• 4-La gravitation euclidienne

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #48813  par externo
 
Suite des preuves de la véracité de la théorie de Lorentz

On introduit la gravitation euclidienne comme suit :

En métrique de Minkowski il existe un espace pseudo-euclidien 4D tangent en tout point de la variété pseudo-riemannienne. Cette métrique détermine le temps propre (vieillissement). Elle porte potentiellement une 5e dimension scalaire euclidienne qui permet à l'espace de se déformer. Cette métrique décrit l'espace-temps, espace vectoriel mathématique.
En métrique euclidienne il existe un espace euclidien 3D tangent en tout point de la variété riemannienne. Cette représentation ne porte pas le temps propre et ne contient que la géométrie physique. Elle correspond à la métrique de Minkowski dont le temps vectoriel (vieillissement) a été ôté et remplacé par la dimension scalaire déjà présente implicitement dans Minkowski et qui est le temps réel. Cette métrique décrit l'espace à 4 dimensions dont le temps est la dimension ayant 0 degré de liberté (Quaternions).

Seule cette deuxième représentation est conforme au principe d'équivalence énoncé par Einstein. En effet, d'après ce principe, un champ de gravitation homogène est équivalent à une accélération. Or un champ de gravitation homogène contient une courbure spatiale intrinsèque qui se réduit en pente dans le cas d'une vitesse constante. Cette pente est celle qui a été décrite dans la relativité euclidienne. Par conséquent, la contraction des longueurs cinématique et gravitationnelles sont le même phénomène physique, ce qui n'est pas vrai avec la métrique de Minkowski, qui stipule que la contraction cinématique est un changement de simultanéité et la contraction gravitationnelle est un changement de la métrique qui peut seulement par un certain point de vue correspondre à un changement de simultanéité sans que cela n'ait un sens particulier.

Il y a identité entre les deux relativités : toutes les deux traitent de masses et d'énergie et de la déformation de l'espace et du temps (on verra qu'il s'agit d'une variation de densité).

La métrique de Minkowski est une représentation artificielle de la réalité physique car elle considère le temps comme une dimension vectorielle qui porte le vieillissement. Or Hamilton avait déjà donné un formalisme décrivant l'espace à 4 dimensions, c'est celui des quaternions. Ce formalisme et non pas celui de Minkowski représente la réalité physique.

L'espace-temps de Minkowski fait 5 dimensions même si une d'entre elle est scalaire, tandis que dans l'espace-temps des quaternions la courbure du temps est orientée dans l'espace de même que la courbure radiale de l'espace (sans effet de marée) est orientée dans le temps. L'espace à 4 dimensions dont 3 vectorielles est alors auto-suffisant.
Etude qui montre que l'approche des quaternions fonctionne : https://arxiv.org/pdf/2106.06394.pdf

Voici la représentation euclidienne, en dessin :
https://i.stack.imgur.com/zmeTI.png
https://askfrance.me/q/pourquoi-la-vite ... 1833726604
https://physics.stackexchange.com/quest ... -spacetime
Sur le dessin le temps est représenté comme une dimension vectorielle pour fixer les idées, il faut imaginer que "l'épaisseur spatiale" du temps représentée sur le dessin n'existe pas. Seul l'espace la possède.

Pour passer de Newton à Einstein il suffit de représenter les trajectoires données par Newton mais en 4 dimensions et donc tenant compte aussi de la courbure espace-espace qui entraîne l'avance du périhélie et le doublement de la courbure de la lumière.
La courbure de l'espace induit une très légère courbure de la trajectoire parcourue par l'objet du fait de sa vitesse initiale, cette courbure n'est pas prise en compte dans les calculs de Newton, qui est une théorie du temps courbe seulement.
Il y a donc deux trajectoires courbes qui concourent à l'orbite spatio-temporelle, une composante temps courbe et une composante espace courbe, la seconde étant plate chez Newton.
Le temps propre ne sert à rien pour tracer la trajectoire des corps.


En outre, on suppose (dans le sillage de LaFrenière et de Jeff Yee) que la gravitation a pour origine un effet d'ombre.

Note : Si la gravitation s'explique par un effet d'ombre la lumière n'est pas source de champ gravitationnel car n'étant qu'une onde de l'éther elle ne génère pas un tel effet d'ombre. Peut-être y a-t-il une distinction à faire entre masse et énergie, la masse étant de l'énergie produisant un effet d'ombre, donc absorbant et réémettant les ondes de l'éther. La notion de masse relativiste est alors pleinement justifiée puisque l'énergie cinétique d'un corps a bien pour conséquence d'augmenter son effet d'ombre. Ainsi, seule l'énergie sous forme de masse serait source de gravitation.

