• "Nous sommes de l"éther" dit un prix Nobel de physique

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #47496  par bongo
 
Rayon de soleil a écrit :Je pense que tu n'aurais besoin que de 15 minutes pour comprendre l'essentiel de la conférence de Wilczek. Tout est concentré au début, après ils font un débat à deux parlant de dimensions supplémentaires, mais je trouve que son interviewer cherche juste le "sensationnel".
J’ai pris le temps de regarder la vidéo entièrement.
Pour résumer… Vacuum is not void.
Tout ce qui est dit autour de l’ether c’est du tapage.

En fait il explique simplement que la conception du vide a beaucoup évolué depuis la physique quantique et la théorie quantique des champs. Il a une structure, il (l’espace) peut être courbé etc…
Rien à voir avec l’ether.
Rayon de soleil a écrit :Perlmutter il dit quoi ? Toute nouvelle notion, en plus venant d'un noble homme qui ne cherche pas de gain financier de ses découvertes, est bonne à prendre...
Il est venu parler des travaux qui lui ont valu le Nobel en 2011 (l’accélération de l’expansion). En fait il voulait montrer comment l’expansion a ralenti, mais il a trouvé l’inverse.
Rayon de soleil a écrit :
C’est qui Cooke ? il a fait de la mécanique quantique ?
Je t’explique juste… le spin c’est un moment cinétique intrisèque, parler d’une particule ponctuelle qui tourne est incorrecte, mais n’empêche que cette quantité est conservée…
Neutron -> proton + électron
Tu vois que ça cloche (il manque quelque chose puisqu’à gauche tu as un spin ½ et à droite tu en as deux, donc tu t’attends à avoir un spin entier…)
Il se trouve que le Neutron se désintègre en 3 particules de spin ½
Neutron -> proton + électron + anti neutrino
Rayon de soleil a écrit : :) Et puis, pour rester sur le neutron, tu ne trouves quand même pas étrange que sa masse soit presque identique, mais pas tout à fait, à celle du proton ? l'univers est-il un Monsieur très appliqué à fabriquer des petites boules de différentes masses, au point de donner à deux des briques de bases de son Univers des masses qui diffèrent très très légèrement ? Le modèle de Cooke explique cette différence qui est de l'ordre de la masse d'un électron (tu confirmes ?) d'une façon beaucoup plus fluide et simple. Attends un instant, je vais chercher mon rasoir d'Ockham à la salle de bains. ;)
et il explique aussi les différences de masse du pion ? (qui existent en 3 exemplaires)…
Quelle est la différence précisément ? combien de masse d’électron ?
Rayon de soleil a écrit :Cette propension, cette "règle de l'octet", elle explique quoi au juste et comment ? Elle dit juste que "c'est comme ça", elle met un joli nom, elle dit que quand il y a huit électrons, on observe cette propension à fuir les liaisons chimiques, mais c'est une observation, pas une explication. Tu verras comment, pour commencer, le modèle de Cooke explique la force de Coulomb. Comme cette règle de l'octet décrit aussi un phénomène de répulsion, je me dis que l'explication pourrait bien être similaire.
Non ce n’est pas similaire… la règle de l’octet est lié à la résolution de l’équation de Schrödinger pour un potentiel Coulombien.
On obtient des états que l’électron peut occuper. Il se trouve qu’il y a des sous-couches ns et np qui contiennent 2 et 6 électrons qui sont les couches électroniques les plus externes. Une fois que les deux sous-couches sont complètes, l’atome est très stable.
On retient la règle de l’octet quand on est chimiste.
Rayon de soleil a écrit :Bien, tout est expliqué par la mécanique quantique, qui pose quand même "des problèmes d'interprétation" et qui n'est "pas hyper-satisfaisante" (dixit Bongo). Le serpent qui se mord la queue. C'est comme dire "la gravitation est expliquée par l'équation "F=m*g" ". Est-ce que la quantique explique pourquoi un photon qui est sans masse donnerait de l'inertie à un électron ?
LE problème de l’interprétation c’est raccroché une théorie physique pas très intuitive à l’intuition.
La masse de l’électron est donnée par sa constante de couplage avec le champ de Higgs.
Rayon de soleil a écrit :Tu ne voudrais pas me proposer un petit résumé, pour changer ? :)
En gros l’entraînement de l’ether provoque l’aberration de la lumière (à cause du mouvement de la terre, la lumière n’arrive pas de la même direction, un peu comme la pluie qui tombe verticalement pour quelqu’un au repos, ne tombe pas verticalement pour quelqu’un qui court). Le modèle de l’ether entraîné prédit un angle faux par rapport à un modèle sans ether.
Rayon de soleil a écrit :Je vais tout d'abord reprendre quatre principes de base du modèle de Cooke, pour d'éventuels nouveaux visiteurs (et puis un petit résumé ne fait jamais de mal) :
Tu parles de rappel mais tu m’en as déjà parlé ?

