• 2-La Structure Ondulatoire de la Matière (Wolff/LaFrenière/Yee etc...)

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #48819  par externo
 
Ce fil fait suite à celui sur la relativité euclidienne

Sont regroupés ici des liens vers les travaux fondamentaux de Milo Wolff et Grabriel LaFrenière, qui sont l'avenir de l'interprétation de la physique.
On y trouve de l'éther et la nature véritable de la matière : les particules de matière sont des ondes stationnaires d'éther.
L'électron tel qu'il a été filmé en 2007 est conforme à l'équation de Dirac et à la structure ondulatoire :
https://phys.org/news/2008-02-electron.html

https://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/0708/0708.1060.pdf
https://lup.lub.lu.se/search/ws/files/2 ... 224376.pdf
https://www.planet-techno-science.com/p ... -electron/

Voir aussi dans le dernier post de la série les liens vers la mécanique quantique quaternionique :
viewtopic.php?p=48954#p48954

Le site de LaFrenière (1942-2012) aborde les bases et explique de façon convaincante la nature ondulatoire de la matière.
[Archive 2003 : https://www.collectionscanada.gc.ca/epp ... atiere.htm
https://collectionscanada.gc.ca/eppp-ar ... matter.htm]
Archive 2004-2012 (le plus complet) : https://web.archive.org/web/20120222073 ... niere.com/
Archive github : https://mildred.github.io/glafreniere/matiere.htm
Sauvegarde de la version anglaise : http://www.mysearch.org.uk/websiteX/Index.htm
Sauvegarde de la version anglaise : http://www.rhythmodynamics.com/Gabriel_ ... matter.htm
Fil sur les travaux de LaFrenière sur le forum sceptique :
https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... 1781252f26

Le site de Milo Wolff (1923-2015) :
https://mwolff.tripod.com
https://web.archive.org/web/20130127095 ... er.com:80/
Son livre : https://archive.org/details/SchrdingersUniverse
Milo Wolff est à l'origine de l'électron-onde utilisé par LaFrenière. Il a jeté les bases mathématique et physiques de la théorie mais se refuse à accepter que son électron subit les transformations de Lorentz comme le montre LaFrenière, sans doute parce que cela invaliderait l'interprétation d'Einstein. II reconnaît seulement que "l'éther devient le référentiel absolu du mouvement accéléré des objets", ce qui est conforme à l'idée que s'en faisait Einstein.
Un lien vers ses travaux fondamentaux.
http://www.mysearch.org.uk/website1/html/690.Wolff.html
Attention, car si LaFrenière nie les 4 dimensions, Milo Wolff nie en outre le Big Bang. C'est le gros défaut de sa théorie, qui vient de n'avoir pas considéré la densité de l'espace comme un rayon de courbure physique dans la 4e dimension.
Sites de travaux lié à sa théorie :
http://wsminfo.org/articles.htm
http://www.rwgrayprojects.com/WSM/WSM.html
https://vixra.org/author/michael_harney
http://www.amperefitz.com/schrod.htm

Le site de Geoff Haselhurst, philosophe disciple de Milo Wolff, donnant un bon aperçu d'ensemble :
https://www.spaceandmotion.com
Page donnant un bon aperçu d'ensemble :
https://www.spaceandmotion.com/Physics- ... hanics.htm
Ce site contient des développement et des explications fondamentaux, complétant avantageusement celui de LaFrenière. L'auteur semble reconnaître contrairement à Milo Wolff que les ondes en mouvement subissent les transformations de Lorentz.

Articles scientifiques qui corroborent cette théorie :
1-R. Brady and R. Anderson :
Etude sur les gouttes marcheuses :
https://arxiv.org/abs/1301.7351.pdf
https://arxiv.org/pdf/1301.7540.pdf
https://arxiv.org/pdf/1401.4356.pdf
2 autres articles par les mêmes auteurs :
https://arxiv.org/pdf/1305.6822.pdf
https://arxiv.org/pdf/1502.05926.pdf
Ces travaux sont dans le cadre de la mécanique des fluides, mais l'éther serait plutôt un solide élastique d'un genre qui ne supporterait pas les ondes transversales.

2-D. Shanahan
https://arxiv.org/abs/1401.4534
https://arxiv.org/abs/1503.02534
https://vixra.org/pdf/1311.0043v3.pdf
Une de ses source : https://arxiv.org/pdf/1305.3022.pdf
https://link.springer.com/article/10.10 ... 23-00698-7

Le site de Jeff Yee : https://energywavetheory.com/electromag ... -particle/
Publications scientifiques : https://vixra.org/author/jeff_yee
Chaine Youtube pédagogique : https://www.youtube.com/@EnergyWaveTheory
https://fqxi.org/community/forum/topic/2989
Jeff Yee développe la théorie des ondes d'énergie, en quelque sorte la synthèse des travaux de LaFrenière, Milo Wolff, Xavier Borg et Robert Distinti (https://www.distinti.com). Il refond carrément toutes les équations de la physique et démystifie le caractère non déterministe de la physique quantique. Les calculs des énergies des particules et des forces fondamentales sont aboutis et en conformité avec les résultats classiques. Cette théorie est très aboutie mais en même temps hautement spéculative dans ses hypothèses.

Ce site fait le point sur les 3 théories précédentes et les compare :
http://www.mysearch.org.uk/website3/html/1.Home.html
Une page qui recense un grand nombre de sources : http://www.mysearch.org.uk/website3/html/3.Sources.html

Le site de Serge Cabala sur la mécanique des ondes : http://ondes-relativite.info/
Serge Cabala est peut-être le tout premier (1975) a avoir réalisé que les transformations de Lorentz étaient la mécanique des ondes.
https://groups.google.com/g/fr.sci.phys ... PUwJ?hl=fr

Le site de Denys Lépinard (1941-2021) (en ligne jusqu'en 2020) et celui de Ray Tomes (encore en ligne en 2023).
Ces deux sites traitent des ondes et des cycles dans tous les phénomènes : la vie, l'évolution, l'économie... Ils sont bien liés aux autres car ils partagent la même conception de l'électron et de l'espace/éther. D'après Lépinard, ces ondes seraient des vibrations de l'éther issues de vibrations inférieures remontant jusqu'aux particules élémentaires.
Le site de Lépinard a l'air agréable à lire et contenir des explications importantes. C'est un site à mettre à côté de ceux de Wolff, Cabala, LaFrenière, Yee, Haselhurst, Ivanov :
https://web.archive.org/web/20191121182 ... ostat.com/

Le site de Yuri Ivanov a fait des travaux un peu après sur la même question des ondes stationnaires en mouvement :
http://rhythmodynamics.com
http://rhythmodynamics.com/index_en.htm
http://sys.theme.free.fr/RD.html
https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... 40#p630734

Le site de Caroline Thompson (1942-2006)
https://web.archive.org/web/20160418014 ... thompson1/

Tous ces chercheurs se connaissaient plus ou moins et procèdent de la même famille.
Voici deux chercheurs indépendants des autres et ayant une approche similaire mais à laquelle il manque l'idée des ondes convergentes :

Le site de Roger Ellman : http://the-origin.org
Il a développé indépendamment une théorie un peu similaire sur la nature ondulatoire de la matière.
Livre à lire : http://the-origin.org/download.htm
dont il a extrait 17 articles scientifiques publiés sur arxiv
https://www.researchgate.net/profile/Roger-Ellman
Comme le suivant, ses particules ne sont que des ondes sortantes et contiendraient en elles-mêmes leur propres réserve d'énergie. Ses travaux sont toutefois remarquables et complètent des zones laissées dans l'ombre par les autres. Il a découvert la vraie nature de la dualité onde-corpuscule (voir plus bas)

Il a écrit :
The situation is somewhat like that of the pre-Copernican understanding of the "heavenly bodies". The earth-centered point of view resulted in complicated descriptions of the paths of the bodies. But, although the descriptions were complicated and based on erroneous underlying science, they were accurate nevertheless in describing and predicting the motions of the bodies as viewed from Earth. Just as with the erroneous (in underlying science) but successful (in describing events) geocentric astronomy, likewise any description and its mathematics no matter how sophisticated, no matter how successful at describing that which is known, no matter how successful at predicting behavior, cannot be accepted as the final answer if they do not conform with the underlying reality."
Tous ses livres sont disponibles ici : http://www.the-origin.org/Books.htm

Milo Wolff a écrit :
Particle-structured physics can be compared to the theory of epicycles of the planets around the Earth before Galileo found that the planets travelled around the Sun. It satisfies our human prejudices but does not explain the measured facts.
https://www.spaceandmotion.com/Wolff-Wa ... Matter.htm

Le site de Walter E. R. Cassani : https://lafisicadicassani.com/
Son livre : https://lafisicadicassani.com/wavefieldtheory/
La publication de son premier livre sur sa théorie remonterait à 1984.
Comme le précédent, son électron n'est constitué que de trains d'ondes sortantes (le concept d'ondes planes traversant l'éther et alimentant la matière est absent). Ses raisonnements sur l'espace sont très similaires à ceux de Milo Wolff. Sans passer par les quaternions, il a compris la vraie nature géométrique du temps.

