Salut à tous,
Je m’intéresse depuis peu au phénomène d'intrication quantique.
N'étant pas spécialiste, j'ai dû mal à intégrer la théorie concernant ce sujet.
La théorie postule, si j'ai bien compris, que aucune information ne peut voyager, "d'un point de vue humain", plus vite que la lumière, puisque la mesure du spin par exemple d'une des deux particules est aléatoire ce qui entraine une mesure aléatoire du spin de l'autre particule intriqué. Aussi seule une communication normale ( inférieure ou égale à la vitesse de la lumière ) permettrait de connaître l'information relevant de l'état intriqué.
Bon, ce n'est peut être pas exactement ça mais je le comprends comme cela.
Mais, si la mesure de l'état de la particule A est aléatoire, ce qui entraine l'aléa de l'état de la particule B, comme leurs spins respectifs, pourquoi ne pas mesurer plutôt la présence ou l'absence d'un changement d'état. Ainsi, au lieu de chercher à savoir la nature de leur spin, pourquoi on ne pourrait pas communiquer au travers de l'absence ou de la présence d'une perturbation de l'état de la particule A entrainant une absence ou une présence d'une perturbation de l'état de la particule de l'état de la particule B, sans aller jusqu'à mesurer leurs spins.
Je m’intéresse depuis peu au phénomène d'intrication quantique.
N'étant pas spécialiste, j'ai dû mal à intégrer la théorie concernant ce sujet.
La théorie postule, si j'ai bien compris, que aucune information ne peut voyager, "d'un point de vue humain", plus vite que la lumière, puisque la mesure du spin par exemple d'une des deux particules est aléatoire ce qui entraine une mesure aléatoire du spin de l'autre particule intriqué. Aussi seule une communication normale ( inférieure ou égale à la vitesse de la lumière ) permettrait de connaître l'information relevant de l'état intriqué.
Bon, ce n'est peut être pas exactement ça mais je le comprends comme cela.
Mais, si la mesure de l'état de la particule A est aléatoire, ce qui entraine l'aléa de l'état de la particule B, comme leurs spins respectifs, pourquoi ne pas mesurer plutôt la présence ou l'absence d'un changement d'état. Ainsi, au lieu de chercher à savoir la nature de leur spin, pourquoi on ne pourrait pas communiquer au travers de l'absence ou de la présence d'une perturbation de l'état de la particule A entrainant une absence ou une présence d'une perturbation de l'état de la particule de l'état de la particule B, sans aller jusqu'à mesurer leurs spins.
Dernière modification par MIMATA le dimanche 8 décembre 2013 à 12:01, modifié 1 fois.
Raison : Sujet divisé, création d'un sujet spécifique.