Sinon j’ai lu en vrac, le spin du proton n’est pas l’opposé de celui de l’électron… tous les deux existent avec la valeur +1/2 et -1/2.
 #47502  par Rayon de soleil
 
Je vais commencer par m'adresser aux visiteurs muets. J'ai noté qu'on est passé de 250 à 1 950 "vues" en 24 heures de jeudi à vendredi. A moins que je n'aie pas compris quelque chose, ça veut dire que des centaines de personnes consultent ce sujet sans y répondre. Alors je m'adresse à vous. Qui êtes-vous ? Manifestez-vous ! On peut avoir l'impression que mon sujet "a du succès", mais je dois vous avouer que je me sens bien seul pour l'instant. Je n'ai pas envie de participer à un duel de gladiateurs ! Descendez des tribunes des arènes SVP. Quel est votre ressenti ? Ce sujet vous a appris des choses ? Il vous surprend ? Est-il exaltant et passionnant ? ou bien médiocre et ennuyeux ? Inscrivez-vous au forum si nécessaire, cela ne prend que deux minutes. J'attends vos réactions, vos questions, éventuellement vos encouragements ! :neutral_face:

Allez, pour mettre un peu d'animation, j'organise même un jeu-concours ! Les "gagnants" recevront sous forme numérique l'intégralité du livre que j'ai en ma possession et dont je n'ai traduit et transcrit ici qu'à peine 2% du contenu. Pour rappel, c'est un véritable trésor archéologique d'après moi, sûrement très difficilement trouvable, car épuisé depuis les années 1970 !

Voici la question. Dans l'image du Flatland, le pays plat imaginaire auquel on peut réduire notre espace à 3 dimensions constitué d'éther, il existerait TROIS modes de vibration et non pas deux seulement comme le croit la science contemporaine.
  • Les deux premiers modes sont celui des ondes Transversales (T) qui vibrent de façon perpendiculaire à la direction de propagation de l'onde, et celui des ondes de Raréfaction-Condensation (RC) qui vibrent de façon parallèle à elle. Ces deux modes expliqueraient d'une part les ondes électromagnétiques, de la lumière visible aux ondes radio, rayons X, Gamma etc., et d'autre part le magnétisme, par mouvements tourbillonnants ("swirlings") de l'éther dans différents sens et avec différentes intensités.
  • Un troisième mode expliquerait de façon simple et limpide, quoique quelque peu complexe, la gravitation et l'inertie. Ma question est ... lequel ??? :blush:
Donnez-moi votre réponse "en coulisses" (par courriel de préférence) et vous recevrez le livre. En échange, je n'ai besoin que d'une chose : c'est que vous me promettiez de transférer ce document exceptionnel à autant de contacts que possible parmi vos amis amateurs de sciences, anciens profs, collègues, chercheurs etc. Voilà, c'est tout !

Je reviens maintenant à toi, Bongo. C'est gentil de réagir de ci de là en me citant tel ou tel chercheur, tu fais des efforts à ce niveau-là, c'est indiscutable, par contre j'ai l'impression que tu éludes très rapidement des aspects essentiels. Tu ne veux pas voir certaines choses en face. J'ai l'impression de te servir sur un plateau une théorie qui explique des choses absolument fondamentales pour la physique et la chimie. En vrac :
- la masse du proton et celle de l'électron ;
- le champ électrique attractif entre eux ;
- les spins ;
- la force de Coulomb ;
- les similitudes entre gravitation, inertie et forces EM (rapport inversement proportionnel au carré de la distance notamment).

