• 5-La cosmologie euclidienne et la gravitation quantique

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #48849  par externo
 
Cet épisode fait suite à la gravitation euclidienne

Nous allons dans ce 5e épisode tracer les conséquences cosmologiques du passage de l'espace-temps de Minkowski à l'espace-temps euclidien et donner une explication quantique de la gravitation à l'aide de la théorie de la structure ondulatoire de la matière.

Minkowski et ceux qui ont pris sa suite ont fait l'erreur de penser que la dimension du temps était une dimension vectorielle. En fait le temps n'est pas une dimension vectorielle mais scalaire et pilotée par la densité de l'espace. C'est Hamilton avec les quaternions qui a trouvé le vrai formalisme de l'espace-temps plat.

Il y a la question de la géométrie de l'univers. L'hypothèse la plus plausible et qui semble compatible avec l'observation est que l'univers est une sphère de rayon le temps (modèle de type Rh = ct avec univers observable en tant qu'hémisphère) dont la surface est l'espace ou l'éther. La constante de Hubble fonctionne exactement comme si nous étions n'importe quel point à la surface d'une sphère en expansion. Les points les plus rapprochés de nous s'éloignent peu, les points les plus éloignés s'éloignent davantage et l'univers observable correspond à un hémisphère de la sphère. Dans notre environnement et en l'absence de champ gravitationnel, nous ne percevons pas de mouvement dans le temps car tout l'univers proche est porté par ce mouvement et se déplace dans la même direction. On ne voit pas le mouvement de la Terre autour du soleil pour la même raison. Lorsque vous êtes dans un train, vous ne percevez le mouvement que si vous regardez par les fenêtres les objets qui ne sont pas emportés par le train. Quand on observe un objet en chute libre depuis l'infini, c'est une partie de son mouvement dans le temps que l'on perçoit, car là où se trouve l'objet le temps s'écoule dans une autre direction que celle que nous suivons. (Mais on le perçoit sous forme de mouvement spatial car la dimension du temps est une dimension scalaire. Le mouvement dans le temps est en fait un mouvement de contraction ou dilatation de l'espace.) On en déduit alors ceci : Si les galaxies s'éloignent c'est que là où elles sont, l'espace ne se déplace pas dans la même direction que nous, le temps est donc orienté différemment et le mouvement de l'espace dans le temps devient visible. La constante de Hubble nous montre la géométrie de l'univers. Si nous nous trouvons sur une sphère en expansion, tous les objets s'éloigneront de nous selon la loi de Hubble, mais nous ne verrons pas notre propre mouvement car il se passe en quelque sorte sous nos pieds. Ainsi l'univers visible représente un hémisphère de l'univers total. Le rayon de l'univers est le temps cosmique.
[Les observations astronomiques semblent montrer que l'univers est plat parce que la géométrie considérée n'est pas la bonne. Ici, la courbure de l'univers est orientée dans le temps, c'est une courbure espace-temps alors que les observations cherchent des courbures espace-espace. Si on est à la surface d'une sphère et qu'on regarde au loin sur la sphère, on ne voit pas la courbure de la lumière qui arrive à nos yeux car elle se trouve dans notre ligne de visée.]
Ainsi l'univers serait une sphère d'espace (d'éther) et les champs gravitationnels seraient des dépressions à la surface. Dans ces dépressions, l'espace est orienté différemment. Le référentiel de cette sphère d'espace est a priori celui du CMB. De nombreux travaux de recherche expliquent que le révérenciel privilégié de la théorie de Lorentz est le révérenciel du CMB.
Il existe deux types de mouvements : le mouvement d'expansion et le mouvement local des galaxies et autres objets. La vitesse absolue de la théorie de Lorentz correspond à la vitesse locale des galaxies et des objets. C'est la vitesse relative à l'espace/éther.

La représentation sphérique de l'univers est compatible avec les observations et avec la notion que l'univers visible correspond à une hémisphère de l'univers total :
https://forums.futura-sciences.com/disc ... -idee.html

On voit très bien le problème de l'univers plat :
Image
La lumière accélère en s'éloignant de nous, mais l'espace reste plat et le cône ne bascule pas. C'est la métrique t² - (a(t)r)²
Ceci n'est pas conforme à la RR, car chaque observateur dans son référentiel devrait plutôt avoir sa ligne d'univers comme bissectrice de son cône de lumière.
Si la lumière accélère c'est parce que l'espace se courbe comme ça :
Imagehttp://www-cosmosaf.iap.fr/iap_web/Cosm ... mega_2.gif
http://www-cosmosaf.iap.fr/Cours-cosmo-3.htm

Cela correspond à un découpage en coordonnées de Lemaître/ Painlevé dans un espace à courbure constante donc homogène. C'est la gravitation qui fait diverger les lignes d'univers.

On peut montrer que l'univers est nécessairement sphérique :
https://forums.futura-sciences.com/disc ... rique.html
On suppose que la matière est distribuée de façon homogène dans l'univers.
Un objet qui se trouve loin de toute masse particulière éprouve une force gravitationnelle identique en provenance de tout l'univers.
Cela signifie que l'espace est courbe de manière homogène autour de lui. La courbure spatiale est donc constante.
Si l'objet se déplace le long d'une ligne à courbure constante il finira nécessairement par revenir à son point de départ et l'univers est sphérique.
On ne peut pas détecter la courbure radiale de la lumière dans un champ de gravitation. Or c'est justement cette courbure qui fait se replier l'univers sur lui-même, il n'est donc pas possible de détecter optiquement la courbure de l'univers.

Construction :
On trace une ligne droite et une cuvette dessus, on prolonge la partie sortante comme une nouvelle ligne droite et on y place une nouvelle cuvette etc..., cela finit par se refermer sur soi-même. L'univers isotrope est forcément fermé parce que la courbure se cumule jusqu'à se replier sur elle même. On remarque que les cuvettes sont en fait des monts, elles ne représentent donc pas les zones denses mais plutôt les zones sous denses, les grands vides cosmiques, qui sont à l'origine de l'expansion de l'univers.
On peut aussi voir facilement d'après l'effet Sagnac qu'un univers fermé possède un référentiel privilégié, par conséquent l'univers fermé d'Einstein est en contradiction avec sa propre interprétation de la relativité.

Chaque grand vide est comme une montagne avec des versants, chaque versant étant attiré chacun de son côté par le champ gravitationnel en bas dans la vallée. C'est donc la gravitation qui est à l'origine de l'expansion. Les ondes du vide (le champ électromagnétique du point zéro) se dilatent, dilatant l'éther avec elles. Comme tout est lié et est en équilibre les zones denses se dilatent par voie de conséquence aussi et probablement nous nous dilatons sans nous en rendre compte. Il est possible que la dilatation ralentisse et finisse par s'inverser mais auquel cas le temps doit ralentir aussi ce dont nous ne pouvons pas nous rendre compte non plus, et quand l'univers commencera à se contracter nous ne nous rendrons compte de rien mais la flèche du temps changera de direction.
La raison de la future contraction pourrait être que les zones denses se dilatent mais tout en résistant et à un moment donné elles prendront le dessus et se contracteront forçant par la même occasion les grands vides à se contracter aussi, et tout l'univers se contractera. L'expansion serait ainsi dû à des attractions divergentes à symétrie sphérique au sein des vides mais qui pourraient finir par se résorber en une grande attraction générale convergent en un seul point.

La métrique associée est dT² = a²(T) (dt² + dr²), c'est à dire l'équation d'une sphère, avec T le temps cosmique ou rayon.
On peut la réécrire dT² - a²(T) dr² = a²(T) dt² ce qui n'est rien d'autre que la métrique FLRW avec "courbure spatiale" k = 0.
https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... 28#p639128


Mécanisme de l'expansion
L'idée que les lignes d'univers divergent dans un univers sphérique et que ça fait l'expansion peut être vue comme la dilatation de l'éther.
Un objet sphérique est attiré par le lointain de la même manière sur toute sa surface parce que ses lignes d'univers divergent.
L'expansion de l'univers vient donc de la gravitation des masses éloignées qui agit sur le tissu de l'espace en le courbant d'une courbure constante, ce qui fait diverger les lignes d'univers.
Comme le tissu de l'espace est dilaté le temps va vers le futur.
Quand les ondes quantiques (champ électromagnétique) se dilatent sous l'effet des masses lointaines, l'éther qui les constitue se dilate avec elles, quand les ondes deviennent anisotropes et convergent vers un point massif, l'éther doit véhiculer l'énergie en surplus dans une direction par rapport à l'autre et se comprime relativement car les ondes stationnaires se compriment et changent leur simultanéité en se déplaçant comme la matière elle-même (ça explique la contraction de l'espace/éther dans un champ gravitationnel cad l'intervertissement des dimensions)
Donc l'éther est passif dans tout cela, il ne se dilate et se contracte que sous l'impulsion des ondes quantiques.
Donc l'univers gonfle vers le futur, mais par contre l'espace plonge près des masses vers le passé.
La matière doit se dilater elle aussi. Tout comme les objets dans un champ de gravitation sont contractés, la matière dans le temps passé était contractée mais dans toutes les directions.
Ca n'empêche pas le redshift cosmologique, chaque crète d'onde ayant de plus en plus d'intervalle à franchir la fréquence diminue. C'est comme le chuteur de Painlevé qui constate le redshift. Ce qui compte est le déplacement dans l'expansion, que la matière grossisse ou pas ne change pas la perception du redshift de la lumière. Si le chuteur grossit en tombant il percevra quand même le redshift.

Reformulation :
Les lignes d'univers sont les déplacements dues à l'attraction gravitationnelle.
Schématiquement chacun suit sa ligne d'univers orthogonale à la courbure et s'éloigne des objets autour de lui.
Mais en fait chacun est au centre de sa sphère de Hubble et se trouve attiré identiquement dans toutes les directions.
Deux objets séparés ont deux sphères de Hubble légèrement différentes, ce qui entraîne que leur état d'équilibre attractif diffère. La partie des sphères de Hubble non communes aux deux objets représente une attraction que l'autre ne possède pas. Ce sont deux zones d'attractions situées à l'opposée l'une de l'autre. Du point de vue A, B n'est pas attiré par une certaine zone de l'univers qui l'attire lui-même dans une direction mais est à la place attiré vers une zone de l'univers qui ne l'attire pas lui-même. Il y a donc éloignement de A et B. Tout en étant immobiles en équilibre, ils s'éloignent l'un de l'autre parce qu'ils ne sont pas attirés par les mêmes zones de l'univers. C'est tout l'éther qui se dilate ainsi sous les déplacements d'énergies induits par la force gravitationnelle.
Les ondes qui parcourent l'éther et qui dictent le temps cosmique sont issues de toute la matière de l'univers, le temps cosmique est donc piloté par le champ gravitationnel moyen de la matière. Dans les grands vides de l'univers le temps doit passer plus vite que le temps cosmique car la densité est moindre. Si la Terre était placé dans un grand vide le temps sur Terre passerait plus vite que là où elle se trouve, parce que la dilatation du temps est le facteur de dilatation fois le temps cosmique local, qui est plus rapide dans les grands vides. Les grands vides sont des reliefs en hauteur et se comportent donc comme des répulseurs (argument de JPP pour justifier son modèle Janus). Le wikipedia français dit que la répulsion vient simplement de l'absence de gravitation dans cette région mais ce n'est pas ce que dit la version anglaise. Ceux qui ont fait cette étude prétendent qu'il y a une vraie répulsion. On voit qu'elle est exliquée ici par le fait que ce sont des bulles dilatées où la courbure est en sens inverse, ce qui provoque une répulsion. Géométriquement c'est une bosse sur l'univers donc une courbure opposée au creux de la gravitation, c'est donc bien une répulsion.

La matière noire.

Elle est logiquement la manifestation de l'expansion de l'univers. Deux points immobiles à la surface de l'. univers et suivant leur ligne d'univers n'auront pas des trajectoires parallèles en raison de la courbure de la surface. Ils vont s'éloigner. C'est l'expansion. Cette courbure du cosmos est le contraire de la courbure des champs gravitationnels normaux tels que ceux des galaxies. Ceux-ci forment des creux et la courbure de l'univers forme une bosse. Elle agit donc comme une antigravité.