Un modèle gravitationnel de rivière, mais l'auteur adhère à la non existence de l'éther, ce qui est absurde : http://www.alenspage.net/AetherFlowGravitation.htm
Dernière modification par externo le dimanche 3 septembre 2023 à 14:23, modifié 56 fois.
 #48817  par externo
 
Un fil Futura sur le sujet :

https://forums.futura-sciences.com/astr ... dence.html

La réponse de Mach3 est d'une personne qui place une formule mathématique au-dessus des concepts. Forcément, il y aura toujours une explication mathématique aux égalités constatées. Son parti pris l'empêche de voir que la coïncidence signalée est l'indice d'une modélisation mathématique autre et qui pourrait remplacer celle de Minkowski. Il s'interdit d'utiliser ses sens pour comprendre le réel. Il prend la formule mathématique pour le réel comme les anciens prenaient la parole biblique pour la réalité.

La tangente au paraboloïde est l'axe d'espace du chuteur. L'orthogonalité constatée dans le fil est celle entre l'axe du temps et l'axe d'espace du chuteur.
Les immobiles sont contractés et leur temps est dilaté conformément à la théorie de l'éther de Lorentz par leur mouvement dans l'espace local à la vitesse de libération (la vitesse de la lumière est anisotrope).

Voir ce fil du forum physique-online où il est finalement compris que la dimension du temps est une dimension comme les autres et que la chronogéométrie est une erreur. Le temps et le vieillissement sont deux choses différentes :
http://www.
forum2.math.ulg.ac.be/viewthread.html?SESSID=45d674e9693612a6a593f0bfb1c3fb14&id=13703
Le vieillissement représente le temps sous une forme vectorielle.
Arc.png
[Il faut être connecté au forum pour avoir accès aux pièces jointes]

En rouge la ligne d'univers du chuteur qui est aussi l'axe du temps local. Les paraboles vertes, jaune et bleues représentent trois instants absolus différents. Ces paraboles sont inclinées à 45° au niveau de l'horizon et à 90° au niveau de la singularité. Il ne s'agit donc pas du paraboloïde de Flamm, qui est incliné à 90° au niveau de l'horizon pour modéliser la contraction infinie de la matière en ce point.
L'éther glisse peu à peu vers le bas [faux : l'éther ne glisse pas, ce sont les ondes planes qui n'ont plus une vitesse isotrope : les ondes sortantes sont plus lentes et plus denses et les ondes entrantes plus rapides et moins denses, l'éther est dans un état excité mais ne se déplace pas] mais se renouvelle perpétuellement par en haut en venant de l'infini et la parabole reste identique à elle-même quand on la fait évoluer dans le temps d'univers.
Ainsi ce n'est pas vraiment l'espace qui glisse mais l'éther [l'énergie transportée par les ondes] et il y a une nuance entre les deux. Le principe est simple mais la conception est assez compliquée. Dans une vision plus large, le temps d'univers est le rayon de l'univers et la parabole est une dépression en surface comme un cratère.

Voir un meilleur graphe ici :
Image
https://forums.futura-sciences.com/astr ... nce-2.html
post 46 (ajout 10/10/2022)
Réexplications plus détaillées :
La trajectoire bleue de chute libre représente la ligne d'univers du chuteur.
La parabole représente la surface de l'univers qui à cet endroit est incurvé par la gravitation.
Il faut bien voir cette surface comme une substance palpable et pliable en 3 dimensions, l'éther, le vide, etc... et non pas comme "rien".
En ordonnée sur le schéma il faut placer le temps cosmique, c'est à dire le temps en espace plat à l'infini.
La lumière se déplace à tout instant à égale distance entre la tangente à la courbe du temps bleu du chuteur et la tangente au parabole car sa trajectoire doit toujours être à 45° entre les axes de temps et d'espace locaux.

