hello
j'ai fait un petit calcul pour estimer le champs gravitationnel de l'univers observable afin de le comparer à celui d'une galaxie. Un calcul très approximatif, je préviens
Pour le premier, considérons 2E12galaxies, je les place sur une sphère de demi horizon (7Mdal de rayon)
Pour le deuxième, considérons le champs à 10kal du centre, c'est la distance à partir de laquelle la matière noire est supposée interférer avec la matière ordinaire, distance à partir de laquelle on devrait observer une décroissance képlérienne de la vitesse orbitale des étoiles
(illustration)
On a donc le rapport 1 galaxie pour un rayon² de (10kal)² = 1E8al² contre 2E12galaxies pour R²=(7Mdal)²=5E19al² soit 1 pour 2E7al², ce qui signifie que le champs de l'univers observable est 5fois plus fort que celui d'une galaxie à 10kal de distance
Ce champs est constant, il pourrait donc expliquer la vitesse constante au bord des galaxies, ainsi que l'absence d'indices indiquant une forte concentration de MN du halo de MN au cœur des galaxies (conf de Combes, p35). Et comme nous nous trouvons à 26kal du centre, nous sommes dans un référentiel qui serait donc partagé entre celui de la galaxie et celui de l'univers observable, ce qui confirmerait que lorsque l'on mesure la matière noire de notre propre galaxie, on en observe moins (on mesure une décroissance képlérienne affublée d'un décalage de ~35kal, cf https://astronoo.com/fr/articles/la-nou ... laxie.html ). Si nous nous trouvions au bord de la voie lactée, sans doute trouverions-nous que les étoiles du disque tournent trop lentement
Du coup, je me demande si le champs de l'univers observable n'est pas tout simplement celui de la matière noire, s'il n'a, à force d'être négligé, pas été oublié en tant qu'hypothèse... L'a-t-on jamais faite? Certes mon calcul est grossier (il faudrait refaire le calcul pour l'univers observable avec des galaxies éparses, et estimer le champs d'une galaxie en son sein (sans MN donc), j'ai supposé ici une masse ponctuelle), mais l'a-t-on jamais affiné? Je pense que que ce résultat, 5, n'est notamment pas bon, il est probablement plus proche de 1, pour signifier que l'effet MN commence à se voir à 10kal et devient prépondérant à mesure que l'on s'éloigne. Dans l'idée, quand l'on se trouve entre deux galaxies distantes pour étudier leurs interactions, l'on se trouve au milieu d'autres galaxies et l'hypothèse de relativité permettant de supprimer l'interaction de l'univers observable, commune aux deux galaxies, s'en trouverait altérée, ce qui ne serait pas surprenant car un champs gravitationnel permet, en fait et surtout, de modifier l'écoulement local du temps
Si personne ne trouve d'infos sur de précédentes études, je propose qu'on affine ici les calculs!
j'ai fait un petit calcul pour estimer le champs gravitationnel de l'univers observable afin de le comparer à celui d'une galaxie. Un calcul très approximatif, je préviens
Pour le premier, considérons 2E12galaxies, je les place sur une sphère de demi horizon (7Mdal de rayon)
Pour le deuxième, considérons le champs à 10kal du centre, c'est la distance à partir de laquelle la matière noire est supposée interférer avec la matière ordinaire, distance à partir de laquelle on devrait observer une décroissance képlérienne de la vitesse orbitale des étoiles
(illustration)
On a donc le rapport 1 galaxie pour un rayon² de (10kal)² = 1E8al² contre 2E12galaxies pour R²=(7Mdal)²=5E19al² soit 1 pour 2E7al², ce qui signifie que le champs de l'univers observable est 5fois plus fort que celui d'une galaxie à 10kal de distance
Ce champs est constant, il pourrait donc expliquer la vitesse constante au bord des galaxies, ainsi que l'absence d'indices indiquant une forte concentration de MN du halo de MN au cœur des galaxies (conf de Combes, p35). Et comme nous nous trouvons à 26kal du centre, nous sommes dans un référentiel qui serait donc partagé entre celui de la galaxie et celui de l'univers observable, ce qui confirmerait que lorsque l'on mesure la matière noire de notre propre galaxie, on en observe moins (on mesure une décroissance képlérienne affublée d'un décalage de ~35kal, cf https://astronoo.com/fr/articles/la-nou ... laxie.html ). Si nous nous trouvions au bord de la voie lactée, sans doute trouverions-nous que les étoiles du disque tournent trop lentement
Du coup, je me demande si le champs de l'univers observable n'est pas tout simplement celui de la matière noire, s'il n'a, à force d'être négligé, pas été oublié en tant qu'hypothèse... L'a-t-on jamais faite? Certes mon calcul est grossier (il faudrait refaire le calcul pour l'univers observable avec des galaxies éparses, et estimer le champs d'une galaxie en son sein (sans MN donc), j'ai supposé ici une masse ponctuelle), mais l'a-t-on jamais affiné? Je pense que que ce résultat, 5, n'est notamment pas bon, il est probablement plus proche de 1, pour signifier que l'effet MN commence à se voir à 10kal et devient prépondérant à mesure que l'on s'éloigne. Dans l'idée, quand l'on se trouve entre deux galaxies distantes pour étudier leurs interactions, l'on se trouve au milieu d'autres galaxies et l'hypothèse de relativité permettant de supprimer l'interaction de l'univers observable, commune aux deux galaxies, s'en trouverait altérée, ce qui ne serait pas surprenant car un champs gravitationnel permet, en fait et surtout, de modifier l'écoulement local du temps
Si personne ne trouve d'infos sur de précédentes études, je propose qu'on affine ici les calculs!