Merci Mimata,
En attendant qu'Aleksx supprime les caricatures, je fournis quand même quelques liens qui pourront apporter des réponses à ses questions. Ton message est quand même très contradictoire, Aleksx, parce que tu poses des questions somme toute très rationnelles, mais tu ne peux pas t'empêcher de me ridiculiser dans une deuxième partie de message, exactement comme le fait Bongo. En fait, ça vous fait peur de m'écrire des messages "normaux", vous avez trop peur d'être perçus comme des loosers ou des marginaux par les autres, donc vous finissez quand même par me jeter une petite pierre, histoire de faire bien, et pour vous faire bien voir par les autres.
Concernant ce que devient la physique newtonienne et notamment la constante gravitationnelle G, il faut lire attentivement ce qu'écrit Lamprecht :
C'est sur
http://www.bibliotecapleyades.net/tierra_hueca/esp_tierra_hueca_8b.htm
Quand à Jacques Fortier, voilà sa version. Je m'excuse pour la longueur du texte. Il s'agit d'une version revue et améliorée par mes soins d'un texte publié sur son site, et elle n'est pas en ligne. Je la mets donc ici en plein texte.
Au sujet de l'âge de l'étoile interne, pourquoi ne pourrait-il pas être d'un ou deux millions d'années ?
Lamprecht fait l'hypothèse qu'une étoile interne à Vénus s'est mise en activité "récemment" (à l'échelle cosmique) et que la hausse de température consécutive a fait s'évaporer l'eau de ce qui étaient des océans sur Vénus.
Voir sur
http://www.bibliotecapleyades.net/tierr ... eca_8e.htm :
Sur cette page, vous trouverez des réflexions intéressantes concernant l'effet de serre sur cette planète. Il est en effet supérieur à ce qu'il devrait être.
La question de la transmission de la chaleur à travers les écorces planétaires est intéressante. Dis-moi, Aleksx, as-tu déjà fait de la spéléologie ? Il est remarquable qu'à à peine dix mètres sous la surface, on trouve déjà des températures très fraîches. Qu'est-ce qui te fait croire que la chaleur d'une étoile interne se diffuserait forcément à travers 2 800 km d'épaisseur ? (Mais oui tu as bien lu ! C'est la distance Berlin-Casablanca.)
Voir notamment sur la page
http://www.bibliotecapleyades.net/tierr ... eca_8d.htm
:
C'est la même question en sens inverse.
Drôle de défi. Qui va jouer le rôle de l'arbitre, du jury ? Toi ?
En tous cas, merci de "ne pas m'agresser", et d'avoir le sourire en coin
. Je t'invite à dire systématiquement "ce que tu penses".
Au printemps, dans mes échanges avec Bongo, je me basais sur une localisation de supposées ouvertures polaires faite par Rodney Cluff, du côté russe de l'Océan Arctique, et présentée sur http://www.ourhollowearth.com . Je ne suis plus d'accord avec cette localisation.
JE NE CROIS PLUS EN L'EXISTENCE D'OUVERTURES POLAIRES DE PLUS DE MILLE KM DE DIAMETRE.
Toutes les photos qu'on trouve sur Google prétendant en montrer sont donc soit fausses, soit des vues d'artiste. La photo avec la tache noire pourrait très bien être celle de l'ombre de la Lune lors d'une éclipse de Soleil. C'est étonnant que personne n'ait eue cette idée.
Jan Lamprecht a longuement analysé une vingtaine de photos prétendument d'ouvertures polaires, et il en a conclu qu'aucune d'entre elles ne montre d'ouvertures polaires. Ce sont parfois de simples phénomènes atmosphériques.
Cela invalide-t-il pour autant le modèle des astres creux ? Pas forcément. Il pourrait très bien y avoir des ouvertures plus petites, si petites qu'elles seraient difficilement détectables, ou du moins beaucoup plus faciles à cacher. Tu évoques les températures en Océan Arctique. C'est intéressant, parce que justement, même si nous sommes bien d'accord que cette région connait globalement des températures froides, de nombreux témoignages, notamment ceux de l'explorateur Fridtjof Nansen ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Fridtjof_Nansen#Consultant_scientifique_et_autorit.C3.A9_polaire ), font état de vents anormalement chauds et de mers polaires ouvertes libres de glace. Il est aussi question de bois flottant et de migrations de nombreux animaux.
Mais le texte le plus intéressant à lire pour ceux que le sujet intéresse vraiment (et je ne crois pas qu'ils soient nombreux), est encore et toujours un chapitre du livre de Lamprecht, qu'il faut imprimer et lire à tête reposée pour bien tout comprendre :
http://www.bibliotecapleyades.net/tierra_hueca/esp_tierra_hueca_8q.htm

