Ce sujet date de 2016, mais allez, un petit commentaire quand même.
Ma représentation personnelle est que l'espace intergalactique est en réalité rempli d'une substance, d'une sorte de soupe primitive informe et impénétrable, morte et non-consciente.
C'est une substance qui date de la nuit des temps, d'avant le commencement du temps.
Bon, un truc inimaginablement vieux, quoi.
Mais il y a un autre "truc" infiniment vieux, c'est la conscience. Et quant elle en a marre d'être une simple possibilité, une probabilité de conscience, elle se manifeste dans la matière. Cela crée une sorte d'effondrement sur elle-même de la soupe primitive.
Un peu comme des acrobates sur des vélos créent un vide dans la foule autour d'eux, une foule très concentrée au-delà d'un cercle d'un certain rayon. L'attention, la conscience, créent une condensation en un seul point, qui devient "vivant" ... et attire l'attention, au milieu d'une masse informe.
Des points de vibration primaire sont créés : ce sont les protons.
Des ponts entre la 3e et la 4e dimension sont créés : on a appelés ces ponts "électrons".
Le proton serait donc une condensation consciente et vivante de la soupe primitive informe et morte.
Je ne fais que traduire en images ce que j'ai compris du texte en anglais posté
au milieu de cette page.
Nassim Haramein, physicien iconoclaste, propose que le proton soit un trou noir. En calculant son attraction gravitationnelle, il retrouve la valeur de l'interaction forte. En tenant compte de la densité du vide, il trouve que la masse du proton est équivalente à celle de l'Univers entier, ce qui suggère une intrication de tous les protons à travers les fluctuations du vide quantique, et pointe à nouveau vers une structure holographique de l'Univers. "La matière c'est de l'information, c'est la spiritualité manifestée".
Magazine NEXUS, septembre-octobre 2018, p.97
Tout cela conduit à une explication alternative pour le redshift. La lumière en provenance d'autres galaxies aurait en réalité traversé la 4e dimension avant de nous parvenir. C'est cela qui l'aurait "ralentie". Bongo avait qualifié cette idée de "mathématiquement possible".
Les messages écrits ne sont pas des paroles. Ce sont des possibilités de paroles. Les paroles seules ont le pouvoir de décrire, de transformer et de redéfinir la réalité.