Suite des preuves de la véracité de la théorie de Lorentz-Poincaré
On introduit la gravitation comme suit :
En métrique de Minkowski il existe un espace pseudo-euclidien 4D tangent en tout point de la variété pseudo-riemannienne. Cette métrique détermine le temps propre (vieillissement).
Mais on a montré dans l'épisode précédent que la métrique de Minkowski ne définit pas un espace 4D mais seulement un espace 3D+1 et n'est qu'une simple réécriture de la métrique euclidienne 3D+1. Elle n'est qu'un moyen de baliser les distances spatio-temporelles à coup de temps propre, elle n'a aucun pouvoir de changer la géométrie physique telle qu'elle apparaît sur les diagrammes, et cette géométrie est toujours euclidienne. On peut donc remplacer la métrique de Minkowski par la métrique euclidienne. La longueur d'espace-temps n'y est pas le temps propre, voilà tout.
Mais il y a quelque chose de plus fondamental.
1-La gravitation correspond-elle à un espace-temps courbe, que la métrique soit euclidienne ou minkowskienne ?
2-Le passé et le futur coexistent-ils avec le présent (non d'après l'épisode précédent)
A propos du point 2 :
Le monde réel ne contient que le présent vectoriel, le passé et le futur vectoriels n'existent pas, le temps n'est qu'un scalaire et la géométrie physique est celle des quaternions d'Hamilton (ou de l'algèbre de l'espace physique). Néanmoins, on peut très bien représenter graphiquement le passé le futur et le temps sous forme d'un vecteur.
Etude qui montre que l'approche des quaternions fonctionne : https://arxiv.org/pdf/2106.06394.pdf
Voici un dessin où le temps est représenté comme un 4e vecteur de l'espace :
https://i.stack.imgur.com/zmeTI.png
https://askfrance.me/q/pourquoi-la-vite ... 1833726604
https://physics.stackexchange.com/quest ... -spacetime
Sur le dessin le temps est représenté comme une dimension vectorielle pour fixer les idées, il faut imaginer que "l'épaisseur spatiale" du temps représentée sur le dessin n'existe pas. Seul l'espace la possède.
Pour passer de Newton à Einstein il suffit de représenter les trajectoires données par Newton mais en 4 dimensions et donc tenant compte aussi de la courbure espace-espace qui entraîne l'avance du périhélie et le doublement de la courbure de la lumière.
La courbure de l'espace induit une très légère courbure de la trajectoire parcourue par l'objet du fait de sa vitesse initiale, cette courbure n'est pas prise en compte dans les calculs de Newton, qui est une théorie du temps courbe seulement.
Il y a donc deux trajectoires courbes qui concourent à l'orbite spatio-temporelle, une composante temps courbe et une composante espace courbe, la seconde étant plate chez Newton.
Le temps propre ne sert à rien pour tracer la trajectoire des corps.
En outre, on suppose que la gravitation est un espèce d'effet d'ombre, mais plus exactement un effet de réfraction par déformation du matériau de l'espace-temps.
Un modèle gravitationnel de rivière, mais l'auteur adhère à la non existence de l'éther, ce qui est absurde : http://www.alenspage.net/AetherFlowGravitation.htm
Conclusions de cet épisode 4 en tenant compte des acquis des épisodes suivants
[Il faut préciser ici que l'espace de Minkowski comme concaténation de référentiels inertiels n'existe pas et donc que la variété courbe à 4 dimensions vectorielles de la RG non plus.]
La RG modélise un espace courbe à 4 dimensions vectorielles + 1 dimension scalaire. (Algèbre de l'espace-temps)
La théorie des formes différentielle est déficiente, elle passe sous silence la dimension scalaire et on pense donc qu'il n'y a que 4 dimensions. Mais un espace vectoriel courbé nécessite en fait une dimension scalaire de densité pour pouvoir se courber, donc l'espac-temps à 4 vecteurs ne peut être fonctionnel sans une 5e dimension scalaire.
Mais dans l'algèbre de l'espace-temp qui reproduit l'espace-temps de Minkowski il y a bien 4 vecteurs et un scalaire.