En attendant qu'Aleksx supprime les caricatures, je fournis quand même quelques liens qui pourront apporter des réponses à ses questions. Ton message est quand même très contradictoire, Aleksx, parce que tu poses des questions somme toute très rationnelles, mais tu ne peux pas t'empêcher de me ridiculiser dans une deuxième partie de message, exactement comme le fait Bongo. En fait, ça vous fait peur de m'écrire des messages "normaux", vous avez trop peur d'être perçus comme des loosers ou des marginaux par les autres, donc vous finissez quand même par me jeter une petite pierre, histoire de faire bien, et pour vous faire bien voir par les autres.

Concernant ce que devient la physique newtonienne et notamment la constante gravitationnelle G, il faut lire attentivement ce qu'écrit Lamprecht :
How can we be sure that the Earth really has the mass accorded it by Newtonian gravity? Is an experiment, using two lead balls really representative of the entire Earth? How can we be sure that gravity behaves 1,000 miles down in the Earth the same as it does 10 cm down in a lead ball? Scientists are convinced that electric currents flow inside the Earth. These currents almost certainly flow in the same direction. It therefore follows that they will be attractive. Does it not then follow that each mass of M deep inside the Earth might produce a greater force of F than previously considered? If so, then the Earth’s density may be much less than it has been thought of until now. Over and above this theorizing, we still have the excellent mine, borehole, ice-cap and sea bed experiments which definitely show that something is amiss. Regardless of where G was determined, the value of G increased, even at very shallow depths. All this indicates that less mass produced increased attraction. These could be the initial indications that Earth really is hollow.
C'est sur