Il a écrit :
As a result, to remain close to the paradigm of the moment, some theories are forced to go to great lengths to justify ever increasing numbers of experimental phenomenons that cannot be understood directly in the context of the current orthodoxy.
This was true of the epicycle theory proposed to preserve the Ptolemaic system. Increasingly precise observations of planetary orbits made it necessary to push the epicycles to a level of complexity that it became increasingly difficult to justify. The same thing is happening with many of the cosmological theories of astrophysics today from field theory to theories dealing with elementary particles.
Le site de John A. Macken : http://onlyspacetime.com
Et ses articles scientifiques :
https://www.researchgate.net/profile/Jo ... F0aW9uIn19
Il a développé un modèle de l'électron différent de celui de Wolff, les ondes entrantes et sortantes étant en spirales. Sa théorie contient des développements complémentaires non présent dans les autres théories.

Deux longues études de Patrick Vaudon :
Une approche énergétique et déterministe de la mécanique quantique :
https://hal.science/hal-01223516v4/file/quantique.pdf
Une approche énergétique de l’électromagnétisme et de la gravitation :
https://hal.science/hal-02085996/document

Site français qui explique la différence entre Lorentz et Einstein (Chaverondier) :
https://lebigbang.pagesperso-orange.fr/relativite.htm
https://groups.google.com/g/fr.sci.phys ... PUwJ?hl=fr
Chercher dans le forum ci-dessus les nombreuses interventions de B. Chaverondier.

Un autre : http://sys.theme.free.fr/4_physique.html#mozTocId132921
"Alors que Lorentz et Poincaré cherchaient à expliquer l'expérience de Michelson par la théorie des ondes et l'effet Doppler, Einstein publiait sa théorie de la relativité restreinte. Il semble bien établi aujourd'hui que cet article était le plagiat d'un communiqué de Poincaré à l'Académie des Sciences, dont il a pu prendre connaissance comme correspondant de l'Académie avant la publication.
Mais ce qui est grave, ce n'est pas la copie mais la trahison de la pensée originale des auteurs H.A. Lorentz et H. Poincaré. Sa relativité, débarrassée de l'éther comme milieu d'ondes et les champs d'ondes remplacés par des particules, photon et bosons, ont conduit la physique dans une mathématisation outrancière, éloignée de la réalité physique, sans pour autant éviter les impasses."

Bonnes explications :
https://www.quora.com/According-to-the- ... lph-Jensen
avec un bémol. Il est question de champs pour formaliser la RG, ce qui n'a aucun lieu d'être.
avec un lien vers un article qui montre que les ondes stationnaires peuvent expliquer la relativité et la physique quantique.

https://www.energyfieldtheory.com/papers
[https://www.classicalmatter.org/
http://www.classicalmatter.org/Classica ... tivity.pdf
Il s'agit d'un projet similaire mais la matière n'est pas modélisée sous la même forme.
Blog de P. Bouchard : http://paulpb.eklablog.fr]

Les travaux de Alan M. Kadin :
https://vixra.org/author/alan_m_kadin
https://arxiv.org/search/quant-ph?searc ... din%2C+A+M

Les gouttes marcheuses de Couder :
https://www.ipcms.fr/wp-content/uploads ... r_2007.pdf
Ces gouttes semblent tout droit inspirées du site de Lafrenière.

Les travaux de John Bush au MIT concernant les marcheurs de Couder et Fort :
https://thales.mit.edu/bush/

https://twitter.com/lorentzether?lang=fr
https://www.cambridge.org/core/journals ... 31FF8DA12B

Pour référence : viewtopic.php?p=48771#p48771
Dernière modification par externo le lundi 5 août 2024 à 13:55, modifié 180 fois.
 #48820  par externo
 
Voici comment faire le lien entre la théorie de LaFrenière et l'espace-temps à 4 dimensions.
Un objet en déplacement a ses axes de temps et d'espace qui sont désorientés par rapport à ceux d l'éther, c'est à dire à ceux de l'espace-temps environnant. L'espace-temps de l'objet entre en rotation.
Ce qui suit est une tentative d'explication du temps par la chronogéométrie.

Il faut imaginer que l'univers possède son référentiel propre qui est celui du CMB et qui est associé à une certaine orientation locale des axes espace-temps. Un objet immobile dans l'univers partage ces axes-là avec lui, mais si ses axes propres se désorientent il se produit un conflit entre les deux espace-temps. On peut le voir ainsi : Sur le passage de la fusée une longueur d'espace dl² du référentiel de l'univers entre en rotation et devient dx² + dt², mi espace et mi temps. La fusée se déplace dans l'espace pour les deux référentiels sur la longueur dx. La longueur dt est mesurée comme de l'espace pour la fusée et comme du temps pour l'univers. La fusée s'y déplace du futur vers le passé (l'arrière de la fusée est dans le futur par rapport à l'avant), par conséquent, la fusée remonte le temps de l'univers. Une fois la fusée passée la rotation disparaît et la longueur dt redevient de l'espace pour l'univers, la fusée est donc propulsée sur cette longueur spatiale dans le référentiel de l'univers, tout en ayant au préalable remonté le temps de l'univers sur cette même longueur. De son point de vue, la longueur dt n'existe que sous forme d'un décalage de temps entre les extrémités de dl, elle ne mesure spatialement que dx, c'est à dire ce qu'on appelle la longueur contractée. Il faut bien voir que le déplacement spatial de l'objet est dû pour partie au dx, qui est le déplacement de l'objet sur son axe de temps, et pour partie au dt, qui est du temps passé dans le référentiel de l'univers qui rebascule sous forme d'espace après avoir une première fois basculé de l'espace en temps sur le passage de l'objet.

Cette rotation ne peut se réaliser que de façon infinitésimale car l'éther (l'espace) ne suit pas le mouvement, la rotation est annulée au fur et à mesure sur le passage de l'objet. Dans ce contexte la contraction des longueurs n'est pas un effet de perspective 4D, mais une contraction réelle telle que prévue dans la théorie de Lorentz.
Au bout du compte la vitesse de la lumière est plus lente par rapport à l'objet en mouvement donc la longueur des ondes de matière est réduite de même que la fréquence des processus physico-chimique conformément aux explications de LaFrenière sur son site.

Dans la théorie des ondes d'énergie la gravitation provient d'un effet d'ombre. Il est naturel de penser que cet effet d'ombre entraine l'éther avec lui.

Voir : http://www.
forum2.math.ulg.ac.be/viewthread.html?SESSID=b9bda6d3caedc7524fca0d99035c3e58&id=13698
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Ce qui est écrit en petit est obsoloète :
La dimension du temps est une dimension comme les autres, voir :
http://www.
forum2.math.ulg.ac.be/viewthread.html?SESSID=45d674e9693612a6a593f0bfb1c3fb14&id=13703]


Par contre , la supposition que la rotation serait réelle n'est pas bonne. Géométriquement, ça ne colle pas, de plus l'objet se déplaçant dans l'éther et étant constitué d'éther ne peut se trouver hors de l'éther + la lumière partant d'une extrémité de l'objet doit se propager dans l'éther. La rotation ne peut avoir lieu, mais la longueur de l'objet est réduite comme si elle avait lieu.

Le temps considéré comme le sens du déplacement de l'éther ne fait pas vieillir. La relativité selon Einstein amalgame le temps au vieillissement. La lumière se déplace dans le temps et pourtant elle ne vieillit pas. Le temps permet de quantifier le mouvement spatial, ce qui entraîne l'évolution de la matière donc le vieillissement c'est la fréquence des phénomènes physico-chimique et celle-ci dépend de la vitesse relative de la lumière par rapport à l'objet qui vieillit. Lorsqu'un objet se déplace très proche de la vitesse de la lumière, la lumière va très lentement relativement à lui et les changements d'état de la matière sont ralentis selon le facteur gamma. (V. Lafrenière, entre autre page sur l'interféromètre de Michelson)

Dans la relativité d'Einstein on dit que la longueur du trajet de la lumière dans l'espace-temps est nul, que la longueur du trajet d'un objet matériel correspond à son temps propre donc à son vieillissement. Le calcul du temps propre donne en effet le vieillissement de l'objet mais cela ne correspond pas à une longueur d'espace-temps. La métrique de Minkowski est une métrique purement mathématique qui quantifie le vieillissement et non la géométrie du réel. Or le vieillissement s'explique par un mécanisme, non par une géométrie.

La relativité d'Einstein nous dit que la lumière se déplace dans le temps (coordonnée) et qu'elle ne se déplace pas dans le temps (elle ne vieillit pas), elle nous dit qu'un objet en mouvement se déplace d'une part dans le temps (coordonnée) et de l'autre dans son temps propre, il y aurait donc 2 temps en même temps ? En réalité le temps coordonnée est le temps cosmologique et le temps propre est le vieillissement et n'a rien d'une longueur géométrique.

La relativité d'Einstein nous dit que la vitesse de la lumière est la même dans tous les référentiels inertiels, ce qui est matériellement impossible, sauf à définir cette vitesse à l'aide d'étalons de mesures qui varient eux-mêmes avec la vitesse du référentiel.

La relativité de Minkowski nous explique sa géométrie par un univers bloc qui ne fonctionne pas puisque pour cela il faut dire que les longueurs les plus longues sont les plus courtes, comme un problème que l'on ne pourrait résoudre qu'en postulant que 1-1 = 2.