Il y a orthogonalité entre la trajectoire de Newton avec le temps coordonnée de l'infini (t) en ordonnée et la ligne d'espace (qui est à 45° sur l'horizon et 90° sur la singularité).
En fait, le chuteur de Painlevé dépasse la vitesse de la lumière (45°) sur l'horizon même du point de vue de l'éloigné. C'est comme en cosmologie : la vitesse de la lumière n'est pas une limite parce qu'il ne s'agit pas de mouvements dans l'espace mais de mouvements de l'espace. Par contre, ici, en raison de la différence physique des situations (absence d'expansion entre la lumière et l'éloigné), la lumière ne parvient jamais aux yeux de l'éloigné.
La vitesse de chute dépend simplement de l'angle de l'axe du temps. Le déplacement temporel préexistant dirigé verticalement à la vitesse c déteint dans l'espace de l'éloigné.
L'axe d'espace fait toujours 90° avec l'axe du temps. C'est d'ailleurs sa variation qui est à l'origine de la variation de l'axe du temps. La prise en compte de la variation de l'axe d'espace autour du trou noir (courbure) en plus de la variation de l'axe du temps permet de prévoir le doublement de la courbure de la lumière et l'avancée du périhélie.
Il n'y a ni dilatation du temps ni contraction des longueurs géométriques. Donc il n'y a ni métrique de Minkowski ni courbure intrinsèque.
La gravitation peut être modélisée sans métrique de Minkowski.
C'est juste des trajectoires qui sont déviées par changement d'orientation du temps et de l'espace.

La question est de savoir la pente de l'espace sur l'horizon est de 90°ou de 45°. Finalement, le bon angle est probablement de 90°, la ligne d'univers à 45° sur l'horizon étant aussi la ligne de simultanéité dans un diagramme d'espace-temps (voir plus loin) mais ne représentant pas la vraie ligne spatiale, de même qu'en RR un corps se déplaçant à la vitesse de la lumière n'en a pas moins un axe d'espace tourné de 90° et non de 45°, la ligne de simultanéité n'étant qu'un artefact.

Une rivière est constituée de gouttelettes en mouvement, mais la forme de la rivière ne change pas alors que les gouttelettes sont mobiles. La forme de la rivière peut être une courbe, une boucle. La rivière c'est l'éther [les ondes mais pas les gouttes elles-mêmes] et sa forme c'est l'espace. L'espace peut donc être courbe.
Dans un espace plat, l'éther [les ondes] se déplace orthogonalement dans le temps et la rivière n'a aucun courant spatial, c'est un lac. Mais dans le schéma Hole le courant se fait sentir et l'espace se courbe en raison de la mise en mouvement de l'éther. En réalité l'éther ne se met pas en mouvement mais change seulement de direction [entre dans un état d'excitation], transformant une partie de son mouvement vertical [excitation verticale] en mouvement horizontal [excitation horizontale]. Son mouvement [les ondes horizontales résultantes] suit donc la courbe de Newton. Par conséquent sa coordonnée de temps prend du retard par rapport à celle de l'infini où l'éther continue de ne se déplacer que verticalement [l'éther se courbe du fait que son état d'excitation devient partiellement horizontal], et la rivière (l'espace) semble se courber. En approchant du trou noir le courant [les ondes] accélère et le changement de direction s'accentue, il atteint 90° sur l'horizon. L'éther [les ondes] descend le long de la rivière mais pendant ce temps la rivière [constituée d'ondes en mouvements] se renouvelle en amont en raison de l'attraction gravitationnelle (qui cause le changement de direction du mouvement [d'excitation] de l'éther), faisant que la rivière en se renouvelant reste de niveau avec le lac et s'élève avec lui dans le temps de l'infini (temps cosmique). Voilà pourquoi l'espace reste identique à lui-même et pourquoi on peut représenter le schéma Hole comme un empilement de paraboles dans le temps cosmique. Ca se comprend mais ce n'est pas évident à expliquer.
Cela étant, dans les faits la situation est différente, car l'éther possède une vitesse initiale non nulle par rapport à la masse attractive, ce qui implique une correction de son mouvement.