Quand à Jacques Fortier, voilà sa version. Je m'excuse pour la longueur du texte. Il s'agit d'une version revue et améliorée par mes soins d'un texte publié sur son site, et elle n'est pas en ligne. Je la mets donc ici en plein texte.
Introduction à une nouvelle physique de base
Tout ceci nous conduit automatiquement à retoucher aux équations de base de la physique newtonienne dans leur aspect quantitatif. Maintenant que nous avons mis en évidence l'existence des deux soleils centraux internes à la Terre et que nous avons une idée approximative de leur masse respective dans le paradigme officiel et actuel de la science (~ 1,5 × 10²¹ kg chacun, soit ~ 3 × 10²¹ kg pour les deux), nous devons revoir ces masses dans le cadre rectifié d'une nouvelle science physique fondamentale.
L'expérience réalisée dans une mine nous montre clairement l'existence d'une creusité importante à l’intérieur de notre planète. Les résultats des pesées nous permettent de calculer le rayon moyen de cette creusité, duquel on peut calculer l'épaisseur de l'écorce terrestre, soit la portion pleine de la Terre avec ses deux soleils centraux.
Nous aurons à établir les nouvelles masse et densité plus réalistes de la Terre. Aussi nous devrons établir de nouvelles notions scientifiques afin de faire le lien entre le paradigme officiel actuel et un nouveau paradigme. La constante gravitationnelle officielle G devra aussi être ajustée.
Commençons par définir les notions utiles à ce changement. Actuellement, la science officielle surestime la masse de la Terre tout en sous-estimant la valeur de la constante gravitationnelle. Quant à la densité, elle est artificielle bien qu'elle soit dépendante des deux notions précédentes. Cette notion de masse actuelle de la Terre pourrait s'appeler « masse creuse» ou « masse surévaluée ».
On devrait aussi parler de masse pleine lorsqu'on fait allusion à un volume effectivement rempli de matière dense (solide ou liquide). Ainsi, pour la Terre, la masse des parties pleines (Écorces + S1 + S2) s'appellerait Mz ou « masse pleine » de la Terre et serait couplée avec Gz, la constante gravitationnelle plus réaliste découlant de la creusité de la Terre, si on garde la densité officielle actuelle de la Terre qu'on appliquerait au volume de la Terre contenant de la matière liquide ou solide. On élimine en fait les portions internes de la Terre contenant de l'air libre pour parler de la nouvelle densité moyenne de la Terre. Ainsi on peut garder le D actuel et le rendre égal à Dz, tout en étant conscient de la différence de signification.
De la formule
F = G MT m / R² MT = Masse de la Terre
R = Rayon moyen = 6378 km
G = Constante gravitationnelle officielle
on passerait à
F = Gz MTz m / R² MTz = Masse plus réaliste de la Terre
R = Rayon moyen = 6378 km
Gz = Constante gravitationnelle plus réaliste associée![]()
Pour la force externe de la Terre en s'éloignant de sa surface R > ou = 6 378 km et GMT = Gz MTz si D = Dz.
Ce n’est là qu'une des nombreuses possibilités, car Dz pourrait tout aussi bien être différent du D officiel actuel.
Étant donné que nous ne connaissons pas la densité moyenne, nous avons a priori une multitude de possibilités entre deux valeurs extrêmes plausibles. Nous devons donc nous entendre sur des valeurs de départ qui seront améliorées au fur et à mesure que d'autres données seront acquises lors d'explorations planétaires sur la Lune, Mars et ailleurs. Le recoupement de ces données nous acheminera vers des valeurs plus exactes pour les densités de chaque corps céleste et pour la constante gravitationnelle commune Gz.
Toutefois, nous pourrions aussi nous mettre d’accord pour utiliser une densité moyenne standard pour les gros corps célestes de notre galaxie, tant que la valeur spécifique précise pour chaque corps céleste ne nous est pas connue. Tout ce que cela entraînerait dans nos valeurs serait une creusité associée temporaire différente pour absorber ce changement, quitte à être réajustée ultérieurement.
F = G MTm / R² = Gz MTz m / R²
F = G VT DTm / R² = Gz VTz Dzm / R²
G VT DT = Gz VTz Dz![]()
Si on garde la densité actuelle connue de la Terre et qu'on l'applique au volume VTz qui est la somme du volume de l'écorce et de ceux des soleils centraux de la Terre, on obtient la simplification suivante :
G VT = Gz VTz (pour DT = Dz )
où
Gz = G VT / VTz
Cette constante gravitationnelle plus réaliste tient compte des creusités de la Terre, et plus généralement de la creusité de tous les corps célestes de grande taille, de façon standardisée.Avec ce Gz, je peux transformer les masses des deux soleils centraux internes de la Terre calculées dans le paradigme officiel pour leur donner leurs valeurs réelles plus justes en terme de masse pleine, soit :
Mzs1 = Ms1 G / Gz
et
Mzs2 = Ms2 G / Gz
Le fait que Gz soit supérieur au G officiel actuel implique qu'un objet lancé dans l'espace et passant près d'un très gros caillou (impliquant une masse pleine) attirerait notre objet plus fortement que prévu, parce qu’actuellement la force d'attraction entre deux masses pleines est aussi calculée avec un G sous-évalué et que lorsqu'on est en présence de deux masses pleines, c'est Gz qu'il faut utiliser. Cela expliquerait en partie pourquoi des cibles ont été si facilement ratées au début de l'exploration spatiale.Ces changements fondamentaux sont inévitables dans notre physique de base si on veut acquérir de la précision, de la justesse et de la compréhension dans nos expériences d'explorations géologique, géosismique, archéologique, paléontologique, spatiale et en général cosmologique.
Au sujet de l'âge de l'étoile interne, pourquoi ne pourrait-il pas être d'un ou deux millions d'années ?
Lamprecht fait l'hypothèse qu'une étoile interne à Vénus s'est mise en activité "récemment" (à l'échelle cosmique) et que la hausse de température consécutive a fait s'évaporer l'eau de ce qui étaient des océans sur Vénus.
Voir sur