Te souviens-tu d'une conversation que nous avons eue au téléphone il y a quelques mois ? C'était plutôt un monologue en fait, mais bon. Tu parlais à ta bière, tant mieux pour elle. Tu récitais tes leçons. J'avais pris plusieurs pages de notes dans un carnet, figure-toi. Et le voici sous mes yeux. Allez, je retranscris une page qui me semble importante, juste pour le plaisir :
Cordes filiformes qui vibrent dans 10 dimensions spatiales + 1 de temps. Utilisé dès les années 1970. CFT/ADS (années 1990). Maldasena, si Univers 3D, dualité mathématique, dimension plus élevée. Mondes holographiques de Süsskind, entropie des trous noirs proportionnelle à leur surface. 1920 : Caluza-Klein, relativité de 1 à 5 dimensions. Einstein - théorie électromagnétisme. Mais problème car Univers est dynamique.
Théorie de Higgs, TQC (Théorie Quantique des Champs). A chaque particule correspond un champ, si énergie éjectée dans le vide. Champ de Higgs = éther, 1 milliard de Pascal ? Trains magnétiques au Japon, matériaux supraconducteurs, lévitation dans un champ magnétique.
Eh ! Tu as bien parlé d'éther alors ? Tout ça te rappelle de bons souvenirs ? Ne vois-tu pas les similitudes avec la théorie de Cooke ? Franchement, ça ne te saute pas aux yeux ? Attends, je finis avec ce que tu désignais comme "les questions restantes" de la physique, les questions non encore élucidées :
- Quelle est l'origine de la masse de l'électron ?
- Pourquoi le champ de Higgs ?
- Quelle est l'origine de la masse ?
Tout simplement. Et moi, plusieurs mois plus tard, je dépose à tes pieds une théorie élégante qui non seulement explique l'origine de la masse, mais aussi tout un tas d'autres choses, et toi tu fais le difficile, tu pinailles sur des détails. Allez, voyons quand même tes "contre-arguments", même si je le rappelle, tu te focalises sur à peine 20 % du contenu de mon précédent post. :unamused:

Tu dis que le proton et l'électron n'ont pas de spins opposés, mais que leurs valeurs sont 1/2 et -1/2. Là, franchement, je ne comprends pas. Ce sont bien deux nombres opposés que je vois là blancs sur noirs sur mon écran ? Pas le temps ni l'énergie de creuser plus aujourd'hui. Et au sujet du neutron, j'ai l'impression que tu as inventé une règle :
Règle de Bongo.
Quand deux particules se confondent par fusion de leur arc d'éther en une distance nulle, il faut additionner leurs spins
Et pourquoi pas les soustraire, les multiplier ou en extraire la racine cubique tant qu'on y est ? Et si le proton, plus "fort", "annulait" le spin de l'électron ? Tu y a compris quelque chose à l'histoire des arcs dans la 4D au fait ? Ce n'est pas très nouveau pour la physique ? On n'avance pas là en terre inconnue, en terra incognita ? N'est-ce pas trop tôt pour expliquer quoi que ce soit au sujet de ce neutron qui m'a l'air vraiment particulier, un peu comme une "singularité de l'espace-temps" ? Tu as l'air très à l'aise, toi, avec ces nouveaux concepts. Et tu envoies des petites piques de ci de là, nonchalamment, en croyant que ça va faire s'effondrer tout l'édifice. D'ailleurs, cette valeur "1/2", elle n'est pas étonnante à la base ? Ça veut dire que la particule doit faire deux tours sur elle-même pour revenir à sa position initiale, c'est ça ? Et si l'intervention d'un arc "trou de ver" dans la 4D, avec mouvement tourbillonnant d'éther, pouvait expliquer ces spins étranges ? Tu as réfléchi à cette éventualité ? Je crois que tu ne te mets pas beaucoup en posture "d'essayer" de voir la cohérence générale du système théorique de Maurice B. Cooke. Tu te concentres sur ce qui est "clivant".