Or on peut refaire la RG avec une structure plus petite en 3D +1 qui est l'algèbre de l'espace physique, à condition de reconnaître que seule la métrique de Painlevé correspond au point de vue physique (lumière isotrope du chuteur).
Quand on définit les symboles de Christoffell on déforme des petits carrés d'espace-temps. On change les angles et les échelles pour produire une courbure. Les angles ce sont les dimensions d'espaces qui pivotent les unes dans les autres, le changement d'échelle c'est la dimension scalaire qui le prend en charge.
Donc l'espace-temps 4D se courbe à l'aide d'une 5e dimension scalaire, appelée w quand on la représente.
Dans ce cas la forme de Schwarzschild vaut celle de Painlevé, il n'y a pas de vrai découpage, l'espace-temps est courbé dans w. Donc quel que soit le mixage entre le temps et l'espace on peut toujours le négliger, considérer que ce ne sont que des changements de repères et que la vraie courbure est dans w et implique les 4 dimensions en même temps. Voilà pour l'interprétation de la physique mainstream.
Mais si on comprend qu'il existe un seul découpage physique entre temps et espace, que le temps n'est pas un vecteur mais un scalaire, car il est impossible de se promener dans le temps comme on se promène dans l'espace, nous n'avons pas besoin de dimension w, c'est le temps qui joue ce rôle, c'est lui qui est responsable des changements d'échelles (divergences). Ainsi la forme de Schwarzschild est un point de vue à temps constant donc c'est une carte où il manque la dimension de la profondeur temporelle dans laquelle l'espace s'incurve.
Différence entre métrique 4D de Minkowski et euclidienne.
La métrique euclidienne permet de gérer un découpage comme un espace-temps à 4 dimensions.
La métrique de Minkowski balise l'espace-temps à coup de temps propre mais n'a pas le pouvoir de changer la géométrie. La métrique de Minkowski qui gère tous les référentiels comme s'ils étaient réels, espèce de concaténation de tous les éthers possibles, n'existe pas (vu à la fin de l'épisode précédent).
On voit en quoi elle est déficiente : elle duplique les objets dans un univers-bloc. Normalement, quel que soit le référentiel, on doit observer le même objet avec les mêmes dimensions : elle n'observe pas des objets mais des lignes d'univers, depuis un référentiel on observe l'objet à telle époque et depuis un autre à tel autre époque. Il n'y a pas unicité des objets physiques, en quelque sorte les objets individuels n'existent pas. C'est ce que corrige la métrique euclidienne. La première chose à comprendre est que le décalage de temps entre l'avant et l'arrière de l'objet est un décalage de temps dans le référentiel de l'éther. En métrique de Minkowski les deux extrémités sont à la même époque pour l'observateur mais pas pour l'objet, alors qu'en métrique euclidienne l'objet est asynchrone par rapport à l'éther, et c'est un fait absolu qui représente une longueur de temps. Du point de vue de l'objet, c'est l'éther qui est asynchrone, parce que ses axes de temps ont subi une rotation d'angle θ tel que 1/γ = cos θ et β = sin θ, mais c'est une illusion. Cette rotation c'est l'objet qui l'a subi, il a subi une déformation par divergence. L'opérateur divergence représente une rotation de l'espace dans le temps de même que le rotationnel représente une rotation entre les dimensions spatiales.
Il se passe la même chose en relativité générale, et ce sont ces déformations qui sont à l'origine de la courbure de l'espace-temps. En RR les objets sont en mouvement dans un espace-temps localement plat ce qui les place en situation d'anisotropie par rapport à lumière (en fait par rapport aux ondes quantiques de l'éther dont ils sont constitués) ; en RG c'est la lumière (et les ondes) qui est anisotrope par rapport à l'espace, ce qui impose cette fois une contraction de tout l'espace, qui est une rotation dans la dimension du temps (divergence, partie newtonienne) et une rotation des axes spatiaux (rotationnel, courbure spatiale non présente chez Newton) en raison de la symétrie sphérique.