Les travaux d'André Maeder montrent que la matière noire peut être modélisée comme une force accélératrice répulsive dont la valeur serait la constante de Hubble.
https://arxiv.org/abs/1710.11425v1
https://adsabs.harvard.edu/full/1979A%26A....73...82M
Il attribue le phénomène à l'invariance d'échelle du vide et à l'accélération de l'expansion, mais il est plus logique de penser qu'il s'agit de l'expansion elle-même. La matière noire serait donc la manifestation de la courbure de l'univers qui s'oppose à la courbure des galaxies. Autrement dit, c'est l'expansion de l'univers qui s'oppose à la force gravitationnelle des galaxies. Les mathématiques montrent que la matière noire agit comme si tous les objets de l'univers subissaient une accélération équivalente à l'accélération de la constante de Hubble.
Citation :
"Thus, the scale-invariant two-body problem leads essentially to the same solutions as the Newtonian case, with a slight supplementary outward expansion at a rate that is not far from the Hubble expansion"
"Let us now consider the case of the empty space. In the Newtonian framework, a test particle would have a constant velocity with dv/dt = 0. In the scale-invariant case, it would experience a slow acceleration."

Voici un autre article :
https://www.ig.cas.cz/wp-content/upload ... s_2022.pdf
https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 71743/full (https://arxiv.org/abs/2207.08196)
qui semble retrouver les mêmes résultats en utilisant le temps conforme et où il est explicitement proposé que l'expansion soit à l'origine de la matière noire. Il est nécessaire de remplacer la métrique FLRW par la métrique CC utilisant le temps conforme. L'auteur parle d'une dilatation du temps dans le passé ce qui revient à dire que le temps passe de plus en plus vite au fur et à mesure que la densité diminue et que la vitesse de la lumière augmente, mais ceci n'est pas cohérent, c'est une mauvaise compréhension.
L'auteur montre que cette métrique permet de se débarrasser également de l'énergie noire. (Voir plus loin la solution de ce problème dans le big bang relativiste de LaFrenière)
[[On ne comprend pas comment il en déduit qu'elle expliquerait l'anomalie Pioneer étant donné que l'accélération était dirigée vers le Soleil et non en sens contraire. Ce point a été supprimé dans la version publiée.]]
Il y a un fond intéressant dans ce papier mais il est peu probable que le temps passe plus vite aujourd'hui que par le passé. En effet les objets matériels subissent l'expansion, par le passé ils étaient plus petits du facteur d'échelle, d'un autre côté la lumière était plus lente donc les deux s'annulent et la fréquence des particules était la même qu'aujourd'hui. C'est différent de la situation d'anisotropie de la vitesse de la lumière car alors la durée de l'aller retour est augmentée du carré du facteur gamma ce qui implique la dilatation du temps.
Autres articles du même auteur :
https://www.sciencedirect.com/science/a ... via%3Dihub
https://royalsocietypublishing.org/doi/ ... .2022.0045
https://forums.futura-sciences.com/disc ... ry-uk.html

On retrouve dans ces deux études l'idée que l'effet d'expansion se ferait sentir au niveau des planètes et serait la conséquence d'une partie de l'éloignement de la lune de la terre. Mais si on suppose que la matière se dilate elle aussi on comprend que l'éloignement des planètes n'est pas mesurable, mais cela n'en aurait pas moins des effets notables sur le climat de la Terre plus proche du Soleil, ce qui est un des arguments donnés dans le second article.

Bilan
Choisir un espace-temps avec temps scalaire et signature (++++) revient au même que choisir un espace-temps avec temps vectoriel et signature (+---) Mais dans le premier cas c'est la géométrie physique et dans l'autre une fiction.
Les métriques de la RG dans les deux cas sont les mêmes, seule la signature devant le temps et l'espace change et le sens du ds² diffère. Le problème en cosmologie ne vient donc pas de la métrique de Minkowski mais de ce que le temps n'y est pas courbe.
La bonne métrique est la métrique conforme qui obéit à Rh = ct. Elle intègre l'expansion dans sa définition.
Il est obligé que la courbure générale de la somme des champs gravitationnels de toutes les masses de l'univers se referme en sphère, entraînant la courbure du temps cosmique avec elle. C'est pour ne pas avoir compris cela que les cosmologistes ont ajouté le facteur de courbure k, qui en réalité n'existe pas. L'univers est une sphère quaternionique.

-----------------------------

Autre article possiblement compatible : https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 95977/full
Il aborde le problème du point de vue thermodynamique et montre que la matière noire et l'énergie noire sont des conséquences naturelles de l'expansion de l'univers. Comme on le verra plus loin, le champ gravitationnel est un échange d'énergie entre la matière (ondes stationnaires sphériques) et l'énergie du vide (composée d'une maille d'ondes stationnaires planes).
Nous pensons que c’est la gravitation de toute la matière ordinaire, s’étendant du passé lointain et dense au présent clairsemé, plutôt que la matière noire, qui apparaît dans la rotation et la dispersion des vitesses des galaxies. De même, nous soutenons que c’est ce gradient d’énergie gravitationnelle dû à l’expansion, plutôt que l’énergie sombre, qui explique la luminosité des supernovae de type 1a par rapport aux données de redshift.
Fil sur forum anglais : https://physicsdiscussionforum.org/view ... 050#p22050
avec quelques explications et schémas non présents ici ( #57 et #74 ) et cette précision ( #114 )
-------------------------------------------------

Seuil de déclenchement :
Il existerait un seuil de déclenchement à l'effet gravitationnel de la matière noire (voir théorie MOND et les mesures expérimentales sur les étoiles binaires). Il faut attendre que la force de gravitation de la courbure soit supérieure à la force de gravitation locale pour que l'effet devienne réellement sensible tout à coup.
La courbure spatiale s'adoucie autour de la galaxie, ce faisant elle rejoint la courbure de l'univers produite par toutes les masses de l'univers.
Le mécanisme de ce seuil de déclenchement est à étudier dans les deux articles cités plus haut.


Le modèle Rh = ct
Le modèle sphérique dont il est question dans cet épisode est un modèle Rh = ct, mais il est question ci-dessous du premier tel modèle publié en 2012.
Le modèle à facteur d'échelle 1 aurait commencé à être étudié en 2012
https://arxiv.org/pdf/1109.5189.pdf

Ils partent de l'dée que le rayon de Schwarzschild constitue le rayon de l'univers :
Le rayon de Hubble est le point où le taux d'expansion universelle R˙(t) = a˙(t)r est égal à la vitesse de la lumière c. Mais bien que ce rayon soit bien connu, il est rarement reconnu comme une simple manifestation du rayon gravitationnel (voir Melia 2007), car chaque observateur subit une accélération nette nulle d'une masse isotrope environnante, ce qui suggère qu'aucune mesure de distance équivalente au rayon de Schwarzschild n'est présente en cosmologie. Mais en fait, l'accélération relative entre un observateur et tout autre point de l'espace-temps dans le cosmos n'est pas nulle ; elle dépend du contenu en masse-énergie entre lui/elle-même et ce point.
La répartition des masses isotrope autour de nous constitue un rayon de Schwarzschild.

"Rh = 2GM(Rh)/c² (8)
Comme nous le verrons plus loin, les équations FRW autorisent en principe de nombreux types de solutions avec leur propre forme particulière du facteur d'expansion a(t). Cependant, lorsque nous imposons la condition de l'équation (8), seule une de ces solutions est autorisée.
Nous avons ici supposé un univers plat avec k = 0, comme indiqué par les mesures de précision du rayonnement CMB (Spergel et al. 2003).
Quoique non défini de cette manière, le rayon de Hubble c/H₀(t) (plus communément rencontré lorsque les coordonnées comobiles sont utilisées) est donc vu comme coïncidant avec le rayon gravitationnel Rh émergeant directement de la métrique de Robertson-Walker écrite en termes de R. Cela signifie, bien entendu, que le rayon de Hubble n'est pas un simple artefact empirique de l'univers en expansion, mais représente véritablement le rayon auquel une sphère centrée sur l'observateur contient suffisamment de masse-énergie pour que sa surface fonctionne comme un horizon statique. Bien entendu, cela signifie également que la vitesse d'expansion à une distance Rh de nous doit être égale à c, tout comme la vitesse de la matière tombant dans un objet compact atteint c à l'horizon du trou noir (et c'est en fait le critère utilisé pour définir le rayon de Hubble en premier lieu).
Le problème est : K = 0 est donc plat au sens de la courbure.
Pour eux, l'univers est plat, ce qui signifie que le paraboloide de Flamm n'est pas une courbure de l'espace.
En fait le rayon dont ils parlent est mesuré avec le R de Schwarzschild, qui n'est que la distance radiale contractée.
Le problème de ce modèle est qu'il modélise l'anisotropie apparente de la vitesse de la lumière comme un facteur de dt dans la métrique, alors que cette anisotropie doit être modélisée dans la courbure de l'espace et le basculement de l'axe du temps.
Ils font une analogie avec la métrique de Schwarzschild alors que l'espace dans un champ de gravitation de Schwarzschild est emporté dans le temps coordonné, ce qui est une situation différente d'un univers homogène et isotrope.
  • La vitesse de la lumière en fonction du temps est géré par le facteur devant t² et x² dans la métrique.
    L'anisotropie apparente de la vitesse de la lumière en fonction de la position est gérée par le facteur de courbure de l'espace.
Articles plus récent du modèle Rh = ct.
https://www.scirp.org/journal/paperinfo ... erid=85158
Ce modèle suppose également que le temps passait plus vite quand l'univers était plus dense, ce qui serait supposément conforme à la RG, sauf qu'en fait la lumière étant isotrope contrairement à dans un champ gravitationnel, le temps cosmique passait au même rythme qu'aujourd'hui.
https://link.springer.com/article/10.10 ... 4-05570-62


--------------------------
Erreurs d'Einstein
La première erreur est celle de l'équivalence physique des référentiels (1905).
L'équivalence n'est vraie que dans l'espace-temps hypothétique de Minkowski.
Cependant, Einstein et d'autres pensaient que le découpage temporel associé à un objet correspond à son temps propre et que l'espace est toujours orthogonal à ce temps propre, et donc qu'un ensemble d'objets ayant le même temps a le même espace, mais qu'il s'agit vraiment pour eux de l'espace physique et du temps physique et non pas d'un découpage parmi d'autres. Donc aux comobiles est associé un espace physique unique. La deuxième erreur d'Einstein a été de ne pas comprendre que la courbure de l'espace est dans le temps cosmique, ce qui lui fait représenter l'univers comme un cylindre au lieu d'une boule.

Modèle bimétrique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Modèle_co ... i-métrique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8 ... _model.svg
D'après les modèles bimétriques l'univers serait constitué de deux feuillets accolés qui évolueraient chacun selon sa flèche du temps. Cette représentation est issue de l'interprétation orthodoxe de la RG, c'est à dire que la courbure spatiale est interprétée comme étant dans une espèce de 5e dimension, ce qui fait que l'espace et le temps sont disjoints. Mais si on comprend que l'espace se courbe dans le temps, le modèle bimétrique devient une sphère et les deux feuillets sont chacun une hémisphère de cette sphère. La matière située sur l'autre hémisphère se trouve ainsi au delà de l'horizon des évènements et évolue à rebours par rapport à notre flèche du temp, c'est donc de l'antimatière. Or il se trouve que la géométrie associée à la métrique de Painlevé suggère que l'espace se courbe dans le temps.