Pour ce qui est de l'aberration de la lumière, de l'entraînement de l'éther et de Michelson, je n'ai pas les idées claires sur le sujet. Mais avant toutes choses, je voudrais signaler que c'est presque un sujet connexe. Si on peut expliquer la matière "sur Terre" grâce à l'éther sous différentes formes, dans différents états et se mouvant de différentes façons entre la 3D et la 4D, c'est déjà énorme. L'histoire de l'éther interstellaire est presque secondaire. Et il ne faut pas croire que Michelson invalide la théorie de Cooke dans son ensemble. Voilà mon argument principal. Et voici un argument secondaire. Je pense qu'entrent en jeu ici des questions liées à la structure de l'espace, et aux trois modes vibratoires de l'éther dans son "plan 3D" que j'ai évoqués plus haut. Pour moi, c'est seulement quand ces notions complexes, quand ces représentations ardues seront bien acquises qu'on pourra étudier la façon dont la Terre se déplace, ou pas, dans un milieu éthérique, courbant ou pas l'espace et de quelle façon, comment fonctionne la gravitation, comment l'espace et la matière sont créés etc. Je sais, mes mots sont très vagues. Vagues comme les vagues que fait la lumière dans l'espace galactique... :relieved:
Une lumière dont deux effets (actuellement considérés comme démontrant sa nature de particule) seraient, d'après Cooke, explicables par une nature ondulatoire : l'effet photoélectrique et l'effet Compton. Tôt ou tard, il faudra revenir sur cette contradiction : que a) la lumière est une perturbation ondulatoire et b) qu'il n'y a pas de medium sur lequel cette perturbation peut être portée.
 #47509  par bongo
 
Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31Voici la question. Dans l'image du Flatland, le pays plat imaginaire auquel on peut réduire notre espace à 3 dimensions constitué d'éther, il existerait TROIS modes de vibration et non pas deux seulement comme le croit la science contemporaine.
La science n’est pas une croyance, mais doit être conforme à l’expérience.

Pour une onde électromagnétique, il y a un seul mode de vibration qui est transversal (qui donne les polarisations circulaires ou de manière équivalente des polarisations rectangulaires).

Il existe aussi pour les ondes mécaniques un mode longitudinal, mais là on parle de la lumière non ?
Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31
  • Les deux premiers modes sont celui des ondes Transversales (T) qui vibrent de façon perpendiculaire à la direction de propagation de l'onde, et celui des ondes de Raréfaction-Condensation (RC) qui vibrent de façon parallèle à elle. Ces deux modes expliqueraient d'une part les ondes électromagnétiques, de la lumière visible aux ondes radio, rayons X, Gamma etc., et d'autre part le magnétisme, par mouvements tourbillonnants ("swirlings") de l'éther dans différents sens et avec différentes intensités.
  • Un troisième mode expliquerait de façon simple et limpide, quoique quelque peu complexe, la gravitation et l'inertie. Ma question est ... lequel ??? :blush:
Est-ce que tu as pensé au 4ème mode ? l’évaporation-sublimation (E-V), c’est un nouveau mode qui explique l’interaction forte et l’interaction faible. Et le 6ème mode, c’est la Concaténation-Olfaction-Nasale (C-O-N), qui explique la gravitation. On a une théorie unitaire qu’avec la lumière, c’est trop chouette.


Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31J'ai l'impression de te servir sur un plateau une théorie qui explique des choses absolument fondamentales pour la physique et la chimie. En vrac :

- la masse du proton et celle de l'électron ;

- le champ électrique attractif entre eux ;

- les spins ;

- la force de Coulomb ;

- les similitudes entre gravitation, inertie et forces EM (rapport inversement proportionnel au carré de la distance notamment).
Je pense que tu ne sais pas ce qu’est le spin.

Tu proposes des théories fumeuses, pourquoi j’aurai envie de polluer ma tête avec ça ? Au départ c’est toi le demandeur, tu veux apprendre la physique. Donc… au lieu de dire n’importe quoi, essaie de te renseigner sur ce qu’est le spin, ce qu’est un champ électrique (c’est ce qu’on appelle la force de Coulomb…)


Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31Eh ! Tu as bien parlé d'éther alors ? Tout ça te rappelle de bons souvenirs ? Ne vois-tu pas les similitudes avec la théorie de Cooke ?
Comme dit, l’éther, ça dépend ce que tu fais rentrer comme définition… mais oui en effet j’ai pu le mentionner, mais pas dans le sens d’éther luminifère, mais dans le sens que c’est un champ qui remplit tout l’espace. Après soit tu approfondis, et tu vois que ça a un sens différent de celui qui était utilisé en 1870, soit tu continues à faire de la sémantique, ce qui ne te mêlera pas loin. Quant à la théorie de Cooke, c’est quoi ? de ce que tu m’as expliqué c’est fumeux, j’ai pas vu l’ombre d’une équation.
Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31Franchement, ça ne te saute pas aux yeux ? Attends, je finis avec ce que tu désignais comme "les questions restantes" de la physique, les questions non encore élucidées :
- Quelle est l'origine de la masse de l'électron ?