En fin de compte, la métrique euclidienne avec temps scalaire est une réalité tandis que la métrique de minkowski avec temps vectoriel est une illusion.
Equivalence géométrique entre la RR et la RG
L'idée que l'objet en mouvement change de simultanéité et effectue une rotation dans l'espace-temps est bonne, ce qui est mauvais c'est de croire que c'est atteignable par une nouvelle simultanéité qui restaure l'isotropie de la lumière. Pour cela nous avons besoin d'un univers-bloc dans lequel le passé, le présent et le futur coexistent. En réalité, l'isotropie est perdue et il ne faut pas chercher à la retrouver, il faut au contraire acter qu'elle est perdue. Il faut basculer euclidiennement les axes d'espace-temps de sorte qu'ils restent isotropes d'un cône de lumière virtuel qui accélèrerait avec l'objet comme en métrique de Painlevé avec le chuteur, sauf qu'ici le cône ne bouge pas. L'objet en mouvement possède donc une simultanéité qui n'est pas la simultanéité physique de la lumière et n'est donc pas simultanée, ce n'est donc pas une simultanéité mais plutôt un axe spatial asynchrone.
Donc au bout du compte la simultanéité lorentzienne est effectivement factice mais cela n'empêche pas qu'il existe pour tous les objets mouvants un axe spatial qui leur est propre et par rapport auquel la lumière n'est pas isotrope. Il s'obtient par rotation euclidienne de l'axe spatial de l'éther. L'angle dépend de la vitesse tel que le sinus de cet angle vaut v/c. C'est l'angle d'aberration. C'est exactement le même angle que l'on retrouve en relativité générale car 1-Rs/R vaut le carré de ce sinus. L'espace-temps est donc euclidien, ce qui différentie le temps de l'espace ce n'est pas la signature, mais le fait que c'est une dimension scalaire (densité).
https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... &start=175
Cours :
http://www.blau.itp.unibe.ch/newlecturesGR.pdf
https://arxiv.org/pdf/gr-qc/9712019
https://liphy-annuaire.univ-grenoble-al ... ometry.pdf
On introduit la gravitation comme suit :
En métrique de Minkowski il existe un espace pseudo-euclidien 4D tangent en tout point de la variété pseudo-riemannienne. Cette métrique détermine le temps propre (vieillissement).
Mais on a montré dans l'épisode précédent que la métrique de Minkowski ne définit pas un espace 4D mais seulement un espace 3D+1 et n'est qu'une simple réécriture de la métrique euclidienne 3D+1. Elle n'est qu'un moyen de baliser les distances spatio-temporelles à coup de temps propre, elle n'a aucun pouvoir de changer la géométrie physique telle qu'elle apparaît sur les diagrammes, et cette géométrie est toujours euclidienne. On peut donc remplacer la métrique de Minkowski par la métrique euclidienne. La longueur d'espace-temps n'y est pas le temps propre, voilà tout.
Mais il y a quelque chose de plus fondamental.
1-La gravitation correspond-elle à un espace-temps courbe, que la métrique soit euclidienne ou minkowskienne ?
2-Le passé et le futur coexistent-ils avec le présent (non d'après l'épisode précédent)
A propos du point 2 :
Le monde réel ne contient que le présent vectoriel, le passé et le futur vectoriels n'existent pas, le temps n'est qu'un scalaire et la géométrie physique est celle des quaternions d'Hamilton (ou de l'algèbre de l'espace physique). Néanmoins, on peut très bien représenter graphiquement le passé le futur et le temps sous forme d'un vecteur.
Etude qui montre que l'approche des quaternions fonctionne : https://arxiv.org/pdf/2106.06394.pdf
Voici un dessin où le temps est représenté comme un 4e vecteur de l'espace :
https://i.stack.imgur.com/zmeTI.png
https://askfrance.me/q/pourquoi-la-vite ... 1833726604
https://physics.stackexchange.com/quest ... -spacetime
Sur le dessin le temps est représenté comme une dimension vectorielle pour fixer les idées, il faut imaginer que "l'épaisseur spatiale" du temps représentée sur le dessin n'existe pas. Seul l'espace la possède.