Etudes (découvertes après coup) qui semblent conformes à l'univers décrit ici :
https://hal.science/hal-00782038v2
An hypersphere model of the Universe - The dismisal of dark matter (Son modèle pose des problèmes car sa géométrie n'est pas quaternionique, la coordonnée du temps propre, ce qui ne peut pas être vrai en RR)
https://www.authorea.com/users/497173/a ... n-universe
Il faut cependant faire attention à ce que contient ce papier et trier les idées.
Dernière modification par externo le mardi 3 septembre 2024 à 15:00, modifié 132 fois.
 #48852  par externo
 
Pourquoi l'univers d'Einstein est-il cylindrique ?
Dans un champ de gravitation le temps cosmique ou temps d'univers reste vertical, c'est le temps local qui s'incline. Avec cette idée, on peut penser que la courbure de l'espace est indépendante de la direction du temps d'univers. La courbure peut se remplier sur elle-même et le temps d'univers rester vertical. C'est l'univers d'Einstein. Mais si on considère qu'en l'absence de champ gravitationnel local l'espace est courbe du seul fait des masses lointaines le temps d'univers tient lieu de temps local et change d'orientation avec la courbure et on retrouve l'univers sphérique dont il est question ici.

Pourquoi la métrique de Friedman est-elle fausse ?

https://forums.futura-sciences.com/disc ... bonne.html
D'abord on suppose que l'univers est homogène et isotrope et donc que toutes les galaxies ont le même temps propre.
Ensuite on suppose que l'univers est en expansion en raison d'une énergie inconnue.
On peut retrouver les équations de Friedmann dans le cas Newtonien.
L'énergie de l'univers serait égale à E = l'énergie cinétique des galaxies + l'énergie potentielle gravitationnelle de ces mêmes galaxies.
A partir de là on tire une série de conséquences.
En relativité, il faut imaginer que la courbure positive des galaxies s'oppose à la courbure négative de l'énergie inconnue. Cela suppose que l'univers n'est pas en équilibre par lui-même et qu'une énergie inconnue est nécessaire à cet effet.
Or si l'univers est homogène et isotrope il est stable étant donné que toutes les galaxies sont attirées dans toutes directions avec une force égale.
Donc l'énergie inconnue ne sert à rien.
Et de plus l'univers est une 3-sphère puisque le potentiel gravitationnel est positif à courbure partout la même.
Nous avons donc une 3-sphère a priori en équilibre gravitationnel.
Mais sur une sphère les lignes d'univers divergent, ce qui provoque la dilatation de la sphère.
Nous avons donc un univers sphérique en expansion sans faire intervenir d'énergie inconnue ni de courbure inconnue ni de facteur d'échelle inconnu...

Conclusion : La métrique de Friedmann et les équations de Friedmann sont basées sur l'hypothèse que l'univers n'est pas en équilibre gravitationnel naturellement. Mais cette supposition repose elle-même sur l'idée que l'univers est une sphère dans un espace plus grand que lui et donc susceptible de s'effondrer sur lui-même, ce qui est un raisonnement de physique classique.

Comme vu plus haut, la métrique FLRW standard ne tient pas compte de la variation de la vitesse de la lumière en fonction du potentiel gravitationnel qui varie avec le temps. La vitesse lumière augmente car le potentiel gravitationnel (courbure) diminue avec l'expansion, on peut dire aussi que la densité de l'espace diminue.

L'origine de la géométrie de la cosmologie mainstream.

Dans une fusée en mouvement, la vitesse de la lumière est plus lente vers l'avant que vers l'arrière. Mais d'après le principe de relativité, les occupants de la fusée n'ont pas conscience de ce phénomène. Cela ne l'en rend pas moins réel, car le principe de relativité ne dit pas ce qui est mais ce qui semble.
On peut ainsi créer un référentiel virtuel dans lesquels les occupants de la fusée pensent être au repos dans l'éther. Comme l'avant de la fusée est en retard sur l'arrière, il suffit pour cela d'avancer les horloges de l'avant jusqu'à ce que l'on retrouve une simultanéité apparente. Cela est faisable, mais cela ne change rien à la réalité. En métrique de Minkowski, cet avancement dans le temps s'effectue "pour de vrai", l'objet qui accélère se met en quelque sorte en travers dans le temps si bien que son avant est dans le futur par rapport au référentiel de départ. Il n'y a aucun moyen intelligible pour que ceci puisse se produire, car à quel moment les extrémités de la fusée se désynchronisent-elles, et par quel mécanisme ? La différence de temps propre entre l'avant et l'arrière due à la contraction des longueurs est insuffisante pour rendre compte du phénomène. Bien entendu, la seule explication rationnelle est qu'une partie du décalage vers le rouge constaté par les passagers pendant l'accélération provient de la différence des temps propres entre l'avant et l'arrière et le reste de la variation de la vitesse de la lumière.
Bref, en postulant la réalité des apparences, on vient à penser que le présent est relatif à la vitesse et que toutes les époques coexistent dans un univers-bloc.
-----------------------------------------

Dans un diagramme de Minkowski la lumière se déplace à 45°.
Avec la gravité l'angle varie, il diminue. C'est le changement de métrique.
Donc d'après la théorie, du point de vue de l'observateur de Schwarzschild la lumière est isotrope partout. Mais par un changement de coordonnées approprié (Painlevé ou Lemaître) la lumière devient isotrope par rapport au chuteur et est entraînée par la gravitation, ce changement de coordonnées a aussi pour conséquence de rendre l'espace courbe, le cône de lumière bascule le long de la trajectoire du chuteur.
Dans le cadre de la métrique cosmique, la constance de la courbure fait que l'espace devient sphérique.
Un changement de coordonnées ne peut pas (a priori) changer la "physique", donc si on choisit de faire un changement de coordonnées qui rend l'espace sphérique on a le droit et rien ne change.
Or les observations donnent un univers plat, ce qui veut dire que ces observations sont faites avec un certain système de coordonnées, on doit sûrement utiliser notre temps propre pour faire cette observation de platitude. Or si on utilise un autre système de coordonnées cette même platitude se transformera en sphéricité.
Je choisis le système de coordonnées qui rend l'univers sphérique et je dis que c'est le système physique.
1-Il est le seul à pouvoir prendre en compte selon la RR l'anisotropie apparente de la vitesse de la lumière dans le lointain. Chaque observateur dans son cône de lumière a sa ligne d'univers qui est la bissectrice de ce cône, donc la représentation de l'univers plat est une représentation faite en ne tenant compte que de notre cône local, pourquoi préférer notre cône au cône des autres observateurs ?
Ce dessin est faux puisqu'il suppose que l'univers possède notre simultanéité (au centre) comme simultanéité universelle :
Dans cette représentation :
Image
http://www-cosmosaf.iap.fr/iap_web/Cosm ... omega0.gif
Il est évident que la simultanéité doit basculer localement.
2-La preuve physique de la sphéricité de l'univers serait celle qui montrerait que seul ce système de coordonnées est capable de décrire toute la physique et c'est peut-être l'étude de 2019 qui montre que le champ gravitationnel est beaucoup trop fort dans le passé et implique un univers sphérique :
https://www.futura-sciences.com/science ... que-51832/

[En cosmologie dérivée de la RG d'Einstein, ce qu'on appelle la courbure de l'espace est une courbure à temps constant et n'existe physiquement pas car la courbure intrinsèque modélise les phénomènes de dilatation et contraction des longueurs gravitationnelle, qui sont des phénomènes dynamiques et non pas géométriques. On travaille donc sur des chimères.
Voir ici :
https://forums.futura-sciences.com/disc ... temps.html
La vraie courbure de l'espace est à temps non constant et correspond à ce qui est appelé en RG une géodésique de genre espace. Mais ces géodésiques n'y sont pas très étudiées car elles sont considérées comme peu intéressantes.]


Le Big Bang Relativiste de LaFrenière.
Image
https://mildred.github.io/glafreniere/b ... iviste.htm

"Le fait que l'univers soit manifestement en expansion suggère fortement qu'il s'est produit un Big Bang à l'origine. Dans ces conditions, une application élémentaire de la Relativité de Lorentz, qui est fondée sur l'existence de l'éther, indique que l'expansion de l'univers est relativiste, en ce sens qu'il existe réellement un centre où cela s'est produit, mais que l'emplacement de ce centre ne peut pas être déterminé."
https://web.archive.org/web/20110126071 ... m/blog.htm

LaFrenière suppose dans sa page sur le big bang relativiste que l'effet Doppler relativiste s'applique à l'expansion de l'univers et que chacun se croit au centre par un effet d'optique induit.
Les dessins et animations données sur cette page sont remarquables car ils représentent en fait sans même que leur auteur ne s'en soit rendu compte l'univers quadridimensionnel dont il est question ici.
Le rayon de l'univers croit de c mètres par seconde, donc si la distance est évaluée selon le rayon, les galaxies ne peuvent pas fuir par rapport à nous plus vite que la vitesse de la lumière. Celles qui sont sur l'horizon cosmologique se trouvent sur l'équateur par rapport à nous qui sommes au pôle, elles ont donc une vitesse radiale de c par rapport à nous.
Et en effet, quoique toutes les galaxies soient immobiles sur la sphère (si on excepte bien entendu leur vitesse particulière), la représentation géométrique de la sphère d'expansion en 4 dimensions est la même que si l'espace et les galaxies s'éloignaient de nous radialement et subissaient un effet Doppler relativiste, c'est à dire une rotation temporelle avec l'éloignement. Pour cette raison les graphiques de LaFrenière représentent des sphères d'univers bien que ce ne soit pas leur intention. La densité n'augmente pas réellement avec l'éloignement mais la courbure de l'espace sur le long terme donne cette impression. Au loin, l'espace est orienté autrement ce qui simule un champ de gravitation et donc une différence de densité.
LaFrenière suppose que sur le bord compressé à l'infini toutes les galaxies de l'univers sont contenues, mais s'il est vrai que la densité est plus importante à ce niveau, le nombre de galaxies totale est simplement celui contenu dans l'hémisphère visible. La vision de l'univers 4D de LaFrenière correspond en fait à une demi hémisphère qui se prolonge tangentiellement en un cylindre de longueur inconnue.

Pour LaFrenière cette image correspond à une boule en trois dimensions. La galaxie de l'observateur est au centre et les autres galaxies se contractent jusqu'à la "surface". La boule est l'univers visible. Dans la représentation 4D on constate que l'univers visible représente une hémisphère de l'univers total. Il faut préciser que la contraction des galaxies n'est pas visible aux télescopes comme elle se situe dans l'axe de leur déplacement.

Dans le cadre des mouvements inertiels de la matière tout se passe comme si personne ne se déplaçait vraiment, mais en réalité il existe un référentiel privilégié au repos absolu. LaFrenière applique cette apparence de relativité du mouvement à la fuite des galaxies et montre que même s'il existe une galaxie qui est vraiment immobile et les autres en expansion on ne peut pas savoir laquelle. Seulement, comme ici c'est l'éther lui même qui s'étend c'est à dire le référentiel absolu, le déplacement des galaxies est symétrique pour de vrai et la relativité de leur mouvement de fuite dans ce contexte n'est pas une illusion. Il n'existe pas de galaxie immobile.

L'univers grossit relativistiquement. Chacun se croit au centre de l'univers. Par application des transformations de Lorentz euclidiennes tout azimut à la fuite des galaxies on constate que l'univers est sphérique.
Bien sûr, Lafrenière ne l'a pas compris ainsi, car il ne savait pas que la contraction est une rotation dans le temps. Il a dû abandonner l'idée de la dilatation de l'éther pour la remplacer par l'idée d'un éloignement cinématique des galaxies, ce qui l'a beaucoup dérangé étant donné l'énergie cinétique nécessaire, au point à la fin de la page de remettre tout son modèle en question. Mais ça revient au même. Quand on s'éloigne des galaxies elles font par rapport à nous une rotation temporelle comme en RR sauf qu'ici l'éther prend part à la rotation et les objets en son sein sont immobiles. Et cela met en évidence la géométrie fondamentalement elliptique de l'univers. A force de tourner, ça forme un tour complet, mais déjà sur l'horizon l'angle est de 90° et la vitesse de fuite = c. Lafrenière ne pouvait pas imaginer que des objets immobiles au sein de l'éther puissent tout de même provoquer la contraction des longueurs observationnelle parce qu'il ne savait pas que ce phénomène était dû à la perspective, il pensait à une compression physique tout court, ce qui l'empêchait de réconcilier son BigBang relativiste avec la dilatation de l'éther.