“The discovery of a surprisingly high deuterium/hydrogen ratio in Venus immediately led to the peculation that Venus may have once had a volume of surface water comparable to that of the terrestrial oceans.”
Sur cette page, vous trouverez des réflexions intéressantes concernant l'effet de serre sur cette planète. Il est en effet supérieur à ce qu'il devrait être.
La question de la transmission de la chaleur à travers les écorces planétaires est intéressante. Dis-moi, Aleksx, as-tu déjà fait de la spéléologie ? Il est remarquable qu'à à peine dix mètres sous la surface, on trouve déjà des températures très fraîches. Qu'est-ce qui te fait croire que la chaleur d'une étoile interne se diffuserait forcément à travers 2 800 km d'épaisseur ? (Mais oui tu as bien lu ! C'est la distance Berlin-Casablanca.)

Voir notamment sur la page


The interior of a hollow Mercury would surely be exceptionally cold since it never receives direct sunlight. If air exits out of Mercury containing water vapor, then this indicates the presence of a heat source inside Mercury. No matter how hot Mercury is on the day side, it is unlikely that this heat could filter through the thick crust to warm the interior. Hence Mercury must have an Inner source of heat. This Inner source of heat might well be the same thing that produces its magnetic field. Does this imply that Mercury has an inner Sun?
C'est la même question en sens inverse.

Je me permet de m'inviter dans le sujet pour placer un message que j'espère que tu sauras contredire, sinon, tu auras perdu la bataille... Je précise que je ne t'agresse pas, je t'écris même avec le sourire en coin, mais je dit ce que je pense.
Drôle de défi. Qui va jouer le rôle de l'arbitre, du jury ? Toi ?


Au printemps, dans mes échanges avec Bongo, je me basais sur une localisation de supposées ouvertures polaires faite par Rodney Cluff, du côté russe de l'Océan Arctique, et présentée sur http://www.ourhollowearth.com . Je ne suis plus d'accord avec cette localisation.




Cela invalide-t-il pour autant le modèle des astres creux ? Pas forcément. Il pourrait très bien y avoir des ouvertures plus petites, si petites qu'elles seraient difficilement détectables, ou du moins beaucoup plus faciles à cacher. Tu évoques les températures en Océan Arctique. C'est intéressant, parce que justement, même si nous sommes bien d'accord que cette région connait globalement des températures froides, de nombreux témoignages, notamment ceux de l'explorateur Fridtjof Nansen ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Fridtjof_Nansen#Consultant_scientifique_et_autorit.C3.A9_polaire ), font état de vents anormalement chauds et de mers polaires ouvertes libres de glace. Il est aussi question de bois flottant et de migrations de nombreux animaux.
Mais le texte le plus intéressant à lire pour ceux que le sujet intéresse vraiment (et je ne crois pas qu'ils soient nombreux), est encore et toujours un chapitre du livre de Lamprecht, qu'il faut imprimer et lire à tête reposée pour bien tout comprendre :



http://www.bibliotecapleyades.net/tierra_hueca/esp_tierra_hueca_8q.htm









Les messages écrits ne sont pas des paroles. Ce sont des possibilités de paroles. Les paroles seules ont le pouvoir de décrire, de transformer et de redéfinir la réalité.