La relativité de Minkowski explique sa géométrie par un univers bloc où les époques sont mêlées de telle sorte que le relai synchronisé avec la terre et la fusée qui passe devant lui et qui se trouve alors au même point de l'espace-temps s'échangent des signaux indiquant deux heures terrestres différentes si bien qu'on déduit que les horloges de la terre marquent deux heures différentes en même temps...

Chez Lorentz, le principe de relativité s'explique par des phénomènes mécaniques, chez Einstein ou Minkowski c'est un postulat incompatible avec le monde physique.

La preuve que la théorie selon Einstein n'est pas une réalité physique : viewtopic.php?f=17&t=6853

La rotation euclidienne de l'espace-temps.
Nous remplaçons la métrique de Minkowski par la métrique d'Euclide conformément au schéma ci-dessous :
Image
Posons les coordonnées de la ligne d'univers d'une particule en mouvement dans les deux référentiels.
Les coordonnées de la ligne d'univers sont (t,x) dans le référentiel cosmique.
La matrice de passage de la rotation nous dit que les coordonnée de la ligne d'univers dans le système de coordonnées de l'objet mobile sont :
1-x a pour coordonnées dans le repère tourné (t sin θ, x cos θ) = (βt, x/γ)
2-t a pour coordonnées dans le repère tourné (t cos θ, - x sin θ) (t/γ = tau, -xβ)
Si on consulte la page du site de Lafrenière sur les transformations de Lorentz modifiées par lui on retrouvera le même résultat :
https://web.archive.org/web/20120305110 ... orentz.htm
Image
Image
https://web.archive.org/web/20120215144 ... ectron.htm
Mais lui n'a pas raisonné de la même manière.

1-Comme x/γ = longueur contractée et βt = décalage de temps, on retrouve la formule x² = longueur contractée² + décalage de temps². La particule mesure que la distance qu'elle traverse est x/γ et qu'elle est assortie d'un décalage de temps βt.
2-Comme t/γ = temps propre on trouve que la particule mouvante vieillit pendant la durée de temps cosmique t de la portion de cette durée qui pour elle est du temps, l'autre portion étant pour elle un décalage spatial. Le signe - devant xβ n'est pas sans rappeler la signature négative de l'espace dans la métrique de Minkowski. La durée t² peut s'écrire t² = (t/γ)² + (xβ)², ce qui n'est pas autre chose que la métrique d'Epstein. Cela signifie que les longueur de temps deviennent des longueurs d'espace avec la vitesse, mais cela n'est pas la longueur totale car il faut également tenir compte de ce que deviennent les longueurs spatiales.

La longueur d'espace-temps de la ligne d'univers s'écrit L² = t² + x² = t'² +x'² = ((t/γ)² + (xβ)²) + ((βt)² + (x/γ)²) = t²(1/γ² + β²) + x²(β² + 1/γ²) = t² + x²

Nous avons déterminé géométriquement les étalons de mesures de la particule mouvante et avons trouvé qu'ils étaient figurés par des axes d'espace-temps tournés d'un angle θ tel que (1/γ)² + β² = cos² θ + sin² θ = 1 conformément au facteur de Lorentz qui s'écrit 1/γ² = 1- β²

Doublon de la même chose
Afin de dissiper tout malentendu au sujet de ce que représentent `t² + x²` et `τ² + x²` (Epstein) voici les détails :

1-La longueur `t²` dans le référentiel de l'éther se décompose dans le référentiel mouvant ayant subi la rotation euclidienne d'angle `θ` en `t² = (tcosθ)² + (tsinθ)² = (t/γ)² + (βt)² = τ² + x²`, avec `βt =` distance absolue parcourue par l'objet mouvant `= x`.
2-La longueur `x²` dans le référentiel de l'éther se décompose dans le référentiel mouvant en `x² = (xcosθ)² + (xsinθ)² = (x/γ)² + (βx)²`, avec `x/γ` = distance contractée et `βx =` décalage de simultanéité sur la distance.

Donc, au total la longueur `L²` d'espace-temps de la ligne d'univers s'écrit comme la somme du carré de la composante temps et de la composante espace :
`L² = t² + x² = (t/γ)² + (βt)² + (x/γ)² + (βx)² = β² (t² + x²) + (1/γ)² (t² + x²) = (t² + x²) ((1/γ)² + β²) = t² + x²`

Par conséquent le `t² = τ² + x²` représente la composante temps, qui n'est pas la longueur de la ligne d'univers, le carré de cette dernière étant `t² + x²`, c'est à dire la somme des carrés de la composante temps et de la composante espace.
La métrique euclidienne de Wikipedia et d'Epstein est donc fausse car elle ne représente que la partie temporelle et j'avais finalement raison. En revanche la métrique de Minkowski fonctionne car on voit que la différence entre elle et la métrique physique euclidienne n'est que le signe entre le temps et l'espace, ce qui n'empêche pas de développer la relativité générale, mais il ne faut pas tomber dans le piège de croire que tous les référentiels sont équivalents. Il s'agit d'une simplification de la métrique réelle.

Particularités de la métrique de Minkowski :
Soit un intervalle d'espace-temps absolu `L² = t² + x²` avec `t² = τ² + x²` quand elle est mesurée dans un référentiel mouvant. Nous avons donc `L² = τ² +2x²`.
Si `t > x` la métrique de Minkowski récupère `τ²= t²-x²`, si `x > t` elle récupère `x²-t²`, qui n'a pas en soi de sens bien précis, et elle définit cette valeur comme le carré de la longueur de l'intervalle d'espace-temps en lieu et place de `t² + x²`. On voit que `τ²= t²-x²` est en réalité la composante temps dans le référentiel mouvant de la composante temps absolu de l'intervalle d'espace-temps.

https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... 75#p652868
Dernière modification par externo le jeudi 31 octobre 2024 à 13:47, modifié 40 fois.
 #48827  par bongo
 
Ah il y a de l'action ici. Dommage, je n'ai plus trop le temps de lire et poster en détail.
Bon ben j'attends que ça soit publié dans une revue à comité de relecture, et que tu passes au journal ?
 #48834  par externo
 
Vidéo décrivant la relativité du point de vue de Lorentz et illustrant la contraction de la matière sous forme ondulatoire , avec bonnes discussions dans les commentaires.


On notera que John Bell était un partisan de la contraction physique de la matière.

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La vraie relativité euclidienne, c'est ça :

(Mettre les sous-titrage pour mieux comprendre)
L'auteur a dérivé les transformations de Lorentz sans savoir qu'il s'agissait des transformations de Lorentz. Il est parti de raisonnements personnels sur la nature du mouvement.

Considérée géométriquement, cette représentation n'est pas correcte, parce que dans la réalité la fusée doit rester dans le présent. Si elle effectue un aller-retour, elle doit rencontrer son point de départ dans son présent et non dans son passé, sinon il ne s'agit pas d'un espace-temps, mais d'un abaque pour mesurer les vieillissements relatifs. Néanmoins l'auteur de la vidéo semble considérer à juste titre qu'il s'agit d'une rotation "imaginaire", et son approche correspond à celle de Lorentz (bien qu'il semble réfuter cela dans ses commentaires). Il faut comprendre que la rotation est euclidienne mais dans une dimension scalaire et non vectorielle, car le temps n'est pas une coordonnée vectorielle.

Vidéo 8/9 à 3:30
"Si on ne peut pas déterminer que quelque chose est au repos absolu, en déduire que le repos absolu n'existe pas ne peut-être imaginé que par quelqu'un qui a... euh... euh... un très pauvre QI, on va dire...

Cette article reprend la même approche et développe avec le concept de l'univers sphérique (voir épisode 5) :
https://www.preprints.org/manuscript/202207.0399/v33

Cet article reprend la même approche et explique qu'elle est plus intuitive que le diagramme de Minkowski :
https://arxiv.org/pdf/1408.1280.pdf

[Si on suppose que la rotation a bien lieu, la lumière émise depuis une extrémité de la fusée doit se propager le long de l'espace de la fusée afin que sa vitesse paraisse invariante depuis tous les référentiels. Cela correspond à un entraînement de l'éther dans la fusée.
Néanmoins, d'après la théorie de Lorentz, l'éther n'est pas entraîné par la matière en mouvement, et il n'y a pas isotropie de la vitesse de la lumière, c'est à dire que sa vitesse dans un sens n'est pas la même que sa vitesse dans l'autre. Par conséquent, même en supposant la rotation, la lumière doit continuer à se propager uniquement dans le référentiel de départ considéré comme celui de l'éther.]

Le modèle des repères en rotation tel que défini dans le fil précédent, la relativité euclidienne, est fonctionnel à condition de considérer que les objets en mouvement mesurent les distances séparant d'autres objets immobiles par rapport à eux à l'aide de leur axe spatial. Par exemple, dans le cas de deux fusées qui se suivent et qui cherchent à déterminer la distance qui les sépare par un mètre passé d'une fusée jusqu'à l'autre, il faut tenir compte de ce que ce mètre est incliné dans le temps le long de son axe spatial et se trouve ainsi plus long dans le repère des fusées que dans le repère immobile, dans lequel sa longueur se décompose en une composante temps et une composante espace. La distance est donc plus importante mesurée depuis la fusée que mesurée depuis un observateur immobile.

