Je me place ici dans l'hypothèse du discontinu, exit l'hypothèse du continu. Un point est désormais constitué du couple 1 et -1. Soit on dit qu'un point est la somme de deux dimensions opposées, soit il se projette par 1 et -1 sur une même direction. Bon une longueur négative, on l'obtient à l'aide de i²=-1, on dira donc qu'un point est constitué de 1&i. La phase entre 1 et i est indéfinie, de telle sorte que 1.i≠0. De l'équation dt²-dx²=0 du photon, on tire qu'un photon se déplace localement le long d'un couple (1, i), on dira qu'un espace généré par 1+i est plat, c'est ce qui nous fait dire que dans le 'référentiel d'un photon', tout est instantané, l'espace traversé étant donc équivalent à un point. Pour sortir d'un espace plat, il faut une dimension supplémentaire, c'est ce que nous raconte l'équation dt²-dx²=ds² de la matière, ou dt²-(dx²+ds²)=0, en gros un photon, au lieu de se déplacer dans la direction x, perd son temps dans une autre direction, on s'attend à donne une description de la matière comme étant des photons qui tournent en rond, qu'elle est constituée de d'avantage de dimensions que celle d'un point
Si vous avez d'autres idées pour donner de l'épaisseur à un point, faites-vous plaisir. Chaque point est connecté à ses points voisins par orthogonalité, il a donc deux voisins de type (1, i), un orthogonal pour 1, l'autre pour i. Pour faire sortir l'univers du vide, par pure symétrie, on utilise donc les symétries élémentaires 1+(-1)=0 et u.v=0, finalement ça revient à u.v=1, -1, i, -i ou 0, en somme l'orthogonal de l'orthogonal est soit Id, -Id, soit orthogonal.
Et donc l'univers est initialement une ligne, une ligne brisée infinie, double et couplée, elle est localement définie par une loi interne 1+(-1)=0 et une loi externe u.v=0
Par un jeu de cohérence de proche en proche, une dimension se 'fait connaître' aux autres par propagation le long de la ligne, la ligne s'épaissit 'dimensionnellement' avec le temps, on s'y repère suivant des phases, suivant comment, localement, les vecteurs s'y orientent et s'organisent en une géométrie locale qui ressemble à s'y méprendre à une géométrie 6D, en fait 3D vu que l'autre espace 3iD lui est couplé, on verra comment
Chacun de ces 6vecteurs de base est du type somme finie Σuk/k, pour traduire qu'une dimension voit N dimensions à la date N, la plus lointaine étant donc normée 1/N. Pour ceux qui veulent une image, tapez 'animation Fourier', on peut dessiner à l'aide de cercle de plus en plus petit. La norme du vecteur composé de ces six vecteurs est π à l'ordre log(N), l'espace ainsi construit, pas tout à fait de géométrie sphérique, est donc à un espace des phases, idéal donc pour repérer la matière, centre de symétries, autour d'un axe, c'est à dire de la ligne d'univers. Dans un tel univers un photon voyage en zig-zag, tel son propre reflet sur les miroirs que sont les dimensions placées le long de son trajet
En tout cas, c'est ce que l'on conclurait si l'on devait supprimer l'hypothèse du continu et que l'on veuille faire sortir l'univers du néant, d'un point disons; par simple jeu de symétrie, on peut dire qu'il est encore équivalent à un point, c'est fou ce que l'on peut faire dire aux symétries!