Accélération de l'expansion :
Etant donné que la vitesse de la lumière augmente avec le temps, l'expansion accélère. Mais comme le temps accélère aussi le champ gravitationnel des masses augmente aussi, ce qui fait que l'accélération de l'expansion n'a pas d'effet physique et ne contribue pas comme une force qui s'opposerait à la gravitation. Viendra un jour où la courbure moyenne de l'univers sera suffisamment faible pour que la gravitation locale l'emporte et l'univers entrera en contraction.

Calcul faux : [Son explication de l'accélération de l'expansion doit être corrigée. D'après lui l'accélération serait proportionnelle au facteur gamma ce qui la ferait tendre vers l'infinie. Ce qu'il appelle la contraction de l'univers est à relier à l'angle que fait l'univers local lointain avec notre univers local. Cet angle varie entre 0 et 90° et correspond à des valeurs de gamma comprises entre 1 et l'infini (g compris entre 1 et 0). C'est la contraction locale de la matière, mais pour estimer le trajet de la lumière il faut mesurer la longueur réelle parcourue par celle-ci. Le rapport entre la rayon de l'univers et la distance réelle entre deux galaxies varie de 1 pour les galaxies les plus proches à π/2 pour les plus éloignées. Une galaxie située à 50% de l'âge de l'univers, c'est à dire environ 7 milliards d'années serait en fait radialement éloignées de nous de 7 milliards d'années lumières et de 7 (1 + π/4) =9 milliards d'années lumières en suivant la courbure de la surface, ce qui correspond à un excédent de 27% de distance, en accord avec les résultats de Perlmutter qui indiquent 30% de luminosité en moins pour les supernovas situées à des distances de l'ordre de 7 ou 8 milliards d'années lumières.]

Distance de luminosité = Dl
Distance comobile =Dc
Distance comobile transverse = Dm
Dl = (1+z)*Dm
https://en.wikipedia.org/wiki/Luminosity_distance

https://forums.futura-sciences.com/arch ... osite.html
La dilution de la luminosité dans le volume est (1+z)^3
La dilution due à l'expansion est (1+z). C'est cette dernière valeur qui est fausse car elle ne tient pas compte du facteur d'échelle. La distance propre parcourue par la lumière doit être remise à l'échelle de l'époque du passage de la lumière.

Calcul de la distance propre parcourue par la lumière
Facteur d'échelle a(t) = t/t0
Distance comobile (t) = t0->t1 c/(a(t)) dt = ct0 dt/t = ct0 ln (t1/t0)

donc distance propre = a(t) * distance comobile = ct * ln (t1/t0)

Exemples :
Trajet de 2 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 2,158
Trajet de 3 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 3,376
Trajet de 4 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 4,71
Trajet de 5 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 6,185
Trajet de 6 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 7,834
Trajet de 7 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 9,7
Trajet de 8 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 11,86
Trajet de 9 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 14,414
Trajet de 10 milliards d'années lumière : distance propre parcourue : 17,538

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.96.8.4224

Age de l'univers : 14 (probablement en fait plutôt 14,5 = 1/68(ou 67)000/3.2616/299792458)
Redshift de 0,5 et âge 14. Emission il y a 4,67 milliards d'années = 14 - 14/1,5
Redshift de 0,5 et âge 14.5. Emission il y a 4,83 milliards d'années = 14,5 - 14,5/1.5

14 * ln (14/9,33) = 5,68, ce qui fait un décalage de 100 * (5,68-4,67) / 4,67 = 21,63 %
14,5 * ln (14,5/9,67) = 5,87, ce qui fait un décalage de 100 (5,87-4,83) / 4,83 = 21,53 %

Ce calcul dit que l'accélération de l'expansion vient de la mise à échelle de l'espace. Si une supernova est à 7 milliard d'années lumière de nous il est normal que sa distance de luminosité soit à 9,6 milliard car il faut tenir compte du changement d'échelle de l'espace. Si on remonte à 13 milliards sur 14 on obtient une distance propre de 37 milliards AL.
C'est ce modèle :
Image
http://www-cosmosaf.iap.fr/Cours-cosmo-3.htm
"Un modèle avec Omegao = 2 (qui est en fait "rond") est tracé ainsi avec a(t) comme coordonnée radiale. Le cône de lumière du passé d'un observateur atteint la moitié de l'univers dans ce modèle."

Si on fait grossir l'univers, les cône du nouveau présent seront à 45° et ceux actuellement à 45° sur le dessin seront plus resserrés, de mêmes les cônes du passé seront plus resserrés et le facteur d'échelle se met à jour en permanence et le cône de lumière du passé ne peut pas dépasser la moitié de l'univers, il est figé, mais le facteur d'échelle augmente en permanence et donc la longueur propre du trajet de la lumière même passée augmente indéfiniment et la luminosité faiblie.
Sur le schéma le temps ma vitesse de la lumière est diminuée dans le passé mais l'espace n'est pas contracté (les cônes ont tous la même largeur), il le faudrait. Il faut voir que cette contraction spatiale est tout bonnement celle de l'éther dont les granules sont plus rapprochés quand on remonte dans le passé. L'expansion de l'univers est une augmentation des espaces entre les granules du cristal élastique d'éther par dilatation des distances par le scalaire temporel.
Derrière cela se cache la mécanique des ondes, c'est elle qui provoque la gravitation et fait grossir l'univers en puisant dans l'énergie des ondes quantiques qui sillonnent l'éther (dite énergie du vide).

Article (voir 5.7-5.11) mais faux : https://www.preprints.org/manuscript/202207.0399/v33
Dernière modification par externo le dimanche 21 juillet 2024 à 14:32, modifié 57 fois.
 #48901  par externo
 
SYNTHESE SUR LA STRUCTURE ONDULATOIRE DE LA MATIERE

Ceci entre crochets est maintenant considéré faux, l'éther ne se déplace pas, il s'agit de l'espace et il est constitué de granules montés comme sur des ressorts (médium compressible), c'est donc le vide quantique. Loin d'un champ gravitationnel, c'est l'énergie du point zéro.
[Comme l'éther est influencé par la gravitation, le CMB, s'il est le référentiel de l'univers, n'est pas celui de l'éther.
L'éther, avec les galaxies, est entraîné vers le grand attracteur.
La vitesse de la Terre par rapport à l'éther n'est donc pas sa vitesse relativement au CMB.
La vitesse absolue est définie par convention comme la vitesse relative au CMB. C'est ce qui est le plus pratique.
L'éther ne définit pas le référentiel absolu car il a une vitesse non nulle dans un champ gravitationnel.
Par contre, la simultanéité absolue est définie par l'éther et non par le CMB, car la lumière est isotrope par rapport à l'éther et non par rapport au CMB. Il s'agit d'une réalité physique qui ne peut être définie par convention.
Lorsque un attracteur se déplace dans l'éther il entraîne localement l'éther et provoque une plissure dans l'espace, cette plissure accompagne l'attracteur. Les granules individuels sont soit absorbés par l'astre, à l'intérieur duquel leur ligne d'univers redevient verticale, soit déplacés pas suffisamment vite et finissent par retrouver un état de repos lorsque l'astre s'est suffisamment éloigné.
Lorsque l'attracteur est immobile, l'éther est attiré inexorablement.
L'accumulation d'éther dans les champs gravitationnels réduit l'expansion de la sphère d'univers qui se retrouve plissée.]


La gravitation vient de ce que les ondes émises dans l'éther sont moins énergétiques (plus dense) que les ondes absorbées. D'après Jeff Yee la différence viendrait du champ magnétique généré par le spin et qui détournerait une fraction de l'énergie des ondes entrantes (improbable). LaFrenière prétend que les ondes sphériques sortantes ont un pouvoir de poussée moins important que les ondes planes et Milo Wolff que la densité de l'onde sortante est plus importante que l'entrante. Un objet a proximité d'un astre massif va être entraîné vers cet astre massif.

Ces idées reviennent à dire que la quantité de mouvement des ondes ne s'annulera plus autour de l'objet qui se mettra donc en mouvement.
En théorie quantique des champs "A field in physics may be envisioned as if space were filled with interconnected vibrating balls and springs, and the strength of the field is like the displacement of a ball from its rest position."
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Vacuum_energy
Cette définition ressemble étonnamment à l'éther formalisé par Jeff Yee et qui tient son origine conceptuelle de LaFrenière. Il apparaît que le vacuum quantique n'est rien d'autre que l'éther.
https://energywavetheory.com/spacetime/
Il se pourrait que l'éther dans un champ de gravitation soit dans un état de compression plus important mais également dans un état de déséquilibre, de tension, ce qui fait que l'espace est anisotrope et possède du mouvement (une courbure).
Il y a une dissymétrie dans les ondes de l'éther (effet d'ombre) qui maintient les granules dans un état d'excitation permanent, et qui injecte de l'énergie cinétique dans tous les objets. Même si les granules ne se déplacent au-delà de leur état de tension, c'est exactement comme si l'espace se déplaçait et emportait tout avec lui. Les objets immobiles dans cet environnement subiront un effet Doppler.
Note : le terme "vide" n'est pas assez précis, le terme exact est "vacuum". Le vide de l'espace est le vacuum.
https://www.littre.org/definition/vacuum
Le vacuum est constitué d'éther. L'éther est constitué de granules.

L'explication de la gravitation par LaFrenière ne semble pas compatible avec celle de l'école de Milo Wolff qui dit que la proximité de la matière augmente la densité de l'espace. Ce qui est appelé ondes à haute amplitudes ne semble pas pouvoir être la même chosee que les ondes sphériques de LaFrenière.
http://wsminfo.org/faq.htm
Cela entraîne une vitesse de la lumière augmentée vers la masse et réduite en sens inverse ? On dirait que oui :
Finally, the changed medium density causes the in-wave to speed up going towards the nearby matter. We observe this speed-up as gravity force. Other forces are also produced by a similar change of medium density.
http://www.mysearch.org.uk/website1/pdf ... estion.pdf
http://www.mysearch.org.uk/website1/pdf ... estion.pdf

Qui dit plus grande densité dit contraction de l'espace et donc compression des granules d'éther, ce qui doit pouvoir se formaliser comme une courbure de l'espace dans les zones de plus grande densité. Cette courbure est considérée par l'école de Wolff comme simplement mathématique, mais il est plus probable qu'elle est une réalité physique quoique intrinsèque et représente une 4e dimension qui permet le mouvement dans les 3 autres. Il y a probablement aussi une réduction de la fréquence de la matière par réduction de la vitesse des ondes due à la densité. Le temps cosmologique serait piloté par la densité moyenne de l'espace plat.
UN autre argument de Wolff est de dire que cette courbure est réelle mais que les observations montrent que l'univers est plat donc elle est globalement nulle (en fait l'univers est plat à temps constant mais pas en suivant le vrai découpage spatial)

En RR les ondes venues de l'éther sont retenues plus longtemps dans la matière en mouvement qui contient ainsi plus d'énergie et se contracte donc.
En RG les ondes sortantes de la matière ont une fréquence inférieure aux ondes entrantes (plus lentes), ce qui correspond à un transfert d'énergie de l'espace vers la masse. La moyenne géométrique est une diminution de la fréquence et une contraction des longueurs selon le facteur gamma.