Une erreur d'interprétation de la la métrique de Minkowski à travers l'interprétation d'Einstein est de déduire l'existence d'un univers-bloc. Mais il faut comprendre que l'espace correspondant à la matière en mouvement effectue cette rotation et non pas l'espace tout entier (deux horloges séparées qui accélèrent de la même manière ne se désynchronisent pas donc la simultanéité de l'espace extérieur ne change pas). Les nouvelles coordonnées de temps affectées par le corps en mouvement ne sont que des étiquettes accolées aux objets immobiles par erreur de mesure.

Enfin, quand l'objet se contracte son énergie et donc sa densité augmentent par effet Doppler. C'est alors la densité de l'espace qui augmente. Or, d'après la relativité générale une densité d'énergie correspond à une certaine courbure spatiale, c'est donc bien une modification de la géométrie de l'espace qui se produit lorsqu'un corps accélère. La rotation euclidienne est simplement dans une dimension scalaire. Il n'y a aucune nécessité de faire intervenir la métrique de Minkowski, qui n'est au bout du compte qu'un moyen de rendre vectorielle une dimension scalaire.

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La rotation hyperbolique de la RR est une rotation "imaginaire".
C'est une rotation euclidienne sans qu'elle soit effective.
La longueur se contracte comme s'il y avait eu une rotation dans une 4e dimension, et le décalage du temps contient la partie manquante de la longueur comme si c'était une vraie rotation euclidienne.
Sauf qu'en fait il n'y a pas de rotation mais seulement contraction.
Et qu'est-ce c'est qu'une rotation de ce type ?
C'est une rotation euclidienne "intrinsèque".
La densité de l'espace représente cette rotation.
C'est une erreur de séparer la RR de la RG car dans les deux cas il est question de masses et d'énergie. L'énergie cinétique n'est ni plus ni moins qu'une augmentation de la densité d'énergie.
Donc si on représente dès la RR l'espace-temps comme un continuum à 4 dimensions euclidien avec courbure intrinsèque liée à la densité d'énergie il n'y a plus le moindre besoin de la métrique de Minkowski.
Non seulement cette solution est compatible avec la théorie de Lorentz, mais en plus, comme la RR d'Einstein, elle peut être modélisée sans faire d'hypothèse sur une contraction physique de la matière. C'est une représentation purement géométrique et purement euclidienne.
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Le relativité euclidienne et la dimension du temps scalaire est ce qui peut faire le lien avec le comportement des ondes stationnaires mobiles.
La longueur d'un objet dans l'espace-temps à 4 dimensions est son module, donc le signe négatif pour le temps ou l'espace de la métrique de Minkowski disparaît. La quatrième dimension est scalaire mais la métrique est euclidienne. La rotation hyperbolique est un artefact, la vraie rotation est euclidienne mais intrinsèque, sans plongement physique, comme le dit la RG sauf que le plongement virtuel est dans la dimension du temps, qui est justement une dimension virtuelle dépendant de la densité de l'espace.
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Quand un objet est en mouvement, le vecteur associé à son déplacement fait une rotation dans le temps.
Du coup une partie de la longueur de la fusée apparaît comme du temps, donc comme rien, elle est plus courte et plus dense.
En fait, le vecteur spatial de la fusée est orienté en partie dans ce qui est le temps de l'espace extérieur.
Seulement, comme l'objet se déplace, le vecteur spatial reprend sa position initiale derrière le passage de la fusée en quelque sorte.
L'objet n'est qu'un fantôme, il ne peut pas assurer ses coordonnées personnelles, elles lui échappent en raison de son mouvement.
Donc, même s'il vieillit moins, il conserve les coordonnées temporelles de l'espace extérieur.
De même avec ses coordonnées spatiale, l'objet ne change pas de direction dans l'espace 4D, il continue de se fondre dans l'espace 3D extérieur.

Dans un champ de gravitation par contre, le vecteur plonge dans le temps et change de direction de façon durable.
La courbure est vue de l'extérieur comme ayant une plus grande densité.
Si on représente une sphère dans un plan, et qu'on dessine un méridien devant de façon qu'on ne voit pas sa courbure, il paraît plus court et plus dense.
Mais la zone gravitationnelle est limitée, la coordonnée temporelle, au dénivelé près, évolue elle aussi dans le temps cosmique et non dans le temps local, comme l'objet en mouvement.
On est dans une situation moins fantomatique et qui a du poids pour influencer l'espace extérieur, mais individuellement ça ne peut pas faire grand chose.

Les champs gravitationnels réunis tirent chacun de leur côté, ce qui produit une courbure générale moyenne, et celle-là, rien ne vient l'arrêter.
Elle se continue indéfiniment jusqu'à faire le tour complet de l'espace 3D.
L'espace a 3 vecteurs et 4 dimensions, c'est comme ça qu'il est fini mais illimité.

Masse transverse et longitudinale

En physique classique p = mv
En relativité p = γ*m*v avec γ*m = masse relativiste

Certains disent que la masse relativiste n'existe pas. Mais il faut bien que le facteur gamma soit affecté soit à "m" soit à "v", il ne peut pas venir de nulle part.
Comme v est précisément définie la seule chose variable est m.

F = dp/dt = (dp/dv) * (dv/dt) = (dp/dv) * a =
dp/dv est la masse longitudinale

dp/dv = d(γmv)/dv
La dérivée de f/g est (gf’ - fg’)/g². Ici, f = mv et g = γ = sqrt(1 - v²/c²).
La dérivée de f par rapport à v est simplement m (car m est une constante), et la dérivée de g par rapport à v est -v/c² * 1/2sqrt(1 - v²/c²) (en utilisant la chaîne et la règle de puissance).
On obtient masse longitudinale = dp/dv = m/γ³ = m/(1-v²/c²)³/²

Donc p = γmv avec γm = masse transverse = masse relativiste
et F = γ³ma avec γ³m = masse longitudinale

Qu'est-ce que la masse ?
C'est la quantité d'éther (ou de granules d'éther).
La masse d'une particule correspond à la quantité d'éther qu'elle contient.
Quand la densité de la matière augmente avec la vitesse la quantité d'éther augmente de γ dans la matière par effet doppler.
Mais un éther plus dense signifie aussi un éther orienté différemment dans le temps, ce qui fait que la force F n'est plus colinéaire de l'objet sur lequel elle s'applique, c'est pour cela que F = γ³ma et non pas F = γma. Dans le sens transverse l'éther n'étant pas plus dense il n'est pas incliné différemment et ainsi nous avons F = γma

Force efficace = force * cos θ
Nous avons d'autre part F = γ³ma = γ² (ym)a
et F/γ² = γma, la force est donc diminuée de γ² pour des raisons de densité ou plutôt d'inclinaison.

Dans la direction du mouvement de l'objet, c'est à dire incliné d'un angle θ dans le passé, la force est divisée par γ et donc le déplacement est divisé par γ, mais comme dans le référentiel immobile la taille de l'objet est divisée par γ, la force effective est encore divisée par γ, ce qui fait que la force effective visible est divisée par γ² ce qui est en accord avec la formule.

Résumé : la force s'applique à un objet (mettons une barre) qui est inclinée dans la dimension du temps d'un angle θ, ce qui fait que la force est moins efficace d'un rapport de cos θ = 1/γ dans la direction d'orientation de la barre. Mais en fait la barre elle même ne se dirige pas dans le sens de son orientation mais dans une direction parallèle à la force qui s'applique sur elle, ce qui est plus court et divise encore la force efficace par γ. En tout, la force est divisée par un facteur γ²
Image

Pourquoi l'objet se déplace dans la direction de la force et non pas dans la direction de son orientation ?
Parce qu'après son passage l'éther dont il est constitué reprend sa densité normale et la rotation s'annule. L'objet est ainsi une perturbation de densité mobile dans l'éther.

Au fur et à mesure que l'objet en mouvement se contracte sa longueur est transférée dans sa densité, la contraction des longueurs est une rotation euclidienne dans la dimension de la densité. Plus l'objet sera contracté plus sa composante de densité sera importante, en sachant que sa valeur ne pourra pas dépasser la longueur propre de l'objet. Le lien avec le temps est automatique étant donné que l'objet se désynchronise.
Si on fait un changement de coordonnées et qu'on se place du point de vue de l'objet, c'est tout l'univers qui est contracté et dont la longueur est passée dans sa densité. Mais ce point de vue n'est valable que pour l'objet, car l'espace possède son système de coordonnées personnel. Donc l'espace n'est pas vraiment contracté, on pourrait penser que c'est réciproque et que l'objet en mouvement non plus n'est pas contracté, sauf que lui se déplace par rapport à l'espace et ainsi son augmentation de densité est réelle et causée par ce déplacement.

L'abberation
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https://web.archive.org/web/20120305110 ... orentz.htm

Dans l'aberration de la lumière, la lumière est envoyée avec un angle qui correspond précisément à l'angle de la rotation euclidienne d'espace-temps. L'objet en mouvement est compressé, et cette compression est comme une rotation, et cela se manifeste concrètement.
L'objet en mouvement est comme incliné spatialement, comme s'il avait fait une rotation entre la direction de son mouvement et les directions orthogonales à celui-ci comme on l'a vu plus haut. C'est là qu'on voit que la dimension scalaire du temps agit sur les dimensions spatiales. Elle influe sur les dimensions orthogonales à la direction de la compression, comme si la rotation temporelle transparaissait à travers les dimensions orthogonales au mouvement.
Dans le champ de gravitation c'est identique, sauf que la symétrie sphérique engendre une courbure entre les dimensions vectorielles elles-mêmes, ce qui est une courbure purement spatiale. Cette courbure n'existe pas en RR car il n'y a pas de symétrie sphérique vu qu'il n'y a qu'une seule direction de mouvement.