Pour passer de Newton à Einstein il suffit de représenter les trajectoires données par Newton mais en 4 dimensions et donc tenant compte aussi de la courbure espace-espace qui entraîne l'avance du périhélie et le doublement de la courbure de la lumière.
La courbure de l'espace induit une très légère courbure de la trajectoire parcourue par l'objet du fait de sa vitesse initiale, cette courbure n'est pas prise en compte dans les calculs de Newton, qui est une théorie du temps courbe seulement.
Il y a donc deux trajectoires courbes qui concourent à l'orbite spatio-temporelle, une composante temps courbe et une composante espace courbe, la seconde étant plate chez Newton.
Le temps propre ne sert à rien pour tracer la trajectoire des corps.
En outre, on suppose que la gravitation est un espèce d'effet d'ombre, mais plus exactement un effet de réfraction par déformation du matériau de l'espace-temps.
Un modèle gravitationnel de rivière, mais l'auteur adhère à la non existence de l'éther, ce qui est absurde : http://www.alenspage.net/AetherFlowGravitation.htm
Conclusions de cet épisode 4 en tenant compte des acquis des épisodes suivants
[Il faut préciser ici que l'espace de Minkowski comme concaténation de référentiels inertiels n'existe pas et donc que la variété courbe à 4 dimensions vectorielles de la RG non plus.]
La RG modélise un espace courbe à 4 dimensions vectorielles + 1 dimension scalaire. (Algèbre de l'espace-temps)
La théorie des formes différentielle est déficiente, elle passe sous silence la dimension scalaire et on pense donc qu'il n'y a que 4 dimensions. Mais un espace vectoriel courbé nécessite en fait une dimension scalaire de densité pour pouvoir se courber, donc l'espac-temps à 4 vecteurs ne peut être fonctionnel sans une 5e dimension scalaire.
Mais dans l'algèbre de l'espace-temp qui reproduit l'espace-temps de Minkowski il y a bien 4 vecteurs et un scalaire.
Or on peut refaire la RG avec une structure plus petite en 3D +1 qui est l'algèbre de l'espace physique, à condition de reconnaître que seule la métrique de Painlevé correspond au point de vue physique (lumière isotrope du chuteur).
Quand on définit les symboles de Christoffell on déforme des petits carrés d'espace-temps. On change les angles et les échelles pour produire une courbure. Les angles ce sont les dimensions d'espaces qui pivotent les unes dans les autres, le changement d'échelle c'est la dimension scalaire qui le prend en charge.
Donc l'espace-temps 4D se courbe à l'aide d'une 5e dimension scalaire, appelée w quand on la représente.
Dans ce cas la forme de Schwarzschild vaut celle de Painlevé, il n'y a pas de vrai découpage, l'espace-temps est courbé dans w. Donc quel que soit le mixage entre le temps et l'espace on peut toujours le négliger, considérer que ce ne sont que des changements de repères et que la vraie courbure est dans w et implique les 4 dimensions en même temps. Voilà pour l'interprétation de la physique mainstream.
Mais si on comprend qu'il existe un seul découpage physique entre temps et espace, que le temps n'est pas un vecteur mais un scalaire, car il est impossible de se promener dans le temps comme on se promène dans l'espace, nous n'avons pas besoin de dimension w, c'est le temps qui joue ce rôle, c'est lui qui est responsable des changements d'échelles (divergences). Ainsi la forme de Schwarzschild est un point de vue à temps constant donc c'est une carte où il manque la dimension de la profondeur temporelle dans laquelle l'espace s'incurve.
Différence entre métrique 4D de Minkowski et euclidienne.
La métrique euclidienne permet de gérer un découpage comme un espace-temps à 4 dimensions.
La métrique de Minkowski balise l'espace-temps à coup de temps propre mais n'a pas le pouvoir de changer la géométrie. La métrique de Minkowski qui gère tous les référentiels comme s'ils étaient réels, espèce de concaténation de tous les éthers possibles, n'existe pas (vu à la fin de l'épisode précédent).