Une distinction apparaît entre énergie, matière, vide (vacuum), espace-temps (éther). L'énergie de l'espace est soit de la matière soit du vide. La matière est constituée d'ondes stationnaires d'espace. Le vide est constitué d'ondes progressives d'espace. L'espace ou plutôt l'éther est élastique et constitué de granules (de rayon la longueur de Planck ?) qui sont les médiateurs des déplacements d'énergie. Ces déplacements d'énergie déterminent la courbure de l'univers. Ces déplacements sont isotropes loin de toute matière et le vide est immobile (impulsion nulle). La matière mouvante y transporte son énergie de masse par l'intermédiaire de son énergie cinétique. Près d'une masse (matière pesante), les ondes progressives planes venant de l'infini rencontrent des ondes progressives sortantes (à haute énergie ?) venant de la masse, ce qui brise l'équilibre énergétique du vide et le remplit d'une énergie cinétique qui induit son mouvement, emportant la matière d'épreuve avec lui si elle ne résiste pas. La courbure de l'univers est alors anisotrope, elle est plus forte en direction de la masse. Les granules d'espace, eux, se contentent d'osciller sur place en véhiculant l'énergie et d'être plus ou moins comprimés les uns contre les autres. Plus ils sont comprimés, plus la courbure est importante.
Note : il existe une différence entre l'éther et l'espace, c'est que l'espace se courbe tandis que l'éther est dans un état excité mais non courbé, en effet les granules ne se courbent pas, elles sont en tension ou donnent l'impression depuis un certain point de vue d'être en tension (courbure réelle ou seulement apparente)
Dernière modification par externo le dimanche 1 octobre 2023 à 12:53, modifié 21 fois.
 #48902  par externo
 
AUTRES REFLEXIONS
A masse constante la quantité d'énergie nécessaire à l'augmentation de la vitesse est 1/2mv² parce que la vitesse est de l'énergie dirigée dans une seule direction. On ne rajoute donc que de l'énergie pour une direction.
A vitesse constante pour augmenter la masse il faut apporter mv² d'énergie car la masse est une énergie qui se propage dans les deux sens (donc double) et dont l'impulsion est nulle.
Il faut donc apporter une énergie double pour propulser un apport de masse qu'un apport de vitesse.

On peut écrire (mc²)² +(pc²)² parce que ce sont des composantes d'énergie de l'espace-temps euclidien.
mc² c'est l'énergie du déplacement dans le temps et pc l'énergie dans l'espace.

Lorsque la quantité de mouvement des ondes s'annule (oscillation), l'énergie pilote le temps.

L'énergie gravitationnelle est une énergie cinétique qui remplit tout l'espace (énergie du vide), qui vient de ce que les ondes en ce lieu ne sont plus symétrique et que leur impulsion ne s'annulent plus en raison de l'effet d'ombre généré par la masse (augmentation de la densité de l'éther/espace).
La ligne d'univers de l'espace entre ainsi en mouvement, elle n'est plus orthogonale, et l'espace s'incline.

Loin d'un champ de gravitation la courbure est constante et l'impulsion des ondes de l'éther s'annule, quand l'impulsion est plus importante d'un côté elle entraîne une anisotropie de la densité et une variation de la courbure de l'espace. L'augmentation de la densité diminue la fréquence des phénomènes.
L'expansion de l'univers diminue la densité de l'espace et réduit la courbure, donc diminue l'inertie, à moins que les objets s'étendent avec l'expansion. Etant donné que la matière est une onde stationnaire dans l'éther il est normal de supposer qu'elle s'étend avec l'éther.


[Le mouvement dans l'espace n'est qu'une moitié de mouvement dans le temps. L'oscillation est en fait un moyen de propulsion dans la 4e dimension. L'éther se hisse dans le temps de cette façon. Ce n'est pas un mouvement de gauche à droite permanent car ça ne marcherait pas, les deux mouvements opposés sont simultanés et forment une pression, c'est par cette pression que le mouvement dans la 4e dimension s'opère (courbure). Une partie de la pression manque là où la densité augmente et il y a naturellement mouvement vers la plus haute densité.]


La matière absorbe ces ondes pour respirer et créer son rythme biologique. Quand elle est au repos ces ondes arrivent de façon isotropes et forment une pression symétrique d'impulsion nulle sur le noyau, ce qui créé un rythme biologique de base qui est le plus rapide possible. Néanmoins la densité de la matière est supérieure à celle de l'espace extérieur, ce qui entraîne une vitesse plus lente des ondes sortantes et plus rapide des ondes entrantes. L'un dans l'autre la densité autour de la matière augmente.
Les ondes sortantes (divergentes) sont à plus haute densité donc sont nécessairement plus lentes que les onde entrantes. En effet pour que l'énergie entrante soit égale à l'énergie sortante les ondes dans un éther plus dense doivent avancer moins vite. Au contraire, les ondes entrantes sont accélérées. Un objet stationnaire près d'une masse sera donc pris entre des ondes entrantes d'un côté plus lentes que de l'autre. Il se retrouve dans la même situation que s'il était en mouvement dans un espace sans gravité et il subit les effets relativistes associés.
La gravité est cumulative car une onde densifiée par de la matière et passant dans une autre sera probablement encore plus densifiée etc... tout cela comprime les ondes de l'éther jusqu'à un niveau de compression maximal qui ne peut-être dépassé. La masse est comme un pompe qui aspire les ondes de l'éther d'autant plus vite et les rend d'autant plus lentes et denses qu'elle est dense elle-même. Les corps matériels sont aspirés à la vitesse engendrée par la superposition de leurs ondes entrantes et sortantes, et une fois agrégés à la masse il vont en augmenter la densité et la force attractive.
En lisant le livre de Wolff on comprend que l'éther n'est ni plus ni moins que l'espace. Il ne faut donc pas imaginer l'espace comme étant rempli d'éther : il est l'éther.
La particule est une oscillation de l'espace 3D dans la 4e dimension. L'animation de l'onde sous forme sinusoïdale montre en ordonnée la coordonnée du temps, c'est l'espace qui se plisse. La rotation sphérique propre à l'espace en 3 dimension sur 720° et qui est à l'origine du spin est la manifestation de cette 4e dimension. Ceci est lié aux quaternions. La lumière est une pulsation de l'espace qui n'a pas d'épaisseur dans la 4e dimension (elle vient d'un mouvement des électrons et non d'un changement de densité de l'espace, de même les ondes gravitationnelles tirent et contractent l'espace mais sans plissure dans la 4e dimension.

La matière en mouvement est vue de biais dans un espace à 4 dimensions euclidien. Le corps en mouvement est constitué d'ondes, donc si le corps est contracté c'est que ses ondes et la densité du milieu sont augmentés. L'augmentation de la densité de l'espace/milieu équivaut à une courbure de cet espace dans une 4e dimension.
On peut dire au choix que l'objet est contracté ou qu'il est incliné dans une 4e dimension scalaire.
Dans un champ de gravitation, l'augmentation de la densité de l'espace implique l'inclinaison de l'espace dans la 4e dimension euclidienne scalaire de la même manière. Un objet en chute libre depuis l'infini aura une ligne d'univers inclinée par rapport à la ligne d'univers de la densité normale de l'espace, mais ne subira pas la dilatation du temps ni la contraction des longueurs car il ne sera pas contracté et sa densité par rapport au milieu sera sa densité normale quand il est immobile. Ce sont les objet immobiles qui seront affectés.

-------------------------------------------
Ce qu'on appelle la pression gravitationnelle dans une masse et qui contribue au champ gravitationnel n'est que de la masse relativiste, de la matière aux ondes comprimées par effet Doppler.
Il s'agit de l'énergie cinétique ou potentielle emmagasinée dans la matière du fait de sa vitesse de déplacement par rapport aux ondes de l'éther.
Si la pression n'est pas gravitationnelle, c'est à dire qu'on comprime la masse mécaniquement, l'énergie vient bien évidemment de l'extérieur et imbibe la matière donc augmente sa masse.
Dans la physique mainstream je crois que la pression n'est pas considérée comme de la masse bien qu'elle participe au champ gravitationnel.
Les ondes qui émanent de cette matière comprimée sont elles-mêmes comprimées et ralenties. Le même équilibre qu'en RR s'instaure. Si on suit une masse en mouvement sans se mettre dans sa simultanéité, par devant, les ondes convergentes de l'éther sont accélérées et les ondes divergentes ralenties. C'est ce même phénomène qui s'établit dans le champ gravitationnel mais de façon non constant, avec décroissance selon le carré de la distance. Une autre différence est qu'il y a symétrie sphérique autour de l'astre.
Tant que le corps est au repos, il absorbe les ondes de l'éther à son petit rythme par son champ gravitationnel qui brise l'isotropie des ondes, ce qui permet le transfert de l'énergie qui constitue sa masse. Si elle se met en mouvement, elle en absorbe davantage et sa masse augmente. La masse relativiste procède donc du même processus que la masse normale.

https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... &start=425
https://forum-sceptique.com/viewtopic.php?t=16978
------------------------------------------

Il y a 3 niveaux :
1-Mouvement individuel d'un objet.
2-Anisotropie des ondes quantiques qui emporte les objets et la lumière avec elles (gravitation)
3-Expansion de l'espace qui emporte les ondes quantiques, la lumière et les objets avec elle.

L'univers est sphérique (et ça correspond bien à l'univers plat des observations actuelles), et plus une galaxie est lointaine, plus elle s'éloigne parce qu'en fait c'est l'espace qui s'éloigne du fait qu'il n'est plus dans le même référentiel inertiel que nous. Il est spatialement orienté autrement et le déplacement relatif entre les deux est ni plus ni moins que l'expansion de l'univers. L'expansion de l'univers met simplement en évidence le mouvement de l'espace par rapport à nous.
Un objet en mouvement effectue son mouvement dans le temps dans une autre direction que l'espace environnant, en fait il se déplace dans la même direction qu'un objet qui se trouve à une distance de lui telle que sa fuite dans l'expansion vaut la même vitesse. Les deux sont orientés de la même manière, sauf que pour l'objet local son orientation est personnelle alors que pour l'objet lointain en fuite c'est simplement l'orientation de l'espace lointain où il se trouve. On voit par là que l'éther possède un état de mouvement du fait de son expansion.
Dernière modification par externo le mardi 1 août 2023 à 02:13, modifié 71 fois.
 #48918  par externo
 
LES ERREURS ET AMBIGUITES DES SITES ONDULATOIRES

D'après de Broglie, son onde aurait deux fréquences, la fréquence de phase et la fréquence de groupe.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypothèse ... _de_phase_»
L'onde de phase ne porte pas d'énergie et se déplace à la vitesse v²/c. L'autre onde correspond à l'épithète "mobile" dans "onde stationnaire mobile", elle porte l'énergie de propulsion de la particule, qui vaut γmv² (voir épisode 2), avec M masse relativiste. Si on assimile l'énergie cinétique à (γ-1)mc² au lieu de γmv² on trouve que la vitesse de l'onde de phase est v/2 et non pas v. C'est Ellman qui a trouvé la solution à ce problème. Lafrenière a bien une idée similaire, mais il ne la porte pas au bout et ne distingue pas la partie stationnaire et la partie mobile comme deux ondes distinctes. Ces explications permettent de comprendre que l'onde pilote de la théorie de l'onde pilote est intégrée à l'onde stationnaire mobile et représente sa composante spatiale.
Wolff et Lafrenière semblent ne voir dans l'onde de de Broglie que l'onde de phase. Mais l'onde plane de de Broglie possède une vitesse de phase (>c) et une vitesse de groupe (v de la particule)
https://en.wikipedia.org/wiki/Matter_wa ... hypothesis
Il semble aussi que Wolff dans sa dérivation (https://web.archive.org/web/20121221090 ... -particle/ ,Section IV) n'ait pas tenu compte de la dilatation du temps : la partie sinusoïdale qui porte l'énergie ne se découpe pas de la même manière que chez Ellman, ce qui expliquerait le quiproquo entre Wolff et Lafrenière concernant l'électron mis en mouvement.
  • γ(βct) correspond à la partie cinétique de l'énergie, l'énergie est nulle quand la vitesse β est nulle puis augmente en même temps que le facteur γ de son côté assure l'augmetation de la densité de masse.
  • γr correspond à la partie stationnaire mais l'énergie augmente de γ au lieu de diminuer de γ. Il aurait fallut diviser par γ² pour tenir compte de la dilatation du temps (la vitesse moyenne du signal lumineux diminue d'un facteur γ² sur un aller-retour)
Lafrenière indique :
M. Wolff n'a jamais appliqué l'effet Doppler ni les transformations de Lorentz (c'est la même chose) à son électron, qui ne peut donc pas bouger.
Il a aussi affirmé que la matière gagne en masse à mesure qu'elle accélère à cause de l'effet Doppler. Hélas, il a toujours refusé d'admettre que l'effet Doppler appliqué à son électron stationnaire conduisait à mon électron mobile...
Il semble que M. Wolff ait appliqué l'effet Doppler incomplètement.