Mécanisme géométrique de la gravitationnel :
(contient des explications avancées issues des épisodes 5 et 6)
Il n'y a aucune différence intrinsèque entre les 3 dimensions d'espace et la dimension du temps. Simplement, à chaque dimension est affecté un degré de liberté allant de 0 à 3.
Les dimensions ont la propriété de pouvoir s'interchanger, dans la rotation de Kerr les dimension d'espace s'inversent. Ce phénomène se produit aussi avec la dimension 0, et c'est là que nous avons les phénomènes relativistes de contraction des longueurs, dilatation du temps et changement de simultanéité. Dans un champ de gravitation il y a un tel basculement entre la dimension du temps (normalement orthogonale) et la dimension radiale de l'espace, ce qui fait que l'espace bascule dans ce qui est du point de vue extérieur le temps et se contracte parce qu'il s'y rajoute partiellement une longueur de temps. C'est ce qui permet à l'espace de se courber, c'est comme s'il se courbait dans une 4e dimension vectorielle, sauf qu'il n'y a pas de vecteur. C'est donc la même chose que la courbure riemannienne, sauf que Riemann l'a traité autrement, en se passant de l'idée d'une dimension supplémentaire. Or cette dimension existe bien et sert à calculer les longueurs, mais elle n'a aucun degré de liberté. Donc l'image du drap tendu est la réalité, ce sont les dimensions d'espace qui s'intervertissent avec cette dimension scalaire. Avec cette métrique bien sûr l'élément de longueur n'est pas le temps propre, parce que les référentiels ne sont pas équivalents. Dans le référentiel de l'éther, les objets immobiles ont un déplacement dans la direction du temps, les objets en mouvement on en plus un déplacement spatial et les deux s'ajoutent. Les objets au repos ont leur extrémité à la même coordonnée temporelle, mais les objets en mouvement non, car leur mouvement vient de ce que l'espace s'est en partie mélangé avec le temps par rotation euclidienne et leur longueur vaut longueur contracté ² + décalage de temps ² ; c'est leur longueur propre et elle se conserve par changement de référentiel. C'est une vue en perspective parce que l'objet est comme orienté vers le passé. Il n'est donc plus dans le référentiel de l'éther, il n'est plus synchrone. Si on cherche le référentiel dans lequel il est synchrone on trouve quelque chose qui mélange les époques, et on commence à travailler dans l'espace-temps hypothétique de Minkowski, dans lequel le temps est un vecteur, mais le temps physique n'a pas cette capacité à se projeter dans le futur car il n'a pas de degré de liberté. Et avec ce raisonnement on est compatible avec la physique quantique et les électrons. Les électrons sont des ondulations de l'espace dans la dimension scalaire du temps. Ca se représente en 3D comme une onde longitudinale de compression-dilatation, mais la compression est une déformation vers le passé et la dilatation une déformation vers le futur.

Dans un champ de gravitation l'axe du temps s'incline, mais cependant l'éther continue de progresser dans la même direction que hors du champ de gravitation, son référentiel n'est plus isotrope par rapport à la lumière, la lumière est isotrope dans le référentiel du chuteur. Cela vient de ce que les échanges d'énergie au sein de l'éther ne sont plus nuls. Les ondes dirigées vers la masse vont plus vite que dans l'autre sens. Ainsi la coordonnée de temps s'égrène moins vite et il y a une progression de la coordonnée d'espace (dimension vectorielle) : l'éther est en mouvement vectoriel, comme les immobiles. L'éther n'est donc plus synchrone, comme un objet en mouvement en RR. Les chuteurs de l'infini par contre ont leur coordonnée de temps qui évolue seule et n'éprouvent pas la dilatation du temps, ils se laissent entraîner par l'énergie et la lumière reste isotrope par rapport à eux. Donc on peut dire que le chuteur est immobile et l'éther en mouvement, mais c'est local, par rapport au CMB l'éther est toujours immobile (sauf les oscillations pour transmettre le mouvement)

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Dernière modification par externo le samedi 30 septembre 2023 à 16:51, modifié 102 fois.
 #48828  par bongo
 
externo a écrit : vendredi 5 août 2022 à 21:57Et je prétends que la métrique de Minkowski ne sert strictement à rien pour modéliser un champ gravitationnel.
Tu as entièrement raison !! L'espace-temps de Minkowski est dénué de courbure et donc ne peut prétendre décrire la gravitation.

D'ailleurs elle ne prétend pas décrire la gravitation, puisqu'elle ne décrit pas la gravitation. Elle est née en 1907, quand Minkowski a vu que les objets manipulés par Einstein étaient en fait des objets quadridimensionnels, des quadrivecteur évoluant dans un espace pseudo-euclidien.

Einstein a ensuite reprise ce formalisme et a montré qu'il fallait rajouter de la courbure pour pouvoir décrire la gravitation : un espace de Riemann. :-)
 #48829  par externo
 
Et bien je dis qu'il n'y a pas besoin de rajouter de la courbure à un espace-temps de Minkowski pour décrire la gravitation, il suffit de la rajouter à un espace-temps euclidien. Mais attention, il n'est pas question de courber l'espace-temps 4D euclidien dans une dimension virtuelle.
 #48830  par bongo
 
Tu peux dire ce que tu veux. Après écris-moi ton calcul pour la déviation des rayons lumineux ;-)
 #48831  par externo
 
Prenons le problème autrement : sais-tu que la théorie de l'éther de Lorentz est équivalente à la théorie de la relativité restreinte d'Einstein mais n'a pas besoin de l'espace-temps de Minkowski pour reproduire les mêmes résultats ?