Il s'agit d'une réécriture d'un premier post sur la distribution de masse des quarks et des leptons.
distribution de masse des leptons et des quarks en eV sur une échelle de Log10.
Je me suis concentré sur les rapports de masse et je me suis demandé comment améliorer l'illustration en utilisant une échelle différente. J'en ai essayé beaucoup, basés sur des logarithmes, des exponentielles, des fonctions trigonométries, en utilisant des constantes comme unités, etc..., aucun ne s'est approché des rapports de masse réels observés.
J'ai ensuite essayé f(x)=x^n, avec n un entier positif, comme échelle d’unités.
tau/electron mass ratio ~ 1,368 ^26
muon/electron mass ratio ~ 1,368 ^17
top/up mass ratio ~ 5,083 ^7
charm/up mass ratio ~ 5,083 ^4
strange/down mass ratio ~ 1,855 ^5
bottom/down mass ratio ~ 1,855 ^11
Dangereusement numérologique disent les physiciens, mais si on fait la supposition d'une partie de la physique à découvrir concernant un monde d'objets discrets, dans lequel par exemple les relations seraient multiplicatives, des puissances d'entiers apparaîtraient.
Une analogie pour décrire la méthode est : si la fonction déterminant la masse des particules est une rivière sous-terraine, dont on mesure la vibration en surface, et si on se représente le degré d’incertitude des résultats des expériences comme un périmètre en surface, la méthode consiste à suivre le cours supposé de la rivière avec des lignes droites orthogonales unitaires qui restent dans le périmètre et respecte des unités entières. On Pourrait faire l'analogie avec la géométrie d'un échafaudage sur un immeuble.
Si l'on considère n'importe quel triplet, trouver des entiers satisfaisant x^n dans un voisinage proche du triplet est une coïncidence statistique probable. Coïncidence probable également pour 3 triplets quelconques. Même si j'ai remarqué lors de mes tentatives qu'aucune autre paire d’entiers n'était assez proche des rapports de masse mesurés. Ces séquences sont uniques dans le périmètre.
Il apparaît que ces paires d'entiers (17 ;26) (4 ;7) et (5 ;11) sont des intervalles appartenant à 2 suites :
(OEIS:A000217) Triangular numbers: a(n) = binomial(n+1,2) = n*(n+1)/2 = 0 + 1 + 2 + ... + n.
0;1;3;6;10;15;21;28;…
(OEIS:A006127) Connected subtrees of a star tree graph: a(n) = 2^n + n.
1;3;6;11;20;37;70;135;…
Est-ce une coïncidence probable que ces 3 paires d'entiers trouvées correspondent également à 2 séquences connues du champ combinatoire ? ok.
Est-ce une coïncidence probable que chaque paire se rapporte à 3 degrés consécutifs d'affilée dans les séquences identifiées ? ok aussi, un peu moins.
L’hypothèse proposée est (avec l ~ 1/1,368; u ~ 1/5,083; d ~ 1,855):
(star tree sequence, degrees 4, 5 and 6) (A ~ 55,94 GeV)
m.tau = A x l^11
m.muon = A x l^20
m.electron = A x l^37
(triangular number sequence, degrees 2, 3 and 4) (B ~22,89 TeV)
m.top = B x u^3
m.charm = B x u^6
m.up = B x u^10
(triangular number sequence, degrees 4, 5 and 6) (C ~ 10 KeV)
m.down = C x d^10
m.strange = C x d^15
m.bottom = C x d^21
On peut s'attendre à ce que tout modèle tentant de décrire la structure des particules connues montre une forme d'affinité entre les familles de quarks. Ici, elles partagent la même séquence, à des degrés différents. Est-ce une coïncidence probable ? ok encore.
On peut aussi attendre de la réalité une forme d'affinité entre les quarks Up et Down. Seuls 2 termes de ce modèle partagent la même séquence et le même degré, et ce sont les descriptions hypothétiques des proportions des quarks Up et Down. Est-ce aussi une coïncidence statistique possible ? ok encore aussi.
Enfin, ce qui est contre-intuitif pour moi, qui paradoxalement attise le doute, c'est que, pour correspondre à la réalité, le triplet (Top Charm Up) doit être adossé à une énorme quantité d'énergie, et le Top doit être construit en premier, puis Charm, puis Up. Les leptons font la même chose adossés à une énergie moindre et le triplet DownQuark doit fonctionner dans le sens inverse.
Cela devrait avoir des implications observables. Mais c’est au-delà de mes connaissances, c’est donc une question. Cette forme de prédiction du modèle est-elle une contradiction avec la physique réelle ou une autre coïncidence possible à ajouter à la liste ?
Merci d'avoir lu !
PS : le modèle peut être déployé et révèle d’autres séquences et d’autres coïncidences concernant l'électron et les quarks type Up, la specifité de masse et de mutation des neutrinos, et la limitation à 3 générations des leptons et des neutrinos... mais je ne veux pas surcharger ce post.
distribution de masse des leptons et des quarks en eV sur une échelle de Log10.