Voir d'autres détails ici : https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... 59#p650858
Dernière modification par externo le mardi 17 septembre 2024 à 18:23, modifié 30 fois.
 #48839  par externo
 
E= MC² interprété par les ondes et l'effet Doppler.

Pour amener une masse m constante du repos jusqu'à la vitesse v il faut apporter comme énergie 1/2 mv²
E = Fd = m.(dv/dt).v.dt = 1/2 m.v²
avec d = v.dt. Comme on part d'une vitesse nulle dv = v

Maintenant on veut au contraire augmenter une masse en mouvement tout en conservant sa vitesse constante.
Comme la masse varie l'équation de la force devient :
F= m.(dv/dt) + v.(dm/dt)

On trouve sur Wikipedia : https://en.wikipedia.org/wiki/Variable-mass_system
Wikipedia dit : F +Vrel dm/dt = m dV/dt
Or Vrel = (U-V) avec U vitesse de la masse accrétée.
Si U=0 alors F -V dm/dt = m dV/dt donc F = V dm/dt + m dV/dt
on retrouve bien la même formule.

Ici dv = 0 donc F= v.(dm/dt)
E = Fd = v.(dm/dt).d = v.(dm/dt).v.dt
Mettons que pendant la durée dt la masse augmente de dm, l'énergie nécessaire à cette augmentation de masse s'écrit : E = dm.v²
La véritable relation d'équivalence entre la masse et l'énergie est donc E = mv².

Problème : L'objet pesant m+dm n'a besoin que d'une énergie cinétique de 1/2 (m+dm)v²
Or il faut lui ajouter dm.v²
D'où vient le 1/2 dm.v² supplémentaire ?

Si une masse m se déplaçant à la vitesse v agrège une masse dm en mouvement à la même vitesse v aucun apport d'énergie extérieur n'est nécessaire. On remarque que la masse totale de dm n'est pas dm mais dm +1/2dmv², dm étant la masse au repos. Dans l'exercice où on calcule l'augmentation de l'énergie nécessaire pour agréger une masse dm immobile, en fait la masse immobile n'est pas dm mais dm -1/2dmv² et elle devient dm une fois lancée à la vitesse v. Pour qu'on soit dans la même situation que l'autre cas il est nécessaire de rajouter encore 1/2 dmv² afin que la masse en mouvement soit de dm +1/2dmv²
Comment se fait-il que les équations classiques imposent l'augmentation de la masse avec l'énergie cinétique ?

E² = m²c²+² +p²c²
La formule de l'énergie totale est E² = m²c²+² +p²c²
Cette formule permet de passer de l'énergie mc² d'une masse au repos en mouvements oscillatoires à la vitesse c à l'énergie totale de cette même masse, si en plus de son mouvement oscillatoire intrinsèque de masse au repos elle est transportée en bloc à la vitesse v.
Donc l'énergie de masse est E = mc² parce que la "masse" stockée dans la matière effectue un mouvement d'aller retour permanent à la vitesse de la lumière. La vraie formule d'équivalence générale est E = mv². Ensuite en combinant les deux mouvements de masse on obtient une formule plus complexe et plus complète : E² = m²+p²
https://energywavetheory.com/equations/epc/

ll faut utiliser les formules de Lafrenière pour comprendre ce qu'il se passe vraiment :
https://web.archive.org/web/20120303102 ... active.htm

E totale = (a + r) mc² = gamma.mc²
avec a = g / 2 (1 – bêta) et r = g / 2 (1 + bêta) et g = 1/gamma
Il s'agit de l'énergie de masse mc² corrigée par le facteur de réaction et le facteur d'action dus à la vitesse de déplacement de la matière. Ce sont en fait les ondes de matière qui sont déformées par l'effet doppler relativiste. Le g correspond à la baisse de la fréquence de la matière (dilatation du temps) et les 1-bêta, 1+bêta à la compression des ondes dans le sens du mouvement et la dilatation dans le sens inverse(effet doppler classique).

D'après Lafrenière l'énergie mc² de la matière subit quand elle est en mouvement les transformations suivantes :
"On divise d'abord la masse en deux moitiés, l'une active et l'autre réactive, car au départ elles valent chacune 5 kg lorsqu'elles sont au repos. C'est pourquoi les formules indiqueront une division par deux. Mais à cette vitesse, il faut aussi réduire la valeur de l'énergie présente selon le facteur g de Lorentz, sachant que l'énergie d'une onde est proportionnelle à sa fréquence..
De plus, si cette matière accélère, chacune des deux moitiés subit l'effet Doppler en sens inverse.
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Roger Ellman est allé plus loin.

http://www.the-origin.org/Sect-13.pdf

Il a séparé l'énergie totale en deux sortes d'énergies, une énergie sous forme de masse et une énergie sous forme cinétique.
Et les deux ne correspondent pas à ce qui est communément appelé l'énergie de masse et à l'énergie cinétique.
D'après ses calculs, la masse totale Mv se partage en deux composantes.
Mv.c² = Mv.(c²-v²) + Mv.v² = (mc²/γ + Mv.v²)
Donc il retrouve pour la partie cinétique l'équation E = Mv².

En fait, une partie de l'énergie sous forme de masse diminue et vient nourrir l'énergie sous forme cinétique.
C'est l'énergie oscillatoire qui diminue, le reste étant employé à la propulsion.
C'est comme Lafrenière mais ça va plus au fond des choses. Il faut lire le lien donné plus haut.
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Il faut décortiquer ainsi :

Mv.c² = Mv.(c²-v²) + Mv.v² = Mv.(c-v) (c+v) + Mv.v²
(c-v) (c+v) est le carré de la vitesse géométrique résiduelle du mouvement oscillatoire de la particule et donc en quelque sorte sa vitesse résiduelle dans le temps.
Si on pose t² = c²-v², vitesse résiduelle dans le temps on a bien la valeur du temps propre.
Mv.c² = Mv.t² + Mv.v².
On peut aussi écrire : Mv.c² = M.c.t + Mv.v² avec M la masse au repos.
Donc une masse au repos se déplace à c dans un mouvement de va et vient dans l'espace mais ça correspond à une vitesse c dans un mouvement direct dans le temps. Le temps est donc piloté par le mouvement oscillatoire de l'onde de matière.
Quand la particule se déplace, son énergie de masse, donc son énergie de temps en fait, décroît comme son temps propre et donc comme sa vitesse dans le temps.
Cette formule est absolument remarquable et supérieure aux deux autres déjà connues.

C'est ce que nous dit la relativité mais mieux car la relativité ne fait pas la distinction, elle ne voit pas que l'énergie de masse décroît avec la vitesse.
Elle nous dit :
Mv.c² = gamma mc² = E totale = mc² + Energie cinétique.
Mais ces valeurs d'énergie ne tiennent pas compte du transfert qui s'effectue entre les deux sortes d'énergie.
Dans un diagramme d'espace-temps le temps coordonnée de la masse en mouvement augmente de dt mais le vieillissement n'augmente que de dtau. La différence entre les deux est précisément l'énergie temporelle détournée au profit du mouvement spatial. C'est un mouvement dans le temps qui est vécu comme un mouvement dans l'espace par la masse mouvante. Cela montre que la métrique de l'espace-temps peut être avec profit considérée euclidienne, pour peu qu'on analyse les mécanismes en jeu. Géométriquement, la masse parcourt bien la distance temporelle dt mais ne vieillit que de dtau. Il ne faut pas confondre la géométrie avec le vieillissement.

La masse totale (relativiste) Mv est une masse qui a pour origine deux sortes d'énergies.
L'énergie sous forme de masse, qui est le résultat d'une oscillation stationnaire de l'énergie, et en fait mais ça reste à bien digérer ça correspond à un déplacement dans le temps. Sa quantité de mouvement est nulle.
L'énergie sous forme cinétique, qui est le résultat du déplacement de la particule dans l'espace et dont l'énergie est orientée dans la direction du mouvement.
La masse relativiste qui augmente avec la vitesse est une masse hybride.

Tout cela laisse à penser qu'il n'y a pas de 4e dimension de temps, qu'il s'agit d'une dimension virtuelle engendrée par l'annulation des quantités de mouvement. Si c²-v² diminue alors logiquement la période de la particule va diminuer et les phénomènes, au lieu d'évoluer proportionnément à c évolueront proportionnément à rac(c²-v²).
Il n'y a pas de 4e dimension physique pour le temps puisque le déplacement que l'on dit être dans le temps est en fait un mouvement d'oscillation dans l'espace...
Qu'est-ce qu'il y a alors ? une dimension imaginaire engendrant une courbure intrinsèque probablement.
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https://www.classicalmatter.org/
Voir en bas de page :
E² = (mc²)² + (pc)²
((h/2π)ω)² = (mc²)² + ((h/2π)*c*k)²
avec h, constante de Plank, ω fréquence angulaire et k nombre d'ondes. Le terme de gauche représente (soi disant) l'oscillation sans propagation et le terme de droite la propagation de l'onde.
Mais en fait ce n'est pas exact car comme vu plus haut la masse est partiellement employée au service de la propagation.
E² = (mc²)² + (γmvc)² = (γmc)² ((c/γ)² + v²)
ce qui redonne la formule vue plus haut : E² = Mv.c² = Mv. (t² + v²), t étant la vitesse dans le temps ou le "vieillissement", c'est à dire le ratio entre le temps propre et le temps universel.

