29 novembre 2025 à 12:30, modifié 2 fois.
 #50708  par bongo
 
J'ai toujours pas lu ce que vous écrivez, mais je poste ça :
https://fr.euronews.com/next/2025/11/27 ... galactique

Apparemment dans les données de Fermi, on détecte un pic à 20 GeV de photons gamma, compatibles avec une annihilation de particules de matière noire de masse 500 GeV vers le centre galactique.
 #50709  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : vendredi 7 novembre 2025 à 15:13
Dans la représentation actuelle, la matière s'enfuit au delà la vitesse c au delà de l'horizon, toute la matière sous l'horizon tend vers la vitesse c avec le temps. Selon moi, le 'front d'onde' de notre univers observable, l'horizon, s'étend, il se déplace sphériquement en englobant toujours plus de nouvelle matière provenant de l'univers, de la matière passe régulièrement [d’au-delà] de l'horizon à en deçà de lui.
Incroyable!
Dans les deux cas, les infinis sont loin, en dehors de l'univers observable en tout temps, l'univers pourrait être fini ou infini, peu importe. Alors que toi tu en fais une hypothèse, non prouvable.
c’est le propre d’une hypothèse
Proposition relative à l'explication de phénomènes naturels, admise provisoirement avant d'être soumise au contrôle de l'expérience.
tu ferais mieux de faire profil bas, suppose que ce qui est à l'infini est nul ou négligeable, et ensuite regarde s'il y a vraiment besoin des infinis, [rasoir] d'Ockham oblige!
Les infinis existent déjà en mécanique classique! Les distances et les vitesses infinies y sont incluses! Il n’ y a pas besoin de les réintroduire.
 #50712  par moijdikssekool
 
Incroyable!
ouaip, on peut avoir un univers qui répond à la définition d'un univers statique, mais sans l'être du fait de l'évolution de la géométrie
c’est le propre d’une hypothèse
exact, et comme l'infini n'est pas observable, elle n'est pas vérifiable, dommage...
Les infinis existent déjà en mécanique classique! Les distances et les vitesses infinies y sont incluses! Il n’ y a pas besoin de les réintroduire.
les infinis apparaissent dans les calculs, et ils sont ignorés, nuance
 #50713  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : lundi 1 décembre 2025 à 11:08 ouaip, on peut avoir un univers qui répond à la définition d'un univers statique, mais sans l'être du fait de l'évolution de la géométrie.
Ouaip! Ça s’appelle une tautologie. L’évolution de l’univers fait que l’univers ne peut pas être statique, donc il n’est pas statique.
c’est le propre d’une hypothèse
exact, et comme l'infini n'est pas observable, elle n'est pas vérifiable, dommage...[/quote] Par définition, une hypothèse n’a pas besoin d’être vérifiable pour être admise, c’est le résultat de cette hypothèse qui doit être vérifiée!
Les infinis existent déjà en mécanique classique! Les distances et les vitesses infinies y sont incluses! Il n’ y a pas besoin de les réintroduire.
les infinis apparaissent dans les calculs, et ils sont ignorés, nuance[/quote] ils ne sont pas car la mécanique newtonienne suppose un espace euclidien, isomorphe à R^6, à R^3 en ce qui concerne les distances et à R^3 également en ce qui concerne les vitesses.
  • 1
  • 73
  • 74
  • 75
  • 76
  • 77