Bongo :
Euh... non non, je disais que pour 2 points éloignés de 13.7 milliards d'al, leur vitesse de fuite est c.Pour 45 milliards d'al, c'est à peu de chose près 3c.Donc pour deux objets éloignés de 90 milliards d'al, c'est 6c.
Cette vitesse de fuite qui dans nos calcules dépasse celle de la lumière ne complique-t-elle les choses inutilement ?
Car si on suppose qu'un corps de masse M se déplace plus vite que c mais que c'est uniquement ''virtuel'' et que dans le ''réel'' il ne dépasse pas c, on risque de supposer aussi que la différence entre ces vitesses est dans ''l'absolu'' ''engloutie'' par la masse M du corps et qu'ainsi c'est l'énergie potentielle du corps qui augmente.
Mais cette augmentation d'énergie serait ''fictive'' dans le ''réel'' , donc on pourra la ''coller'' à l'énergie noire qui manque à l'appel. Bizarre non ?
C'est ça une des pistes qui butte sur l'énergie noire ?
Bongo ;
- la chaleur, qui est l'énergie d'agitation moyenne des particules, ne dépend pas du référentiel en première approximation
Je me demande si ce n'est pas l'inverse car l'agitation des particules est en soit très dépendante du mouvement de ces particules donc d'une énergie cinétique.
C'est presque comme du transport des passagers avec un nombre limité des moyens de transport (particules) et que le quantité de passagers augmente (énergie) et que la capacité de chaque véhicule est limité, pour ne pas créer des embouteillages on doit augmenter la vitesse de chaque véhicule afin de faire plus de courses. Au final c'est le nombre (la quantité) des passagers transportés qui augmente. On peut presque considérer que chaque passager est une petite quantité d'énergie.
Le problème est que le mouvement est ''accroché'' à un référentiel... Mais je suis d'accord que pour la facilité on peut dans ce cas s'en passer de n'importe quel référentiel.