On peut appliquer cette formule à la lumière. C'est la représentation de l'aberration. Une source de lumière émet un rayon orthogonalement à son déplacement. La lumière suit la source avec la même vitesse qu'elle, et le reliquat de vitesse est son déplacement orthogonal. La lumière possède une énergie fixe E, cette énergie se dissocie en deux composantes, plus p augmente plus m diminue par conservation de l'énergie :
c² = (c/γ)² + v² avec v vitesse de la source.

Résumé :
E² = (mc²)² + (γmvc)² = (Mc)² ((c/γ)² + v²)
ou
E = Mc² = M(c²-v²) + Mv² = mc²/γ + Mv²
E = M(c-v) (c+v) + Mv² (effet doppler des ondes de matière)
avec m la masse au repos et M la masse relativiste
On voit ainsi qu'une partie de l'énergie de masse est utilisée pour la propulsion et non pour le vieillissement, ce qui est responsable de la dilatation du temps.
L'énergie associée à la propagation vaut toujours Mv². Il faut comprendre qu'à faible vitesse, quand l'énergie cinétique est 1/2 mv² l'énergie de la propagation vaut en fait mv² et que le 1/2mv² supplémentaire est emprunté à la masse selon la formule : E = M(c²-v²) + Mv² ≈ m(c²-v²/2) + mv²
qui équivaut à
γMc² ≈ m(c² + v²/2)
γ ≈ (1 + v²/2c²)
Gemini donne comme développement limité de γ au deuxième ordre γ ≈ 1 + ½v²/c² + 3/8v⁴/c⁴
Donc la formule est bonne.

On peut comprendre maintenant l'affirmation suivante de Lafrenière :
C'est qu'à faible vitesse, la réaction est égale à l'action. La moitié de l'énergie mise en œuvre est utilisée pour freiner une boule de billard mobile si elle en heurte une autre identique de plein fouet. L'autre moitié seulement pourra être utilisée pour accélérer l'autre boule.
https://web.archive.org/web/20110903052 ... etique.htm
Lors du freinage l'énergie de masse empruntée pour la propulsion est rendue à la boule qui s'arrête. Mais en même temps la boule mise en mouvement emprunte elle aussi 1/2mv² à son énergie de masse.

Ellman a voulu aller plus loin, il a postulé qu'il existait une onde plane progressive associée au "centre d'oscillation"
Il assimile cette onde progressive à l'onde de de Broglie.
https://www.researchgate.net/publicatio ... tter_Waves
Elle possède en effet la même longueur d'onde, mais l'onde de Broglie n'emporte pas d'énergie est est une onde de phase. Or pour Ellman il n'y a pas d'onde de phase car l'électron n'est constitué que d'ondes divergentes.

En appliquant cette idée dans le cadre de l'électron de Wolff-Lafrenière, on peut dire que :
Une onde stationnaire mobile à la vitesse v possède deux composantes dans l'espace-temps :
- Une composante stationnaire dont la vitesse d'oscillation est sqrt(c²-v²) = c/γ
- Une composante progressive qui se déplace à la vitesse v
Son énergie vaut : E = Mc² = M(c²-v²) + Mv² = M(c/γ)² + Mv²
On retrouve la formule de la relativité euclidienne c² = (c/γ)² + (βc)² = t² + v²
La vitesse de propagation dans le médium est ainsi répartie en deux composantes, une pour le temps (compression scalaire) et une pour l'espace (mouvement vectoriel)
Le carré de l'énergie s'écrit :
E² = (mc²)² + (γmvc)² = (Mc)² ((c/γ)² + v²) d'où E²/Mc² = E = M ((c/γ)² + v²) ce qui est la même formule que l'autre.
Cette formule au carré est la formule fondatrice de la métrique euclidienne de l'espace-temps.
Au repos, l'énergie est toute dirigée dans le temps, en mouvement le surplus d'énergie est répartie dans l'espace. mc² ne représente pas le vieillissement comme dans le métrique de Minkowski, mais l'énergie mise au service de la propulsion dans le temps géométrique. La formule sans le carré représente la répartition de l'énergie en énergie utilisée pour le vieillissement et énergie utilisée pour la propulsion.

Cette onde est donc une onde d'espace-temps ou d'éther.
Au repos elle ne se déplace que dans le temps car les dilatations-contractions du médium ne sont pas des déplacements dans l'espace.

Maintenant, que dit Milo Wolff ici :
https://web.archive.org/web/20121209032 ... tron-spin/
The newly discovered quantum mechanics of the 1920s began to be applied to the physics of particles, seeking to further understand particles. Nobel Laureate P A.M. Dirac sought to find a relation between quantum theory and the conservation of energy in special relativity given by:
E² = (pc)² + (m0c)²
He speculated that this energy equation might be converted to a quantum equation in the usual way,$
E = h/i ∂Ψ/∂t
et
p = (h ∂[/i]Ψ/∂x + ∂[/i]Ψ/∂y + etc
He hoped to find the quantum differential wave equation of the particle. Unfortunately, Equation 3 uses squared terms and Equation 4 cannot. The road was blocked! Dirac had a crazy idea:

"Let's try to find the factors of Equation 3 without squares, by writing a matrix equation"
Formula 5
IE = α(pc) + β(m0c²)
where: I is the identity matrix, α and β are new matrix operators of a vector algebra.
Dirac was lucky! He found that if α and β were 4-vector matrices then Equation 5 works okay. It is the famous Dirac Equation.
etc
Dirac a trouvé l'équation de l'onde en reformulant la formule sans les carrés, car l'équation avec les carrés n'est pas compatible avec l'équation d'une onde.
Or E = Mc² = M(c²-v²) + Mv² = mc²/γ + Mv² = 1/γ * mc² + v/c * pc
donc α = v/c et β = c
or (1/γ)² + (v/c)² = 1 donc on peut écrire : E = cos θ * mc² + sin θ * pc
l'angle θ représente la rotation de l'objet en mouvement dans le temps. L'énergie de masse cède de son énergie pour la propulsion.
Si l'objet est immobile p = v = 0 et sin θ = 0. Par contre les composantes de v ne sont pas nulles et représentent et mouvement de spin. Il faut donc décomposer v et p pour trouver la rotation spatiale associée au spin.

Cette expression utilise la géométrie euclidienne de l'espace-temps et non l'hyperbolique. Seulement, cette géométrie est aussi quaternionique, ce qui signifie que, contrairement à la relativité d'Einstein, le temps et l'espace ne peuvent pas se mélanger au point de ne plus être distingués. Le temps est la partie scalaire et l'espace la partie vectorielle, et c'est pour cette raison que les équations d'onde en mécanique quantique ont des nombres complexes pour les différentier.

D'après Milo Wolff la longueur d'onde de l'électron est la longueur d'onde de Compton.
Voici un article qui suppose indépendamment cette idée et qui en déduit des concepts fondamentaux :
https://www.qeios.com/read/OZ0IRU.2
Il commet l'erreur de supposer que l'onde de de Broglie n'est pas physique. On sait que cette onde est doublement physique : en tant qu'onde de groupe elle supporte l'énergie cinétique et en tant qu'on de de phase elle supporte le changement de simultanéité.
https://forum-sceptique.com/viewtopic.p ... 38#p640638


Orbitales atomiques :

Il est possible aujourd'hui de filmer les orbitales et de voir les électrons au sein de ces orbitales.
La deuxième série d'images ci-dessous montre les 3 ondes dont est composé l'électron mobile.
Image
https://opg.optica.org/oe/fulltext.cfm? ... &id=315376
1-Onde stationnaire (onde temporelle ou solution de l'équation de Schrodinger indépendante du temps) telle que décrite par Milo Wolff et Lafrenière. Elle est centrée sur le noyau atomique de l'hydrogène. Elle correspond à la composante spatiale de l'onde porteuse.
2-L'onde de phase de De Broglie : ce sont les barres verticales. Plus l'électron va vite, plus le nombre de bandes est important. Lafrenière a de nombreuses représentations comme celle-ci :
Image
Mais dans la représentation de Lafrenière l'électron est en translation, non en rotation. L'électron en translation subit un déphasage qui est responsable du changement de simultanéité.
3-L'onde duale de l'onde stationnaire (onde spatiale), qui est aussi (ou pas) une onde de de Broglie (même longueur d'onde), qui est responsable de la propulsion (et de la diffraction des électrons) et que Hellman a découverte. C'est cette onde qui tourne autour du noyau de l'atome. Elle correspond à la composante temporelle de l'onde porteuse.

Les ondes 1 et 3 constituent les composantes d'une seule onde d'espace-temps.

https://www.researchgate.net/publicatio ... tter_Waves

L'électron est donc à la fois immobile par sa partie "corpuslculaire" et en orbite par sa partie "ondulatoire". Dans cette situation il ne subit pas le déphasage et donc le changement de simultanéité.
La dualité onde-corpuscule de la physique est la dualité entre l'onde 1-3 et l'onde 2.
Dernière modification par externo le dimanche 27 octobre 2024 à 18:22, modifié 74 fois.
 #48907  par externo
 
ELECTROMAGNETISME

Le champ magnétique n'est qu'un effet Doppler du champ électrique
On peut montrer, conformément à la théorie de Wolff-Lafrenière, que le champ électrique possède une fréquence et que le champ magnétique n'est que l'effet doppler classique de ce champ électrique.