On voit en quoi elle est déficiente : elle duplique les objets dans un univers-bloc. Normalement, quel que soit le référentiel, on doit observer le même objet avec les mêmes dimensions : elle n'observe pas des objets mais des lignes d'univers, depuis un référentiel on observe l'objet à telle époque et depuis un autre à tel autre époque. Il n'y a pas unicité des objets physiques, en quelque sorte les objets individuels n'existent pas. C'est ce que corrige la métrique euclidienne. La première chose à comprendre est que le décalage de temps entre l'avant et l'arrière de l'objet est un décalage de temps dans le référentiel de l'éther. En métrique de Minkowski les deux extrémités sont à la même époque pour l'observateur mais pas pour l'objet, alors qu'en métrique euclidienne l'objet est asynchrone par rapport à l'éther, et c'est un fait absolu qui représente une longueur de temps. Du point de vue de l'objet, c'est l'éther qui est asynchrone, parce que ses axes de temps ont subi une rotation d'angle θ tel que 1/γ = cos θ et β = sin θ, mais c'est une illusion. Cette rotation c'est l'objet qui l'a subi, il a subi une déformation par divergence. L'opérateur divergence représente une rotation de l'espace dans le temps de même que le rotationnel représente une rotation entre les dimensions spatiales.
Il se passe la même chose en relativité générale, et ce sont ces déformations qui sont à l'origine de la courbure de l'espace-temps. En RR les objets sont en mouvement dans un espace-temps localement plat ce qui les place en situation d'anisotropie par rapport à lumière (en fait par rapport aux ondes quantiques de l'éther dont ils sont constitués) ; en RG c'est la lumière (et les ondes) qui est anisotrope par rapport à l'espace, ce qui impose cette fois une contraction de tout l'espace, qui est une rotation dans la dimension du temps (divergence, partie newtonienne) et une rotation des axes spatiaux (rotationnel, courbure spatiale non présente chez Newton) en raison de la symétrie sphérique.
En fin de compte, la métrique euclidienne avec temps scalaire est une réalité tandis que la métrique de minkowski avec temps vectoriel est une illusion.
Equivalence géométrique entre la RR et la RG
L'idée que l'objet en mouvement change de simultanéité et effectue une rotation dans l'espace-temps est bonne, ce qui est mauvais c'est de croire que c'est atteignable par une nouvelle simultanéité qui restaure l'isotropie de la lumière. Pour cela nous avons besoin d'un univers-bloc dans lequel le passé, le présent et le futur coexistent. En réalité, l'isotropie est perdue et il ne faut pas chercher à la retrouver, il faut au contraire acter qu'elle est perdue. Il faut basculer euclidiennement les axes d'espace-temps de sorte qu'ils restent isotropes d'un cône de lumière virtuel qui accélèrerait avec l'objet comme en métrique de Painlevé avec le chuteur, sauf qu'ici le cône ne bouge pas. L'objet en mouvement possède donc une simultanéité qui n'est pas la simultanéité physique de la lumière et n'est donc pas simultanée, ce n'est donc pas une simultanéité mais plutôt un axe spatial asynchrone.
Donc au bout du compte la simultanéité lorentzienne est effectivement factice mais cela n'empêche pas qu'il existe pour tous les objets mouvants un axe spatial qui leur est propre et par rapport auquel la lumière n'est pas isotrope. Il s'obtient par rotation euclidienne de l'axe spatial de l'éther. L'angle dépend de la vitesse tel que le sinus de cet angle vaut v/c. C'est l'angle d'aberration. C'est exactement le même angle que l'on retrouve en relativité générale car 1-Rs/R vaut le carré de ce sinus. L'espace-temps est donc euclidien, ce qui différentie le temps de l'espace ce n'est pas la signature, mais le fait que c'est une dimension scalaire (densité).
https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... &start=175
Cours :
http://www.blau.itp.unibe.ch/newlecturesGR.pdf
https://arxiv.org/pdf/gr-qc/9712019
https://liphy-annuaire.univ-grenoble-al ... ometry.pdf
Dernière modification par externo le mardi 3 septembre 2024 à 15:25, modifié 83 fois.