--------------------

Milo Wolff :
- Il prétend qu'il n'y a pas de Big Bang ni d'expansion et que l'espace est infini.
- Il prétend dans un de ses articles que la contraction des longueurs, dilatation du temps et changement de simultanéité ne se déduisent pas de la nature ondulatoire de l'électron (au contraire de l'augmentation de masse et de l'onde de de Broglie). D'après LaFrenière, il aurait nié que les transformations de Lorentz découlaient de la mécanique des ondes. (On lit dans un de ses papiers : " The dilation of length and time are not predicted by the Doppler effect" et dans un autre : "The relativistic law obtained from analyzing the movement of two SRs in Section IVA is the well-confirmed mass increase of moving matter. But the controversial time-space contractions are not predicted.") D'après lui la fréquence de l'électron augmente avec la vitesse, alors qu'en réalité elle diminue (dilatation du temps). Sur cette question très importante on suppose qu'il a pu se raviser par la suite, mais il n'y a pas de trace de cela.
- Son explication de la gravité est incomplète. Outre qu'il ne parle que de densité sans entrer dans les détails, il ne dit pas qu'il y a échange d'énergie entre l'éther et la matière, le seule transfert d'énergie dont il parle est celui de la lumière.
- Il néglige de parler des champs de force, ce qui rend ses propos assez vagues. LaFrenière, en revanche, à développé une dynamique des champs de force intéressante.
Points secondaires :
- Il prétend que la masse n'existe pas, que c'est seulement une fréquence. La masse est en effet proportionnelle à la fréquence (f = mc²/h) parce que la vitesses des ondes de masse est toujours c, mais la vraie signification de la masse est un 4-volume d'éther (dxdydzdt, pseudoscalaire quaternionique).
- D'après lui la masse de l'électron augmenterait si la densité de l'éther augmentait, alors qu'en réalité elle est invariante car l'électron se dilate ou contracte avec l'éther.
- Il n'a pas compris que l'espace se déforme dans le temps malgré qu'il mentionne la géométrie de Clifford les quaternions en rapport avec la rotation spatiale qu'est le spin de l'électron. (Les quaternions modélisent les 3 dimensions de l'espace par trois vecteurs réels i, j, k, et la dimension du temps par un scalaire.)
.


Gabriel LaFrenière :
Il faut préciser que sans sa disparition certaines de ces erreurs auraient probablement été corrigées.
- Il considère (il me semble) que les électrons n'absorbent qu'une partie des ondes de l'éther, il ignore donc le principe de Mach pourtant clairement établi par Milo Wolff.
- Il place les électrons à un endroit précis sur une couche atomique donnée sans leur donner leur véritable extension spatiale et ne fait pas orbiter l'onde progressive associée (qu'il ne connaît pas) dans les zones où il est piégé, du coup il ignore le moment magnétique orbital de l'électron et son onde de phase.
- Il ne voit pas le spin comme une rotation du médium mais comme un rebond "dur". Son explication du magnétisme de spin est donc douteuse.
- Il considère que les ondes progressives composant des ondes stationnaires rebondissent d'un noeud à l'autre sans progresser et donc que les ondes convergentes de l'électron n'existe pas vraiment...
- Il dit que l'éther ne peut pas transmettre des ondes transversales, ce qui est faux car les ondes gravitationnelles sont transversales.
- Il prétend que la RG est fausse et que la gravité n'a rien à voir avec la relativité. Son explication de la gravité implique qu'une partie des ondes de l'éther traverse les masses et il nie que l'effet de lentille accélère et dévie les rayons lumineux. Il en déduit que la lumière n'est pas déviée ni accélérée par la gravité.
- Il n'a pas compris que l'éther et l'espace-temps ne font qu'un et considère la contraction de l'espace et la dilatation du temps comme du délire. Il ne croit pas en un espace-temps à 4 dimensions. ("L'hypothèse d'un espace-temps à quatre dimensions proposée par Minkowski est même doublement absurde, et l'explication d'Einstein à l'effet que la gravité courbe l'espace relève du délire.")
- Il répète à longueur de pages que Poincaré a rejeté l'hypothèse de la contraction, sur la foi d'une page de Poincaré datant de 1901, ce qui est absurde. C'est d'ailleurs Poincaré qui a justifié la contraction en introduisant la pression de Poincaré, qui est une façon de résoudre le problème des 4/3.
https://forums.futura-sciences.com/disc ... 4-3-a.html

Jeff Yee : C'est le site mathématiquement le plus abouti mais qui fait les hypothèses les plus hasardeuses. Le nombre d'erreurs qui s'y trouve pourrait être très important.
-Il y aurait un tableau périodique des particules et l'électron aurait 10 granules en son centre et dix ondes stationnaires autour de lui.
-Il modélise les orbitales atomiques comme des orbites physiques sans se soucier de l'équation de Schrodinger et l'onde de de Broglie.
-Il dit que la gravitation viendrait de l'énergie emportée par le spin de l'électron.
-...

Denys Lépinard
Il prétend que l'onde se déplace dans la direction où les ondes convergentes sont à plus haute fréquence, mais c'est le contraire. Il explique ainsi entre autre la gravité.

Cassani et Ellman n'ont pas la bonne structure de l'électron.

La gravitation est un point crucial non entièrement compris.
LaFrenière dit que les champs de force électrostatiques sont amplifiés par les ondes de l'éther et renvoie des ondes puissantes vers les atomes et électrons qui leur ont donné naissance (https://web.archive.org/web/20120101233 ... champs.htm). Le mécanisme se produit aussi dans le champ plano-convexe de la gravitation, c'est probablement le mécanisme d'alimentation de la matière. L'éther alimente la matière par le champ plano-convexe gravitationnel par "effet de lentille". Pourtant Lafrenière semble ne pas avoir prévu cet effet de lentille ou réfraction.
Une masse isolée dans l'espace reçoit les ondes quasi-planes de l'univers, cela créé un champ plano-convexe dans lequel se trouve l'onde de phase de Broglie (Lafrenière le montre) Dans cet environnement l'espace n'est plus isotrope, les ondes accélèrent vers la matière par réfraction. Les ondes planes qui arrivent de plus loin entrent dans une champ d'ondes stationnaires qui les difractent ce qui fait qu'il n'existe pas en réalité de champ plano-convexe stationnaire.
Image
https://web.archive.org/web/20101112085 ... ravite.htm
Sur cette animation on voit l'onde de phase qui passe plus vite que la lumière et qui montre que les ondes de l'éther ne sont pas synchrones. Dans la petite image du bas on voit que les ondes avancent légèrement, donc le champ n'est pas stationnaire. Les ondes arrivent verticalement, il n'y a pas d'exemple où elles seraient inclinées, or dans ce cas leur trajectoire serait déviées comme l'est la lumière autour d'un astre massif.
Il semble donc que la vitesse des ondes soit différente dans un sens que dans l'autre puisqu'elles ne sont plus stationnaire, de plus, sur l'animation l'onde plane semble déviée quand quand elle n'arrive pas radialement sur l'astre. Il n'est donc pas clair pourquoi Lafrenière aurait nié ces deux phénomènes de variation de la vitesse de la lumière et de courbure des rayons. C'est un mécanisme de lentille, et tandis que ça courbe les ondes et les accélère, ça permet d'amener l'énergie vers la matière afin de "l'amplifier". Il semble n'avoir pas songé reproduire le champ plano-convexe dans sa totalité mais n'a fait que représenter les ondes planes se déplaçant dans l'axe du champ d'attraction comme on le voit ci-dessous :
Image

On remarquera que dans le cadre de gouttes marcheuses c'est également l'énergie gravitationnelle qui permet leur perpétuation : https://www.ipcms.fr/wp-content/uploads ... r_2007.pdf

Calcul des effets gravitationnels de la dilatation du temps :
https://vixra.org/pdf/1109.0008v2.pdf
Ce n'est pas bon. Les ondes sortantes ralentissent mais les entrantes accélèrent.

G. Haselhurst ne voit qu'une partie de la chose :
In the wave structure of matter gravity is due to the slowing of waves in higher energy density space. This explains why light curves past the sun, it is simply refraction. And because matter is made of waves this also explains why objects attract one another, as the wave center 'particles' always re-position in the direction of slowest incoming waves. i.e. Where there is more matter thus a higher energy density space and slower incoming waves.

Source : https://www.spaceandmotion.com/Wolff-Wave-Structure-Matter.htm]

Autre approche : La densité de l'espace augmente car les ondes qui sortent de la masse sont plus concentrées, leur vitesse est diminuée par rapport à l'entrée puisque l'énergie qui entre est la même que celle qui sort. D'un autre côté, les ondes venues de l'infini accélèrent car elles pénètrent dans un milieu plus dense.
La particule se repositionne dans la direction de l'onde convergente la plus lente, oui, mais parce qu'à l'opposé de la particule l'onde convergente est accélérée. La particule donc ne se déplace pas, elle se contente d'obéir à la nouvelle vitesse des ondes convergentes et divergentes.

Il est possible que la sphéricité des ondes de matière soit responsable de la symétrie sphérique donc de la courbure spatiale (espace/espace, basculement du cône de lumière) et que leur anisotropie sur cette surface inclinée vienne de l'augmentation de densité ou courbure temps/espace. L'ensemble fait comme une vallée, qui possède une pente (cuvette) mais dont la pesanteur reste toutefois verticale.

[Voir aussi les explications de Cassini : https://lafisicadicassani.com/wavefieldtheory/cap-14/]
Dernière modification par externo le dimanche 23 juin 2024 à 15:00, modifié 165 fois.
 #48919  par externo
 
LE PRINCIPE DE MACH ET COURBURE
Il paraît que ce calcul a été fait par Edward Tryon en 1973.
https://forums.futura-sciences.com/ques ... ivers.html
https://archive.org/details/Schrdingers ... 4/mode/1up

On suppose que la densité de l'univers visible est la densité critique = 3H²/8πG
donc, avec rayon de l'univers R = c/H , la masse de l'univers visible est
M = 4/3*πR^3 * 3H²/8πG = c²/2GH
L'énergie gravitationnelle d'une particule de masse m sur laquelle agit une masse M est E = -mMG/r
Si on assimile la masse M à la masse de l'univers et que l'on considère que r est la distance moyenne entre la masse et le reste de l'univers, c'est à dire une demi distance de Hubble, r= 1/2*c/H
on obtient E = -mc²
Ce qui veut dire que l'énergie gravitationnelle de la masse m est précisément l'opposé de son énergie de masse.
Certains en déduisent que l'énergie totale de l'univers est nulle.

Voir aussi cet article : https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 95977/full
https://forums.futura-sciences.com/disc ... nsion.html
L'équilibre thermodynamique entre toute la matière et tout l'espace s'affiche dans Mc² = GM²/ R , assimilant l'énergie totale de toute masse, M , au potentiel gravitationnel total de l'univers dans son rayon, R. L'équilibre implique un échange entre la matière et l'espace.
https://forums.futura-sciences.com/disc ... xwell.html
Voir à ce sujet l'étude de Patrick Vaudon : https://hal.science/hal-02085996/document

Il y a un échange d'énergie entre chaque corps et le reste de l'univers.
Le corps matériel récupère l'énergie gravitationnelle qui provient de toutes les masses de l'univers et réémet cette même énergie qui va être dispersée à nouveau entre toutes les masses de l'univers. Il vit de cette manière, sa masse correspond à cette même quantité d'énergie. Les ondes absorbent et réémettent en permanence la quantité d'énergie correspondant à leur masse pour pouvoir subsister.
Dans le champ gravitationnel il y a deux trains d'ondes, un entrant l'autre sortant, ils n'ont pas la même densité/vitesse ce qui entraîne près d'une masse un transfert d'énergie vers la masse mais si on s'éloigne de cette masse pour se rapprocher d'une autre le transfert d'énergie va peu à peu s'inverser.

Clairement il ne s'agit pas là de toute l'énergie de l'univers mais seulement de la partie correspondant à l'existence de la matière. L'énergie totale est contenue dans les ondes planes qui traversent l'espace dans toutes les directions et dont la somme est nulle. Elle est bien supérieure. Le champ gravitationnel correspond à un déplacement d'énergie donc à une anisotropie au sein de ces ondes planes de l'éther ayant pour origine la matière.