D'après cette vidéo :

le champ magnétique correspond à la situation où la charge test ne pointe plus dans la direction instantanée du champ. Tant que la charge source se déplace à vitesse constante la charge test pointe vers la position réelle, si la charge accélère, après coup pendant un certain temps la charge test continue de pointer dans l'ancienne direction, ensuite l'information de changer serait apportée par le rayonnement électromagnétique, qui contient un champ magnétique donc le fameux correctif. Dans les cas où il n'y a pas d'accélération le champ magnétique a la même fonction.

On sait depuis Ampère que le champ magnétique n'est qu'une modification du champ électrique.
Ampère avait déjà prédit les électrons et que leur mouvements produisait le champ magnétique.
Ampère interprète le phénomène du magnétisme par la théorie du courant moléculaire, selon laquelle d'innombrables particules minuscules, chargées électriquement, seraient en mouvement dans le conducteur. Cette théorie est rejetée par les scientifiques de son époque et ne parvient à s'imposer que soixante ans plus tard avec la découverte des électrons.
https://fr.wikipedia.org/wiki/André-Mar ... conducteur.
Maxwell écrit dans son traité :
Si l'on suppose que notre machinerie mathématique est si grossière que notre ligne d'intégration ne peut enfiler un circuit moléculaire, et qu'un nombre immense de molécules magnétiques sont contenues dans un élément de volume, nous arriverons quand même à des résultats similaires à ceux de la Partie III, mais si nous supposons notre machinerie plus fine et capable d'étudier tout ce qui se passe à l'intérieur des molécules, il faudra abandonner la vieille théorie du magnétisme et adopter celle d'Ampère, qui n'admet d'aimants que ceux qui sont constitués de courants électriques.
Nous devons également considérer l'énergie magnétique et électromagnétique comme de l'énergie cinétique, et nous devons lui attribuer le signe propre, comme indiqué dans l'Art. 635.
Dans ce qui suit, bien que nous puissions occasionnellement, comme dans l'Art. 639, etc., tenter de mettre en œuvre l'ancienne théorie du magnétisme, nous constaterons que nous obtenons un système parfaitement cohérent seulement lorsque nous abandonnons cette théorie et adoptons la théorie des courants moléculaires d'Ampère, comme dans l'Art. 644.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95176j/f277.item
Ampère a également fourni une compréhension physique de la relation électromagnétique, théorisant l'existence d'une « molécule électrodynamique » (le précurseur de l'idée de l'électron) qui servait d'élément constitutif à la fois de l'électricité et du magnétisme. En utilisant cette explication physique du mouvement électromagnétique, Ampère a développé une explication physique des phénomènes électromagnétiques qui était à la fois empiriquement démontrable et mathématiquement prédictive. Près de 100 ans plus tard, en 1915, Albert Einstein et Wander Johannes de Haas ont prouvé la justesse de l'hypothèse d'Ampère grâce à l'effet Einstein-de Haas.
https://en.wikipedia.org/wiki/André-Mar ... omagnetism
https://en.wikipedia.org/wiki/Einstein–de_Haas_effect
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Einstein-de_Haas

Ellman dérive ici le champ magnétique à partir des effets Doppler (ou effets cinématiques) subis par la charge en mouvement : http://the-origin.org/Sect-14a.pdf
Son électron n'est pas celui de Milo Wolff mais dans ce cas-ci ça n'a pas d'importance, cela revient au même. On ne trouve pas cette dérivation chez Milo Wolff.
Il y a 2 dérivations, une d'après la physique mainstream et une par effet Doppler d'après les ondes émises par l'électron.
La physique explique que le champ électrique est contracté dans le sens du mouvement et que cela induit une diminution du champ électrique de gamma² dans le sens du mouvement et une augmentation de gamma dans le sens orthoradial. La dérivation montre que cette contraction du champ est produite par un double effet cinétique éprouvé par la charge en mouvement.
https://en.wikipedia.org/wiki/Electric_field
(Jeffimenko a remis en question la contraction des longueurs car elle est inutile pour dériver la diminution de gamma² dans le sens du déplacement.)

Ce qui est montré ici c'est que le champ magnétique dérive d'un effet Doppler du champ électrique sans passer par l'hypothèse de la contraction relativiste du champ électrique, cette contraction étant elle-même dérivée indirectement dans les calculs.

Ainsi le champ électrique est déformé par effet doppler relativiste et le champ magnétique est lui-même un effet Doppler classique sur ce champ électrique déformé. Il faut cependant noter qu'il n'y a pas de champ magnétique dans la direction du mouvement et donc pas d'effet Doppler du champ électrique. La contraction selon gammaé du champ électrique radial inclus l'effet Doppler.


Vidéo qui le montre :


Explication cinématique simple de la force orthoradiale :
Quand une charge se déplace son champ électrique orthogonal au sens du déplacement est multiplié du facteur gamma. Cela étant admis, on peut montrer que le champ magnétique n'est qu'un effet Doppler sur ce champ électrique modifié.
La vitesse orthoradiale du champ diminue de la valeur de la vitesse radiale de la charge (aberration), ce qui donne a priori l'impression d'un effet Doppler, mais celui-ci est annulé par le mouvement relatif des deux charges. Du coup, la fréquence de réception du signal est inchangé et il n'y a pas d'effet Doppler transverse ni de champ magnétique dans ce cas. Je pense que cela revient au même que de dire que la charge test pointe toujours dans la direction actuelle du champ.
On voit que la dilatation du temps dans le sens orthogonal au mouvement vient de l'aberration, le trajet aller-retour de la lumière sera plus long du facteur gamma.
Si deux charges vont à la même vitesse côte à côte dans la même direction elles ne subissent pas l'aberration ni le déplacement relatif l'une de l'autre, mais la vitesse du signal orthogonalement de l'une vers l'autre est bien ralenti du facteur gamma du point de vue de l'observateur immobile, ce qui diminue la force électrique.
Si les charges se déplacent en sens inverse la vitesse relative des deux charges est trop importante, elle fait plus que compenser la diminution de la vitesse orthoradiale du champ électrique, donc la fréquence du champ électrique augmente et les charges se repoussent plus.

Si on regarde le texte de Feynman 13.6
https://www.feynmanlecture
il est écrit que la force magnétique F dans le courant du point de vue où le fil est immobile est perçue sous forme électrique par le référentiel de l'électron en mouvement et que cette force électrique F' perçue par l'électron est gamma fois plus forte que F. D'où vient le champ magnétique ? il vient de l'effet expliqué plus haut, qui est un effet Doppler classique orthogonal ou quelque chose dans le genre. D'où vient que F' = gamma * F et non F' = F ? Ca vient de la dilatation du temps, donc du Doppler transverse. L'électron test subit la dilation du temps donc la force F' calculée avec son temps propre devient gamma * F. Feynman dit également que ça vient de la dilatation du temps (13.30-33)
Donc le champ magnétique orthoradial est un résultat de l'effet Doppler classique (ici calculé dans un contexte orthogonal) et de l'effet Doppler "transverse" de dilatation du temps.

Le cas de la force radiale au sens du mouvement donne aussi le même résultat pour le champ magnétique, la répulsion diminue dans le sens du mouvement de la charge et augmente en sens inverse, comme l'effet Doppler.

Pour compléter, on trouvera à cette page une dérivation mathématique montrant que le champ électrique de l'onde électromagnétique n'est qu'une correction de son champ électrique par l'effet Doppler éprouvé dans un référentiel en mouvement.
https://osf.io/wn3br/

Dans cette étude (§ 4.8-4.10), il est déjà indiqué que le champ magnétique est une effet ondulatoire lié au mouvement des gouttelettes marcheuses : https://arxiv.org/pdf/1401.4356.pdf

Vidéo expliquant dans tous les cas de figure le champ électromagnétique par la contraction du champ électrique de l'électron associée à l'effet doppler:


Pourquoi quand une charge test se déplace dans l'axe du déplacement d'une charge maître la force qu'elle éprouve ne change pas alors que la vitesse relative entre les deux charges change ?
En fait, vu depuis le référentiel du laboratoire, la force éprouvée par la charge test dépend de sa vitesse, elle change donc. Mais elle change de la même manière que le facteur de dilatation du temps, ce qui rend le changement transparent pour la charge test. La charge test interprète la situation comme cela : la charge qui m'influence modifie sa vitesse et donc son champ électrique change mais comme la distance entre nous change aussi cela compense exactement. Or si la distance entre les deux change de son point de vue c'est parce qu'en fait c'est elle qui modifie sa vitesse, elle perçoit sa propre dilatation temporelle sous la forme d'une contraction des longueurs de l'espace extérieur.
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Heaviside et les équations de Maxwell :
En réécrivant les équations de Maxwell Heaviside a non remplacé la formulation quaternionique par la formulation de l'analyse vectorielle, mais il a masqué le fait que le magnétisme dérivait du courant électrique en écrivant les équations à l'aide des champs au lieu des potentiels.
La clé était d’éliminer l’étrange potentiel vectoriel magnétique de Maxwell. "Je n'ai jamais fait de progrès jusqu'à ce que je jette tous les potentiels par-dessus bord", a déclaré plus tard Heaviside. La nouvelle formulation plaçait plutôt les champs électriques et magnétiques au premier plan.
https://spectrum.ieee.org/the-long-road ... oggle-gdpr
L’une des conséquences de ces travaux a été de révéler la belle symétrie des équations de Maxwell. L’une des quatre équations décrit comment un champ magnétique changeant crée un champ électrique (découverte de Faraday), et une autre décrit comment un champ électrique changeant crée un champ magnétique (le fameux courant de déplacement, ajouté par Maxwell).
Cette formulation a également révélé un mystère. Les charges électriques, telles que les électrons et les ions, sont entourées de lignes de champ électrique qui rayonnent à partir de la charge. Mais il n’existe aucune source de lignes de champ magnétique : dans notre univers connu, les lignes de champ magnétique sont toujours des boucles continues, sans début ni fin. Cette asymétrie a troublé Heaviside, c'est pourquoi il a ajouté un terme représentant une « charge » magnétique, en supposant qu'elle n'avait tout simplement pas encore été découverte. Et effectivement, ce n’est toujours pas le cas. Depuis, les physiciens ont mené des recherches approfondies sur de telles charges magnétiques, également appelées monopôles magnétiques. Mais ils n'ont jamais été retrouvés.