- Pourquoi le champ de Higgs ?

- Quelle est l'origine de la masse ?
Tout simplement. Et moi, plusieurs mois plus tard, je dépose à tes pieds une théorie élégante qui non seulement explique l'origine de la masse, mais aussi tout un tas d'autres choses, et toi tu fais le difficile, tu pinailles sur des détails. Allez, voyons quand même tes "contre-arguments", même si je le rappelle, tu te focalises sur à peine 20 % du contenu de mon précédent post. :unamused:
Ah ? ça explique la masse ?

Parce que le reste, les 80% sont incompréhensibles.


Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31Tu dis que le proton et l'électron n'ont pas de spins opposés, mais que leurs valeurs sont 1/2 et -1/2.
Le spin du proton peut prendre deux valeurs +1/2 et -1/2, idem pour l’électron.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Spin#Le_m ... ue_de_spin



avec s=1/2

Le spin de l’électron peut prendre 2s+1 valeur = 2 valeurs.
Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31Là, franchement, je ne comprends pas. Ce sont bien deux nombres opposés que je vois là blancs sur noirs sur mon écran ? Pas le temps ni l'énergie de creuser plus aujourd'hui. Et au sujet du neutron, j'ai l'impression que tu as inventé une règle :
Règle de Bongo.

Quand deux particules se confondent par fusion de leur arc d'éther en une distance nulle, il faut additionner leurs spins
Et pourquoi pas les soustraire, les multiplier ou en extraire la racine cubique tant qu'on y est ? Et si le proton, plus "fort", "annulait" le spin de l'électron ? Tu y a compris quelque chose à l'histoire des arcs dans la 4D au fait ? Ce n'est pas très nouveau pour la physique ? On n'avance pas là en terre inconnue, en terra incognita ? N'est-ce pas trop tôt pour expliquer quoi que ce soit au sujet de ce neutron qui m'a l'air vraiment particulier, un peu comme une "singularité de l'espace-temps" ? Tu as l'air très à l'aise, toi, avec ces nouveaux concepts. Et tu envoies des petites piques de ci de là, nonchalamment, en croyant que ça va faire s'effondrer tout l'édifice. D'ailleurs, cette valeur "1/2", elle n'est pas étonnante à la base ? Ça veut dire que la particule doit faire deux tours sur elle-même pour revenir à sa position initiale, c'est ça ? Et si l'intervention d'un arc "trou de ver" dans la 4D, avec mouvement tourbillonnant d'éther, pouvait expliquer ces spins étranges ? Tu as réfléchi à cette éventualité ? Je crois que tu ne te mets pas beaucoup en posture "d'essayer" de voir la cohérence générale du système théorique de Maurice B. Cooke. Tu te concentres sur ce qui est "clivant".
Je ne comprends rien à ton arc.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Radioacti ... on_%CE%B2-


Rayon de soleil a écrit : samedi 9 novembre 2019 à 11:31Pour ce qui est de l'aberration de la lumière, de l'entraînement de l'éther et de Michelson, je n'ai pas les idées claires sur le sujet. Mais avant toutes choses, je voudrais signaler que c'est presque un sujet connexe. Si on peut expliquer la matière "sur Terre" grâce à l'éther sous différentes formes, dans différents états et se mouvant de différentes façons entre la 3D et la 4D, c'est déjà énorme. L'histoire de l'éther interstellaire est presque secondaire. Et il ne faut pas croire que Michelson invalide la théorie de Cooke dans son ensemble. Voilà mon argument principal. Et voici un argument secondaire. Je pense qu'entrent en jeu ici des questions liées à la structure de l'espace, et aux trois modes vibratoires de l'éther dans son "plan 3D" que j'ai évoqués plus haut. Pour moi, c'est seulement quand ces notions complexes, quand ces représentations ardues seront bien acquises qu'on pourra étudier la façon dont la Terre se déplace, ou pas, dans un milieu éthérique, courbant ou pas l'espace et de quelle façon, comment fonctionne la gravitation, comment l'espace et la matière sont créés etc. Je sais, mes mots sont très vagues. Vagues comme les vagues que fait la lumière dans l'espace galactique... :relieved:

Une lumière dont deux effets (actuellement considérés comme démontrant sa nature de particule) seraient, d'après Cooke, explicables par une nature ondulatoire : l'effet photoélectrique et l'effet Compton. Tôt ou tard, il faudra revenir sur cette contradiction : que a) la lumière est une perturbation ondulatoire et b) qu'il n'y a pas de medium sur lequel cette perturbation peut être portée.
Une onde électromagnétique, pour exister, a besoin de l’existence de champs… à partir du moment où tu admets que le champ électrique et le champ magnétique baigne tout l’espace, tu peux avoir une onde électromagnétique. Appelle ça comme tu veux, ether, truc, quintessence, pierre philosophale etc…
 #47515  par Rayon de soleil
 
Bon. Je vais fermer les yeux sur ton humour foireux. Et admettons pour l'instant que je n'aie pas tout compris aux spins. Tu me dis "d'accord pour l'éther si c'est un champ qui remplit tout l'espace". Eh bien partons de cela, pourquoi pas, c'est un bon début.

Ensuite, je reprends. Sire MAURICE B. COOKE est un illustre inconnu canadien ayant vécu à Toronto dans les années 1970. Voilà tout ce que je peux te dire de lui. Donc inutile de continuer à me demander "c'est qui ?". J'avais un premier bouquin de lui mais je l'ai égaré (pour l'instant : il doit être dans un carton). Mais j'ai scanné la première partie (la seconde étant moins pertinente) et je l'ai envoyé à deux bonnes centaines de chercheurs. L'essentiel de ce texte (j'ai supprimé les derniers chapitres) constitué d'une dizaine de chapitres très courts est accessible dans le sujet "Vers une nouvelle physique" : https://forum.planete-astronomie.com/po ... =17&t=6499 . Les chapitres s'intitulent "Space, Matter, Gravity, Light, Magnetism, Quasars..." etc. De mémoire le titre du bouquin est "The Nature of Reality" (un peu péremptoire, on est d'accord, passons l'éponge sur le ton affirmatif, sûr de soi) et le pseudo (hilarant) de l'auteur est "Hilarion".

Le deuxième livre dont je tire les postulats et phénomènes expliqués du dernier post de la page 1, s'intitule "Einstein doesn't work here anymore. A treatise on the New Science" et est signé Maurice B. Cooke (le même bonhomme), Copyright 1983 by Marcus Books, 195 Randolph Road, Toronto, Canada (ça va pour les détails ?). Autant dire que ce livre est épuisé depuis plus de 35 ans, et qu'au mieux il a été imprimé à 1 000 exemplaires à l'époque. Une vraie perle archéologique, un véritable trésor tombé dans l'oubli, à mes yeux. Un roman délirant et sans valeur si on n'en suspecte pas les géniales intuitions, évidemment.

Bon. Donc, il ne s'agit pas d'une publication dans une revue scientifique à comité de lecture signée par un chercheur payé par un institut mainstream européen ou étasunien. Bien sûr. On est d'accord ? On s'est bien compris ? Aujourd'hui, si Cooke est encore vivant, il finit peut-être ses jours de façon misérable dans un vieil appartement mal chauffé de Toronto, oublié et abandonné de tous, et s'apprêtant à passer de l'autre côté avec le douloureux sentiment de ne pas avoir été compris. Voilà pour la touche un peu mélodramatique... :cry:

Plus besoin de revenir là-dessus à l'avenir ? Bien. Alors maintenant, ouvrons ce petit bouquin un peu jauni, dont le titre signifie à la fois "Einstein ne travaille plus ici" et "ne fonctionne plus ici" (c'est "affectueux" expliquera l'auteur), à la première page, et essayons de comprendre (ce serait déjà pas mal, avant d'analyser) ce que nous raconte ce Cooke, tout d'abord sur l'espace. Pas la peine d'aller plus loin pour l'instant, j'ai comme l'impression qu'il faut pas forcer. Ne poussons pas mémé dans les orties. :kissing:

Donc. Première affirmation :
Il existe quelque chose qui définit la position de l'espace par rapport à d'autres dimensions, et ce ne peut être qu'une substance. Car l'espace ne peut pas à la fois avoir une telle position et être "rien". Pour être courbe, plat ou de n'importe quelle autre forme, il doit bien être quelque chose.
Vous êtes toujours là ? :expressionless: :relieved: Des questions, des remarques ? Qui a compris, levez le doigt ? Qui n'a pas compris ? Pour qui c'est clair ? Pour qui c'est pas clair ? On est là dans "les bases des bases" pour reprendre les termes de mon ami Faucon Cause... Vous me demandez tous de définir les termes d'éther, de conscience... Eh bien moi je vous propose de revenir encore plus en arrière en cherchant à définir l'ESPACE lui-même, déjà, à la base. :relieved:

Vous pensez qu'il n'y a pas besoin de définir l'espace, que tout le monde sait ce que c'est et de quoi on parle avec ce mot ? Je réponds : FAUX. On se trompe. L'espace tel qu'on se le représente, avec ses trois axes idiots, n'existe pas. Un pur produit du cerveau, pour le coup. Il n'existe que parce qu'il est une SUBSTANCE. :expressionless:

Et cette substance va donc pouvoir constituer ce quelque chose qui va pouvoir maintenant être courbé, être contracté, avoir différents états et différents mouvements qui expliqueront absolument TOUS les phénomènes observables du monde physique, des particules aux forces en passant par les champs. C'est-y pas magique, ça, les amis ? :blush:
 #47516  par bongo
 
Rayon de soleil a écrit :je l'ai envoyé à deux bonnes centaines de chercheurs
Ils t'ont dit quoi ?
Rayon de soleil a écrit :Une vraie perle archéologique, un véritable trésor tombé dans l'oubli, à mes yeux. Un roman délirant et sans valeur si on n'en suspecte pas les géniales intuitions, évidemment.
JE pense que tu dois être directeur de thèse, avec habilitation à encadrer des recherches. Parce que si tu penses que ces idées sont géniales, et que c'est une piste à suivre pour avancer en physique et pour le salut de l'humanité... arf... t'es une perle rare, ça serait bête de passer à côté d'un mec qui a autant d'intuition pour débusquer des idées géniales.

Alors que les autres chercheurs, déjà, ils doivent passer un doctorat, un post doc, puis un deuxième puis se faire recommander par pleins de profs pour enfin avoir un poste, se faire de l'expérience, mener un projet de recherche du début à la fin, pour enfin bien connaître son domaine après avoir baigné 20 ans dedans et ensuite pouvoir diriger des recherches demander des budgets etc...
Rayon de soleil a écrit :Donc. Première affirmation :
Il existe quelque chose qui définit la position de l'espace par rapport à d'autres dimensions, et ce ne peut être qu'une substance. Car l'espace ne peut pas à la fois avoir une telle position et être "rien". Pour être courbe, plat ou de n'importe quelle autre forme, il doit bien être quelque chose.
Je ne comprends rien du tout... quelle dimension ? Tu peux me donner un exemple d'un espace ou à plus basse dimension, un plan ? qui a une position par rapport à d'autres dimensions ? tu parles de quoi ???
Rayon de soleil a écrit :Et cette substance va donc pouvoir constituer ce quelque chose qui va pouvoir maintenant être courbé, être contracté, avoir différents états et différents mouvements qui expliqueront absolument TOUS les phénomènes observables du monde physique, des particules aux forces en passant par les champs. C'est-y pas magique, ça, les amis ? :blush:
Ah ça, ça me parle... quand je me courbe et je me contracte, je produis une substance nauséabonde. Il peut avoir des états différents, plutôt granuleux, oui pâteux. Quand j'actionne un mécanisme, il peut avoir plusieurs mouvements, tourbillonneux etc... C'est magique.
 #47527  par Madarion
 
bongo a écrit :C’est quoi son modèle ? c’est quoi sa définition d’éther ?
Pour ces chercheurs je ne connais pas leur vision de l'éther,
mais pour moi l'éther est opposé au vide :

Pour moi L'éther est la forme la plus ordonné de la matière et la plus subtile.
C'est la source de toute matière est en même temps la structure de l'espace.

Je conçois l'éther comme proche de l'aérogel de graphème (solide et gazeux)
Mais à la fois solide, gazeux et liquide, il serait transparent à toutes énergies£.
On ne peut donc ni le voir ni le toucher.

Il est vrai que la vie serait assez proche de cette définition.
Bongo a écrit :La physique quantique montre que pour décrire l’univers, il faut des particules de matière : proton neutron électron, et des particules d’interactions (les bosons de jauge).
Oui, et cette description explique parfaitement la matière observable.
Mais qu'en est-il de ce qui n'est pas observable ?