que vous qualifiez d'élémentaire
déjà faut pouvoir dire que notre géométrie est constituées d'au moins autant de dimensions qu'il n'y a de particules dans notre univers observable
L'introduction des complexes permet effectivement d'introduire la notion de symétrie élémentaire comme 1+(-1)=0, dont on tire l'existence géométrique de 1 et i
On résumera les symétries élémentaires à l'orthogonal de l'orthogonal égal à Id, -Id ou orthogonal, on commence à construire des phases en ajoutant des vecteurs orthogonaux, mis bout à bout
Un boost n'est donc plus une étrange transformation hyperbolique. C'est une simple rotation
Attention, une rotation élémentaire, c'est l'ajout d'une dimension orthogonale
Et une projection, c'est surtout une somme quelconque d'éléments orthogonaux de norme 1/k
Le nombre de dimensions locales augmente par incrément de temps, du coup un photon part d'une géométrie à nD et arrive dans une géométrie (n+m)D, ce qui explique le redshift des galaxies lointaines. L'univers observable gonfle géographiquement (et donc géométriquement) dans l'univers, il intersecte plus de matière (et donc plus de dimensions) avec le temps. Prédiction: le redshift des galaxies va diminuer dans le temps, vu que les galaxies lointaines ont eux aussi une géométrie qui s'affine, alors que le modèle actuel dit qu'il doit augmenter dans le temps (d'après ce modèle, les galaxies s'enfuient toujours plus vite, leur redshift est censé augmenter). L'ELT doit faire la mesure du redshift drift (mesure de redshifts à la date t puis t+10ans par exemple), rendez-vous dans 20ans! Donc autant dire que le modèle cosmologique est complètement à revoir
Quand on se déplace en s'éloignant d'une source, on redshift un signal de la source, on peut tenir compte du nombre de dimensions que l'on gagne, le temps que le photon nous rattrape, plus que si l'on est à l'arrêt. Mais bon si l'on s'arrête (pour recevoir des bips avec la même fréquence qu'au départ), on recevra un signal moins redshifté que lors du mouvement de fuite, le processus n'est donc pas le même que le redshift cosmologique. On fera donc appel à la traditionnelle contraction/dilatation de l'espace suivant que l'on s'éloigne ou se rapproche
Lorsque cette règle est mise en mouvement, elle subit un boost
tout ce qu'on sait, c'est qu'il y a des phases qui bougent, au départ d'un photon, (quand un objet se déplace, tout se résume à une émission de photons) et à son arrivée, je parlerais plutôt d'un assemblage de symétries, qui ressemble donc à une rotation. Et le photon à un stock de phases, son itinéraire, son tracé sur les dimensions en quinconce de son trajet
Plus précisément, quand un photon est émis sans direction privilégiée, il a une propagation sphérique, en ce sens qu'il parcourt le trajet dr (R+dr étant le rayon de la sphère de propagation) en reliant deux points de la sphère, l'un sur la sphère de rayon R, l'autre sur la sphère de rayon R+dr, ils peuvent même être diamétralement opposés, en un temps constant, ce qui donne l'impression qu'il voyage tout droit à vitesse constante. Le secret, c'est que le temps de parcourt d'une phase élémentaire est toujours le même, tel un reflet traversant une surface inclinée, cette particularité fait que, lorsque l'espace est contracté (incliné, comme tu dis nos projections évoluent), le temps est ralenti, du moins si l'on considère que, dans notre géométrie, l'angle apparent ou solide d'une surface inclinée est plus court et demande à être balayé (par la lampe torche) en moins de temps pour qu'elle soit parcourue toujours en un temps constant. On arrive donc au modèle de Lorentz, dont le modèle d'Einstein est une approximation, et par là-même à une description à la fois corpusculaire et sphérique du photon, de la matière. Pour passer à une description corpusculaire et ondulatoire, il faut parler de l'énergie des photons, qui est une autre phase que celles qui séparent géométriquement deux points, on peut par exemple faire la très bonne hypothèse qu'un photon est la somme de photons élémentaires. J'ai déjà entendu un prof dire qu'un photon vert peut se comporter comme une imbrication de deux photons rouges
Et on peut expliquer l'effet tunnel en exploitant le zig-zag que fait une photon, il peut par exemple 'traverser' un objet en le contournant si celui-ci est donc assez petit et fin, le temps que la sphère de propagation s'agrandissent et que le trajet du photon ne croise pas ledit objet. En tout cas, cette description rejoint celle dont on parle quand un photon d'onde basse a tendance a éviter les objets plus petits que leur longueur d'onde