La symétrie entre le magnétisme et l'électricité est certainement une symétrie factice du même genre que celle de la relativité. Cette formulation de Heaviside a simplement révélé un mystère inexistant. Ce texte montre que Heaviside a défiguré les équations de Maxwell et ne les a pas vraiment comprises.

https://en.wikipedia.org/wiki/History_o ... _equations
Les équations de Heaviside, qui sont enseignées dans les manuels et les universités sous le nom d’équations de Maxwell, ne sont pas exactement les mêmes que celles dues à Maxwell et, en fait, ces dernières sont plus facilement conformes à la physique quantique.[16]

Cette situation très subtile et paradoxale peut peut-être être plus facilement comprise en termes de situation similaire qui existe en ce qui concerne la deuxième loi du mouvement de Newton : dans les manuels et dans les salles de classe, la loi F=ma est attribué à Newton, mais Newton a en fait écrit sa deuxième loi F={\dot {p}} est clairement visible dans une vitrine de la bibliothèque Wren du Trinity College de Cambridge, où le manuscrit de Newton est ouvert sur la page correspondante. comme F={\dot {p}} , où dot est la dérivée temporelle du momentum. Cela semble un fait assez trivial jusqu'à ce que vous réalisiez que {\displaystyle F={\dot {p}} reste vrai en Relativité Restreinte, sans modification.

La contribution de Maxwell à la science en produisant ces équations réside dans la correction qu'il a apportée à la loi circuit d'Ampère dans son article de 1861 Sur les lignes de force physiques. Il a ajouté le terme de courant de déplacement à la loi de circuit d'Ampère, ce qui lui a permis de dériver l'équation des ondes électromagnétiques dans son article ultérieur de 1865, Une théorie dynamique du champ électromagnétique et de démontrer le fait que la lumière est une onde électromagnétique.

Heaviside a travaillé pour éliminer les potentiels (potentiel électrique et potentiel magnétique) que Maxwell avait utilisés comme concepts centraux dans ses équations ; cet effort était quelque peu controversé, bien qu'il ait été compris en 1884 que les potentiels devaient se propager à la vitesse de la lumière comme les champs, contrairement au concept d'action instantanée à distance comme la conception alors du potentiel gravitationnel.
https://en.wikipedia.org/wiki/Mathemati ... etic_field
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Pour Maxwell et son temps, les trois unités fondamentales étaient le temps, l'espace et la masse. Voir vol. 2, chap. X de son traité : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95176j/f265.item#
Le système d'unité SI a remplacé le système CGS, intégrant l'Ampère dans les unités fondamentales. Ceci est une erreur, mais elle est facilement rattrapable car le Coulomb du système SI est en réalité une simple unité de longueur :
Dans la théorie des ondes d’énergie, seules trois unités de base sont requises. L'explication et la suppression de l'une des unités ont un impact profond sur la simplicité ultime des équations dans EWT. Les unités supprimées sont :
  • La mole est une unité sans dimension, car il s'agit d'une quantité (compte) d'une substance
  • Kelvin est la même unité que l'énergie, car il s'agit de l'énergie cinétique moyenne des particules
  • Candela est une mesure d'énergie, car c'est l'énergie des photons par unité d'angle
  • Les ampères sont la vitesse des particules comme les électrons, car elle est mesurée comme le flux de courant électrique
C'est l'ampère qui constitue la plus grande source de confusion. Elle est définie comme une charge (Coulombs) par seconde, décrivant le courant. Mais c’est l’unité de charge de Coulombs qui a conduit à un ensemble distinct d’équations utilisant l’électromagnétisme par rapport aux équations utilisant la masse, simplement parce que les unités ne s’alignent pas entre ces équations. Lorsque la charge (Coulombs) est remplacée par l'amplitude de l'onde, qui correspond au déplacement des granules (mètres), les équations de charge et de masse s'alignent.
Les trois unités utilisées pour décrire les particules, les photons, les atomes et leurs forces sont : la masse (kg), la longueur (m) et le temps (s). Cela constitue le système d'unités kg/m/s simplifié utilisé dans l'EWT. Tous les calculs dans EWT utilisent l'une des deux constantes suivantes : les constantes classiques ou d'onde. Chacune de ces constantes est décrite plus en détail sur la page des constantes d'espace-temps, mais notez que les unités des constantes sont toutes des variations de kg/m/s.
https://energywavetheory.com/spacetime/units/
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Dernières pages du traité de Maxwell sur l'électromagnétisme (1873)
865.] Il semble y avoir, dans l'esprit de ces hommes éminents, quelque préjugé, ou objection a priori, contre l'hypothèse d'un milieu dans lequel se produisent les phénomènes de rayonnement de la lumière et de la chaleur et les actions électriques à distance. Il est vrai qu'à une certaine époque, ceux qui spéculaient sur les causes des phénomènes physiques avaient l'habitude de rendre compte de chaque espèce d'actions à distance au moyen d'un fluide éthéré spécial, dont la fonction et la propriété étaient de produire ces actions. Ils ont rempli tout l'espace trois ou quatre fois d'éthers d'espèces différentes, dont les propriétés ont été inventées simplement pour « sauver les apparences », de sorte que les chercheurs plus rationnels étaient disposés à accepter plutôt non seulement la loi définie de l'attraction à distance de Newton, mais même le dogme de Cotes, selon lequel l'action à distance est une des propriétés premières de la matière, et qu'aucune explication ne peut être plus intelligible que ce fait. C'est pourquoi la théorie ondulatoire de la lumière a rencontré de nombreuses oppositions, dirigées non contre son incapacité à expliquer les phénomènes, mais contre son hypothèse de l'existence d'un milieu dans lequel la lumière se propage.
866.] Nous avons vu que les expressions mathématiques de l'action électrodynamique conduisaient, dans l'esprit de Gauss, à la conviction qu'une théorie de la propagation de l'action électrique dans le temps se révélerait la clé de voûte même de l'électrodynamique. Or nous ne pouvons concevoir la propagation dans le temps, autrement que comme le trajet d'une substance matérielle à travers l'espace, ou comme la propagation d'un état de mouvement ou de contrainte dans un milieu existant déjà dans l'espace. Dans la théorie de Neumann, la conception mathématique appelée Potentiel, que nous ne pouvons concevoir comme une substance matérielle, est censée être projetée d'une particule à une autre, d'une manière qui est tout à fait indépendante d'un milieu, et qui, comme Neumann l'a lui-même indiqué, est extrêmement différente de celle de la propagation de la lumière. Dans les théories de Riemann et Betti, il semblerait que l’action soit censée se propager d’une manière un peu plus similaire à celle de la lumière.
Mais dans toutes ces théories, la question se pose naturellement :____Si quelque chose est transmis d'une particule à une autre à distance, quel est son état après avoir quitté l'une des particules et avant d'atteindre l'autre ? Si ce quelque chose est l’énergie potentielle des deux particules, comme dans la théorie de Neumann, comment concevoir cette énergie comme existant en un point de l’espace, ne coïncidant ni avec une particule ni avec l’autre ? En fait, chaque fois que l'énergie est transmise d'un corps à un autre dans le temps, il doit y avoir un milieu ou une substance dans lequel l'énergie existe après avoir quitté un corps et avant d'atteindre l'autre, car l'énergie, comme le faisait remarquer Torricelli, « est un quintessence d'une nature si subtile qu'elle ne peut être contenue dans aucun vaisseau autre que la substance la plus intime des choses matérielles. " Ainsi toutes ces théories conduisent à concevoir un milieu dans lequel s'effectue la propagation, et si l'on admet ce milieu comme hypothèse , je pense qu'elle devrait occuper une place prépondérante dans nos investigations, et que nous devrions nous efforcer de construire une représentation mentale de tous les détails de son action, et cela a été mon objectif constant dans ce traité.
La page suivante est un débat donc ne fait pas partie du texte à lire. Il faut passer au
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Dernière modification par externo le lundi 28 octobre 2024 à 18:57, modifié 53 fois.