Si on suppose que le champ gravitationnel est une perturbation du champ électromagnétique on peut imaginer que l'énergie totale du vide vaut l'énergie de masse de l'univers multipliée par la constante de couplage.
Energie de l'univers visible de l'ordre de 10e53 * c² = 9e70 et constante de couplage de l'ordre de 10e40, ce qui fait une énergie totale de l'univers visible de l'ordre de 10e111. Multiplier par 2 pour obtenir l'énergie de tout l'univers. Cette énergie serait emprisonnée dans les ondes stationnaires du vide quantique dont ne peut observer que les fluctuations (les rebonds d'un noeud à l'autre) à l'échelle de Planck.

Quant à la croyance que l'univers serait plat s'il avait la densité critique, elle vient de ce que les équations de la RG ne disent pas que la courbure de l'espace est dans le temps coordonnée. On note que la courbure de deux hémisphères superposés s'annule.
Métrique FLRW dans un espace à densité critique (soit disant plat, donc avec courbure k nulle) :
ds² = c²dt² - R(t)² (dr² + r² +dΩ²)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Métrique_ ... e_spatiale
Métrique euclidienne équivalente avec facteur d'échelle = 1 :
c²dt² = ds² + dr² + r² +dΩ²
C'est une hypersphère de rayon le temps cosmologique. L'espace n'est donc pas plat. La courbure (ou compression comme représentée par le Big Bang relativiste) de l'espace se manifeste par le fait que les objets éloignés sont mesurés dans le passé. Elle-même n'est pas observable par des instruments astronomiques car elle est dirigée dans l'axe de vision.
Prenons deux points A et B séparés de l'univers. La ligne qui les relie suit la courbure de l'univers. Du point de vue de B, la lumière est partie plus lentement que c et arrive en B à c puisque la direction de son mouvement était au départ de A à la fois dans l'espace et dans le temps. Du point de B c'est le contraire. La lumière transmet donc fidèlement la vitesse à laquelle le temps s'écoule sur B relativement à A et inversement. Si on ajoute l'expansion de l'univers cela ne change rien à la fidélité de l'information transmise par le photon, il ralentira son accélération en se conformant à l'augmentation du rayon de courbure et cela produira le redshift. Donc avec ou sans expansion la lumière transmet des informations fidèle sur la géométrie temporelle de l'univers. Si B reçoit le signal de A avec 10 ans de décalage cela veut dire qu'au moment où le signal est reçu, A (à supposer qu'il soit immobile dans l'espace, c'est à dire dans le référentiel cosmologique) se trouve géométriquement dix ans dans le passé de B. Faire attention que la lumière donne des informations correctes sur la géométrie de l'univers, pas sur l'âge réel de A au moment où le rayon arrive en B. Quant à la distance spatiale, il faut tenir compte de la variation de la vitesse de la lumière par rapport à B au cours du trajet pour l'estimer. Elle dépend de l'angle de courbure, qui change en fonction de la position de la lumière mais aussi en fonction de l'expansion. Au moment où le rayon arrive en B l'angle est nul et la vitesse du rayon vaut c.

L'EQUIVALENCE ENTRE LA RR ET LA RG
Au centre d'une masse la vitesse de la lumière est ralentie mais isotrope.
La dilatation du temps se calcule par la vitesse moyenne de la lumière et non par l'isotropie de la lumière, donc le temps est ralenti au maximum au centre de la masse.
La force du champ gravitationnel détermine le degré d'isotropie de la lumière.
Le potentiel gravitationnel détermine la vitesse moyenne de la lumière.

Un objet immobile au milieu de l'univers mais loin de toute masse est comme au centre d'une masse.
La lumière est donc isotrope.
C'est le potentiel gravitationnel de tout l'univers qui détermine la vitesse de la lumière.
Quand on se déplace à vitesse constante étant donné que le champ gravitationnel est immuable autour de nous on reste en apesanteur comme au centre d'une masse. Mais plus on se déplace vite par rapport à l'univers plus le potentiel gravitationnel est élevé et plus le temps passe lentement.

Maintenant voici Einstein sur le paradoxe des jumeaux en 1918 :
Par rapport au système de coordonnées K' le comportement s'explique comme suit : Durant les processus partiels [inertiels] 2 et 4 l'horloge U1, allant à une vitesse v, tourne en effet à un rythme plus lent que l'horloge au repos U2. Cependant, cela est plus que compensé par un rythme plus rapide de U1 lors du processus partiel 3 [accélération]. Selon la théorie de la relativité générale, une horloge ira plus vite plus le potentiel gravitationnel de l'endroit où elle se trouve est élevé, et lors du processus partiel 3 U2 se trouve être situé à un potentiel gravitationnel plus élevé que U1. Le calcul montre que cet excès de vitesse constitue exactement le double du retard lors des processus partiels 2 et 4. Cette considération éclaircit complètement le paradoxe que vous évoquiez.
Vous avez également déclaré les champs demandés dans l'exemple de l'horloge comme simplement fictifs, uniquement parce que les lignes de champ des champs gravitationnels réels sont nécessairement provoquées par la masse ; dans les exemples discutés, aucune masse susceptible de produire ces champs n'était présente. Cela peut être développé de deux manières. Premièrement, il n’est pas a priori nécessaire que le concept particulier de la théorie newtonienne, selon lequel tout champ gravitationnel est conçu comme étant provoqué par la masse, soit retenu dans la théorie de la relativité générale. Cette question est liée à la circonstance soulignée précédemment, à savoir que la signification des composantes du champ est beaucoup moins directement définie que dans la théorie newtonienne. Deuxièmement, on ne peut pas soutenir qu’il n’y a pas de masses présentes, auxquelles on puisse attribuer la production des champs. Certes, les systèmes de coordonnées accélérés ne peuvent pas être invoqués comme causes réelles du champ, opinion qu’un critique plaisant a cru bon de m’attribuer à une occasion. Mais toutes les étoiles qui sont dans l’univers peuvent être conçues comme participant à la production du champ gravitationnel ; car pendant les phases accélérées du système de coordonnées K', elles sont accélérées par rapport à celui-ci et peuvent ainsi induire un champ gravitationnel, de la même manière que les charges électriques en mouvement accéléré peuvent induire un champ électrique. L'intégration approximative des équations gravitationnelles a en fait abouti au résultat que les effets d'induction doivent se produire lorsque les masses sont en mouvement accéléré. Cette considération montre clairement qu'une clarification complète des questions que vous avez soulevées ne peut être atteinte que si l'on envisage pour la constitution géomécanique de l'Univers une représentation conforme à la théorie. J'ai tenté de le faire l'année dernière et j'en suis arrivé à une conception qui, à mon avis, est tout à fait satisfaisante ; Cependant, entrer dans ce sujet nous mènerait trop loin.
http://sciliterature.50webs.com/Dialog.htm
Il affirme que le champ gravitationnel éprouvé par l'objet qui accélère provient de l'ensemble des masses de l'univers et n'est pas une fiction. Et il a raison. Pendant l'accélération on peut dire que l'univers est en chute libre.
Il prétend ainsi que les objets en avant de l'objet qui accélère vieillissent plus vite et ceux en arrière vieillissent moins vite.
Et c'est là que sa mécanique se grippe. Parce qu'aucun signal de vieillissement ou de rajeunissement ne parvient à l'objet qui accélère (1). En fait ce serait le cas si la lumière restait physiquement = c par rapport à l'objet qui accélère, mais cette valeur est maintenue artificiellement, et un artifice ne peut pas suppléer au signal physique manquant.
Le seule chose que l'on peut déduire du champ gravitationnel induit par l'univers est qu'il est à l'origine de l'inertie et qu'il valide la théorie de Lorentz en intronisant le référentiel cosmique comme celui de l'éther. Quand l'univers est en chute libre l'avant de l'univers ne vieillit pas plus que l'arrière parce que les objets en chute libre comme le montre la métrique de Painlevé ne subissent pas la dilatation du temps, ce sont les objets immobiles qui la subissent. L'objet qui accélère se trouve ici dans le rôle d'un objet immobile dans le champ gravitationnel et subit en conséquence la dilatation du temps gravitationnelle. Ce raisonnement unifie la RR et la RG, la masse inertielle et la masse gravitationnelle, et démontre que le référentiel de l'éther est celui de l'univers.

Donc ici Einstein malgré sa très grande sagacité a fait une bourde parce qu'il a cru encore et toujours que la vitesse de la lumière était physiquement isotrope par rapport à tous les référentiels, ce qui est inutile pour établir les équations de la relativité et ce qui est démonstrativement faux. Il a cru ce que dit la métrique de Schwarzschild et qui est faux, à savoir que le chuteur subit la dilatation du temps.

Il faut aussi reconnaître qu'Einstein avait raison de prétendre qu'il y a un champ de gravitation uniforme physique pendant une accélération. Le principe d'équivalence se comprend tout à fait ainsi par le principe de Mach.
Par contre Einstein supposait que le champ de gravitation disparaissait après l'accélération, ce qui n'est pas vrai, le potentiel est toujours là mais différend de quand l'objet était immobile et génère sa dilatation du temps.
On peut donc expliquer la RR par la RG ce qui fait qu'il n'y a pas d'espace temps plat et tous les phénomènes de la RR sont d'origine gravitationnelle. Un objet en mouvement inertiel par rapport à l'univers est comme un objet immobile au centre d'une masse et la vitesse de la lumière est déterminée par l'ensemble des masses de l'univers qui confèrent par leur action gravitationnelle (mécanique des ondes) ses propriétés au médium. Tout cela est présent dans la théorie de Milo Wolff.
On dit que le principe de Mach ne marche pas bien et qu'Einstein l'avait plus ou moins abandonné pour ces raisons, et qu'il faut trouver une meilleure théorie. Il est certain que le problème vient de cette conception de l'isotropie de la lumière qui est la maladie chronique dont souffre la physique.

(1) La Terre ne vieillit pas pendant l'accélération du voyageur, donc on ne peut pas additionner comme le fait Einstein dans la première citation le retard qu'elle prend soi-disant durant les trajets inertiels avec son vieillissement subi (qui n'existe pas) pour retrouver les bonnes valeurs. La seule solution passe par une asymétrie physique des dilatation du temps pendant les phases inertielles.

LE MECANISME DE LA GRAVITATION

Ce mécanisme doit justifier la géométrie trouvée dans l'épisode 4 sur la gravitation.

L'idée de Lorentz était la suivante :
En 1900, Lorentz cherche à expliquer aussi le phénomène de la gravitation sur la base de l'électrodynamique de Maxwell-Lorentz. Tout d'abord, il propose un mécanisme reposant sur la gravitation de Le Sage. Il y suppose que l'éther est rempli de rayonnement d'extrêmement haute fréquence, qui exerce une pression énorme sur les corps. Si ce rayonnement est totalement absorbé, l'effet d'écran entre deux corps provoque une force d'attraction dépendant de la distance. Cette théorie pose le même problème que les autres modèles de Le Sage : dans l'absorption, l'énergie doit disparaître d'une façon ou d'une autre, sinon il y a une énorme production de chaleur, qui n'est pas observée. C'est pourquoi Lorentz rejette ce modèle."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_d ... de_Lorentz
Cette idée était bonne, il faut simplement considérer que l'énergie est utilisée pour constituer la matière et se dissipe à nouveau, mais avec un décalage dans les ondes sortantes. C'est un échange entre énergie gravitationnelle et électromagnétique. Ce décalage engendre la force de gravité.
On voit que Lorentz avait l'intuition des ondes quantiques mais il ignorait néanmoins que la matière était faite d'ondes stationnaire sphérique et qu'elle se nourrissait de ces ondes quantiques.
La masse est constituée d'énergie électromagnétique qui trouve son pendant dans le champ gravitationnel induit.