Je me suis concentré sur les rapports de masse et je me suis demandé comment améliorer l'illustration en utilisant une échelle différente. J'en ai essayé beaucoup, basés sur des logarithmes, des exponentielles, des fonctions trigonométries, en utilisant des constantes comme unités, etc..., aucun ne s'est approché des rapports de masse réels observés.
J'ai ensuite essayé f(x)=x^n, avec n un entier positif, comme échelle d’unités.
tau/electron mass ratio ~ 1,368 ^26
muon/electron mass ratio ~ 1,368 ^17
top/up mass ratio ~ 5,083 ^7
charm/up mass ratio ~ 5,083 ^4
strange/down mass ratio ~ 1,855 ^5
bottom/down mass ratio ~ 1,855 ^11
Dangereusement numérologique disent les physiciens, mais si on fait la supposition d'une partie de la physique à découvrir concernant un monde d'objets discrets, dans lequel par exemple les relations seraient multiplicatives, des puissances d'entiers apparaîtraient.
Une analogie pour décrire la méthode est : si la fonction déterminant la masse des particules est une rivière sous-terraine, dont on mesure la vibration en surface, et si on se représente le degré d’incertitude des résultats des expériences comme un périmètre en surface, la méthode consiste à suivre le cours supposé de la rivière avec des lignes droites orthogonales unitaires qui restent dans le périmètre et respecte des unités entières. On Pourrait faire l'analogie avec la géométrie d'un échafaudage sur un immeuble.
Si l'on considère n'importe quel triplet, trouver des entiers satisfaisant x^n dans un voisinage proche du triplet est une coïncidence statistique probable. Coïncidence probable également pour 3 triplets quelconques. Même si j'ai remarqué lors de mes tentatives qu'aucune autre paire d’entiers n'était assez proche des rapports de masse mesurés. Ces séquences sont uniques dans le périmètre.
Il apparaît que ces paires d'entiers (17 ;26) (4 ;7) et (5 ;11) sont des intervalles appartenant à 2 suites :
(OEIS:A000217) Triangular numbers: a(n) = binomial(n+1,2) = n*(n+1)/2 = 0 + 1 + 2 + ... + n.
0;1;3;6;10;15;21;28;…
(OEIS:A006127) Connected subtrees of a star tree graph: a(n) = 2^n + n.
1;3;6;11;20;37;70;135;…
Est-ce une coïncidence probable que ces 3 paires d'entiers trouvées correspondent également à 2 séquences connues du champ combinatoire ? ok.
Est-ce une coïncidence probable que chaque paire se rapporte à 3 degrés consécutifs d'affilée dans les séquences identifiées ? ok aussi, un peu moins.
L’hypothèse proposée est (avec l ~ 1/1,368; u ~ 1/5,083; d ~ 1,855):
(star tree sequence, degrees 4, 5 and 6) (A ~ 55,94 GeV)
m.tau = A x l^11
m.muon = A x l^20
m.electron = A x l^37
(triangular number sequence, degrees 2, 3 and 4) (B ~22,89 TeV)
m.top = B x u^3
m.charm = B x u^6
m.up = B x u^10
(triangular number sequence, degrees 4, 5 and 6) (C ~ 10 KeV)
m.down = C x d^10
m.strange = C x d^15
m.bottom = C x d^21
On peut s'attendre à ce que tout modèle tentant de décrire la structure des particules connues montre une forme d'affinité entre les familles de quarks. Ici, elles partagent la même séquence, à des degrés différents. Est-ce une coïncidence probable ? ok encore.
On peut aussi attendre de la réalité une forme d'affinité entre les quarks Up et Down. Seuls 2 termes de ce modèle partagent la même séquence et le même degré, et ce sont les descriptions hypothétiques des proportions des quarks Up et Down. Est-ce aussi une coïncidence statistique possible ? ok encore aussi.
Enfin, ce qui est contre-intuitif pour moi, qui paradoxalement attise le doute, c'est que, pour correspondre à la réalité, le triplet (Top Charm Up) doit être adossé à une énorme quantité d'énergie, et le Top doit être construit en premier, puis Charm, puis Up. Les leptons font la même chose adossés à une énergie moindre et le triplet DownQuark doit fonctionner dans le sens inverse.
Cela devrait avoir des implications observables. Mais c’est au-delà de mes connaissances, c’est donc une question. Cette forme de prédiction du modèle est-elle une contradiction avec la physique réelle ou une autre coïncidence possible à ajouter à la liste ?
Merci d'avoir lu !
PS : le modèle peut être déployé et révèle d’autres séquences et d’autres coïncidences concernant l'électron et les quarks type Up, la specifité de masse et de mutation des neutrinos, et la limitation à 3 générations des leptons et des neutrinos... mais je ne veux pas surcharger ce post.