Le principe d'incertitude (ou principe d'indétermination) énonce que, pour une particule massive donnée, on ne peut pas connaître simultanément sa position et sa vitesse.
Mon hypothèse de départ n'a rien d'extraordinaire, je considère que les contractions des distances dans le cadre de la RR sont réelles.
Un observateur fixe regarde passer une fusée se déplaçant à une vitesse telle que le facteur de Lorentz vaut, disons, 3.
Il la voit contractée d'un facteur 3 dans le sens du déplacement, et là je fais une conclusion personnelle troublante qui consiste à dire qu'il voit aussi son trajet contracté d'un facteur 3
Mais alors se pose un problème :
Comment fait-il pour voir la fusée se déplacer sur une distance contractée mais la voir quand même arriver trois fois plus loin ?
La seule réponse que j'ai trouvée consiste à dire que l'observateur fixe voit trois fusées.
Il n'y a rien à faire, il faut remplir les espaces et on obtient un mécanisme de diffraction.
Et cela devient particulièrement troublant quand on regarde de plus près.
l'observateur fixe voit donc trois fusées (c'est un peu comme regarder le déplacement d'un objet au travers d'un verre constitué de vagues, comme ceux que l'on trouve dans de vieilles constructions), dans chaque portion il voit une seule fusée se déplaçant lentement.
S'il regarde l'ensemble, une portion disparait derrière et une apparait devant, la vitesse à laquelle elles apparaissent correspond à la vitesse attendue pour que la fusée parcoure la distance totale, mais il en voit plusieures des fusées.
Soit il fixe une fusée mais observe une vitesse incohérente, soit il prend en compte la vitesse cohérente de l'ensemble mais ne sait plus ou situer la fusée.
On retrouve le principe d'incertitude.
S'il peut y avoir le même objet en différents lieux, on peut envisager de mieux comprendre les fentes de young et toutes les expériences qui en découlent.
Et c'est pas tout, la matière noire y passe aussi :
Plaçons-nous dans la fusée maintenant et regardons l'univers de l'observateur fixe, ce qui, à mon sens, devrait correspondre à l'observation depuis la terre des zones vides entourant les galaxies.
Si dans un sens un même objet peut être en plusieurs lieux à la fois, dans l'autre une position unique peut correspondre à plusieures de l'espace que nous observons, une sorte d'empilement d'espace.
Mon hypothèse de départ n'a rien d'extraordinaire, je considère que les contractions des distances dans le cadre de la RR sont réelles.
Un observateur fixe regarde passer une fusée se déplaçant à une vitesse telle que le facteur de Lorentz vaut, disons, 3.
Il la voit contractée d'un facteur 3 dans le sens du déplacement, et là je fais une conclusion personnelle troublante qui consiste à dire qu'il voit aussi son trajet contracté d'un facteur 3
Mais alors se pose un problème :
Comment fait-il pour voir la fusée se déplacer sur une distance contractée mais la voir quand même arriver trois fois plus loin ?
La seule réponse que j'ai trouvée consiste à dire que l'observateur fixe voit trois fusées.
Il n'y a rien à faire, il faut remplir les espaces et on obtient un mécanisme de diffraction.
Et cela devient particulièrement troublant quand on regarde de plus près.
l'observateur fixe voit donc trois fusées (c'est un peu comme regarder le déplacement d'un objet au travers d'un verre constitué de vagues, comme ceux que l'on trouve dans de vieilles constructions), dans chaque portion il voit une seule fusée se déplaçant lentement.
S'il regarde l'ensemble, une portion disparait derrière et une apparait devant, la vitesse à laquelle elles apparaissent correspond à la vitesse attendue pour que la fusée parcoure la distance totale, mais il en voit plusieures des fusées.
Soit il fixe une fusée mais observe une vitesse incohérente, soit il prend en compte la vitesse cohérente de l'ensemble mais ne sait plus ou situer la fusée.
On retrouve le principe d'incertitude.
S'il peut y avoir le même objet en différents lieux, on peut envisager de mieux comprendre les fentes de young et toutes les expériences qui en découlent.
Et c'est pas tout, la matière noire y passe aussi :
Plaçons-nous dans la fusée maintenant et regardons l'univers de l'observateur fixe, ce qui, à mon sens, devrait correspondre à l'observation depuis la terre des zones vides entourant les galaxies.
Si dans un sens un même objet peut être en plusieurs lieux à la fois, dans l'autre une position unique peut correspondre à plusieures de l'espace que nous observons, une sorte d'empilement d'espace.