D'après Ivanov les ondes qui se croisent avec des longueurs d'ondes différentes et même fréquence transportent de l'énergie du fait de l'excédent d'énergie des ondes plus courtes (en fait c'est quelque chose de connu).
LaFrenière explique que deux trains d'ondes planes qui se croisent avec mêmes caractéristiques et qui produisent des ondes stationnaires ne se croisent pas réellement, car l'énergie rebondit d'un noeud sur l'autre :
Image
Le déplacement d'énergie est en effet nul, c'est l'éther loin de toute masse.

Ces ondes ayant des propriétés différentes, la rouge étant plus énergétise et plus comprimée que la verte, il se fait un déplacement d'énergie sous forme d'une onde progressive :
Image
L'onde progressive résultante a même période que les deux autres mais est contractée de gamma².

On en déduit que :
1-Les ondes progressives de l'éther forment en se croisant des ondes stationnaires (champs électromagnétique). Le vide est immobile. La fréquence de ce vide immobile pilote le temps cosmologique (cette fréquence dépend de la densité, le temps cosmologique est en fait la densité de l'espace).
2-S'il y a un une différence entre la vitesse et compression des ondes dans une direction par rapport à une autre, le vide se met en mouvement et contient une énergie cinétique palpable. C'est le champ de gravitation de Newton. (aberration du cône)
3-Si la masse attractive est à symétrie sphérique le champ est plano-convexe et engendre en outre une courbure de l'espace/éther (basculement du cône, périhélie de Mercure et doublement de la courbure de la lumière).

On dit que dans un champ gravitationnel l'espace est en effondrement. Ce qui est en effondrement c'est le vide, aspiré par la matière. L'espace se contracte (ou se courbe) sous l'effet de l'augmentation de la densité d'énergie.
L'éther n'est donc pas en chute libre sur la matière. Il est figé, il ne peut qu'osciller sur place en transportant l'énergie. C'est l'énergie qui se déplace vers la matière. Mais pourquoi ? Pour entretenir les ondes stationnaire de la matière.

Donc en l'absence de champ de gravitation la matière ne peut pas faire venir à elle l'énergie des ondes de l'éther. Le champ de gravitation est comme une pompe qui fonctionne en aspirant les ondes de l'éther afin de perpétuer la matière. C'est un cycle énergétique comme une respiration. C'est aussi un équilibre thermodynamique.

La solution du problème était que des ondes symétriques qui se croisent ne peuvent pas transporter d'énergie et que par conséquent l'énergie ne parvient à la matière que grâce à la gravitation. LaFrenière le dit lui-même mais bizarrement il ne l'applique pas aux ondes de l'éther :
Je suis formel là-dessus: l'énergie de deux trains d'ondes progressives identiques qui se rencontrent dans un espace libre et qui forment des ondes stationnaires est incapable de les traverser. Elle retourne d'où elle vient et il se produit donc une réflexion dès le premier nœud rencontré.
Le champ gravitationnel amène l'énergie nécessaire à la masse, qui est une surdensité d'énergie au sein de l'éther, énergie qui est ainsi prise au vide quantique. Autour de la masse il y a un défaut de densité et la gravitation compense et comprime l'espace sous-dense. Plus on est proche de la masse, plus la sous-densité est importante et la compression qui compense est importante.
Il s'instaure un équilibre entre la pression extérieure et intérieure.
LaFrenière montre que les ondes stationnaires de l'électron se transforment peu à peu en ondes progressives, l'électron rend ainsi à l'espace son énergie. La vitesse des ondes sortantes est ainsi plus lente ce qui entraîne (on le suppose) une augmentation de la vitesse des ondes entrantes par conservation de l'énergie. On peut dire que la pression de la matière comprime l'espace extérieur.
Conformément au calcul d'Edward Tryon, toute l'énergie drainée dans le champ gravitationnel se retrouve dans la matière.

Il y a identité entre la valeur du champ électromagnétique de l'électron et son champ gravitationnel (les deux valent la masse de l'électron).

Note : il s'agit en fait d'un mécanisme de réfraction des ondes, ce que Lafrenière appelle "effet de lentille".

------------------------------------------------
Le train d'onde en provenance de l'infini est plus rapide (plus grande fréquence) que celui en provenance de la matière.
La vitesse des ondes est égale à la racine carrée du rapport entre l'élasticité (module de compressibilité, K) et la densité de l'éther (ρ). L'élasticité est la contrainte mécanique, c'est à dire une force.
Or d'après Jeff Yee la constante diélectrique, ou permittivité du vide a en fait la dimension d'une force (ma) et la constante magnétique ou perméabilité magnétique du vide est une densité. On sait que la vitesse de la lumière est la racine carrée du rapport entre les deux.
James Maxwell found this force and linear density in his equations, although it was not realized that either were truly a force and density because of the misunderstanding of the meaning of charge and its units.
Dans le champ de gravitation l'éther est comprimé dans la direction du champ, donc tandis que sa densité est la même dans les deux sens, sa compressibilité n'est pas isotrope, elle est plus petite dans le sens de la descente, ce qui entraîne une augmentation du module de compressibilité K et de la vitesse de propagation sqrt(K/ρ) dans cette direction.

Les ondes progressives du vide forment donc des ondes stationnaires. Les fluctuations à l'échelle quantique sont probablement les énergies qui rebondissent d'un noeud à l'autre.
Ci dessous le motif stationnaire tracé par des ondes progressives qui se rencontrent venant de toutes les directions et qui ne sont donc plus progressives :
https://www.spaceandmotion.com/Images/gif/waves.gif
Geoff Haselhurst en déduit à tort que Milo Wolff s'est trompé et que les particules sont constituées de trains d'onde qui ne se réfléchissent pas sur le centre de la particule mais qui se croisent. Les ondes d'éther qui s'entrecroisent semblent former des motifs de particules virtuelles. Il pense aussi à tort qu'il faut utiliser les quaternions complexes pour représenter les ondes complexes.
Les fluctuations du vide sont par définition toujours des particules virtuelles. Mais ces fluctuations n'interagissent quasiment jamais avec des particules réelles (même via l'interaction avec d'autres particules virtuelles), ce que l'on constate d'ailleurs dans les calculs de la théorie des champs car les « contributions du vide » s'annulent identiquement et ne contribuent pas aux processus.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Particule ... es_réelles
Il semble que les particules virtuelles correspondent à la fois aux fluctuations du vide et aux échanges d'énergie entre force à distance. Or dans les deux cas on sait qu'il s'agit des ondes quantiques d'éther, dans le premier cas elles traversent l'espace en faisant des motifs stationnaires et dans le second elles émanent des particules qui respirent.
Un champ en physique peut être envisagé comme si l'espace était rempli de billes et de ressorts vibrants interconnectés, et la force du champ est comme le déplacement d'une bille depuis sa position de repos. La théorie nécessite que les « vibrations », ou plus précisément les changements dans l’intensité d’un tel champ, se propagent selon l’équation d’onde appropriée pour le champ particulier en question. Canoniquement, si le champ en chaque point de l'espace est un simple oscillateur harmonique, sa quantification place un oscillateur harmonique quantique en chaque point. Les excitations du champ correspondent aux particules élémentaires de la physique des particules. Ainsi, selon la théorie, même le vide a une structure extrêmement complexe et tous les calculs de la théorie quantique des champs doivent être effectués en relation avec ce modèle du vide.

L'énergie du vide peut également être considérée en termes de particules virtuelles (également appelées fluctuations du vide) qui sont créées et détruites à partir du vide. Ces particules sont toujours créées à partir du vide en paires particule-antiparticule, qui dans la plupart des cas s'annihilent rapidement et disparaissent. Cependant, ces particules et antiparticules peuvent interagir avec d’autres avant de disparaître, un processus qui peut être cartographié à l’aide des diagrammes de Feynman. Notez que cette méthode de calcul de l’énergie du vide équivaut mathématiquement à avoir un oscillateur harmonique quantique en chaque point et souffre donc des mêmes problèmes de renormalisation.
https://en.wikipedia.org/wiki/Vacuum_energy

Le champ de Higgs serait une "mélasse" épaisse.
Le champ de Higgs est comparé au groupe des personnes qui, au départ, remplissent un salon de manière uniforme. Lorsqu'une personnalité politique très connue entre dans le salon, elle attire les militants autour d'elle, ce qui lui donne une « masse » importante. Cet attroupement correspond au mécanisme de Higgs, et c'est lui qui attribue une masse aux particules.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Boson_de_Higgs
J'imagine que le champ de Higgs n'est rien d'autre que les ondes de l'éther dans leur état stationnaire, donc le champ électromagnétique. Et les militants attirés par la personnalité sont ces mêmes ondes accélérées par la gravité vers de la matière afin de l'entretenir en énergie.


LA GEOMETRIE DE L'UNIVERS
Un corps en mouvement se créé du seul effet Doppler anisotrope qu'il subit (de ses ondes divergentes et convergentes) un environnement semblable à celui dans lequel se trouve un corps immobile dans un champ de gravitation. Quant au champ de gravitation c'est un effet Doppler anisotrope de l'espace-temps produit par des corps en mouvement dans toutes les directions à la fois et donc s'autobloquant (les ondes sortant de la matière sont comprimées et ralenties alors que les ondes entrantes sont dilatées et accélérées). Le mouvement des corps engendre cet effet Doppler et cet effet Doppler engendre le mouvement des corps. A la base ce sont les champs de force et les particules qui créent un environnement de légère surdensité dans l'éther et tout le reste s'ensuit.

1-Un corps en mouvement dans un espace avec champ de gravitation isotrope (ce qu'on appelle communément sans champ de gravitation mais c'est faux car le champ de gravitation est partout) se déplace par rapport à l'éther et par rapport à l'énergie du vide (énergie du champ gravitation)
2-Un corps immobile dans un champ de gravitation anisotrope (c'est à dire qui le tire d'un côté) est immobile par rapport à l'éther mais se déplace par rapport à l'énergie du champ de gravitation.
3-Un corps en chute libre depuis l'infini se déplace par rapport à l'éther mais est immobile par rapport à l'énergie du champ de gravitation.
4-Un corps dont la vitesse par rapport à l'éther est nulle, qui est dans un champ de gravitation isotrope mais qui subit l'expansion de l'univers ne se déplace ni par rapport à l'éther ni par rapport à l'énergie du champ de gravitation.
Donc l'objet en chute libre depuis l'infini a l'impression d'être immobile mais c'est faux, il est immobile par rapport à l'énergie, qui, elle, se déplace, et pour cette raison il ne subit pas d'effet doppler, contrairement à l'objet immobile, qui se déplace par rapport à l'énergie et donc subit l'effet Doppler. La vitesse des ondes est anisotrope par rapport à l'éther dans un champ de gravitation anisotrope. Les ondes qui se croisent vont moins vite en sortant (plus lentes et plus comprimées) et vont plus vite en entrant (plus rapides et plus dilatées), la différence de vitesse est la vitesse de libération. L'énergie se déplace vers la masse.

Le déplacement de l'énergie gravitationnelle courbe l'espace dans le temps (contraction) de la même manière que l'énergie d'un corps matériel qui se déplace. Les deux sont de l'énergie qui se déplace. Un masse à symétrie sphérique engendre en outre une courbure spatiale.

Pour cette raison, quand la vitesse de libération (donc la vitesse de déplacement de l'énergie gravitationnelle) atteint c, la courbure dans le temps atteint 90° en RG mais en fait seulement 45° autour des astres à symétrie sphérique car la courbure est redistribuée dans la symétrie sphérique spatiale.
En RG les ondes de l'espace deviennent anisotropes impliquant un transfert d'énergie
En RR les ondes de l'espace sont isotropes mais l'énergie d'un corps matériel (onde stationnaire) se transporte par elle même.
Dans les deux cas on a changement de la géométrie de l'espace-temps par déplacement d'énergie.
Dans un cas la contraction spatiale est stationnaire et remplit tout l'espace, dans l'autre elle est locale et se déplace avec le corps.
---------------------------------------------------------

La matière noire est le vide ou encore la matière de tout l'univers et son champ gravitationnel produit l'expansion de l'univers. On s'y trouve attiré de toutes parts et apparemment immobile, mais deux corps séparés par une certaine distance auront des lignes d'univers légèrement divergentes.

Prochain et dernier épisode : 6-L'éther relativiste et l'espace-temps des Quaternions