Suite des preuves de la véracité de la théorie de Lorentz
On introduit la gravitation euclidienne comme suit :
En métrique de Minkowski il existe un espace pseudo-euclidien 4D tangent en tout point de la variété pseudo-riemannienne. Cette métrique détermine le temps propre (vieillissement). Elle porte potentiellement une 5e dimension scalaire euclidienne qui permet à l'espace de se déformer. Cette métrique décrit l'espace-temps, espace vectoriel mathématique.
En métrique euclidienne il existe un espace euclidien 3D tangent en tout point de la variété riemannienne. Cette représentation ne porte pas le temps propre et ne contient que la géométrie physique. Elle correspond à la métrique de Minkowski dont le temps vectoriel (vieillissement) a été ôté et remplacé par la dimension scalaire déjà présente implicitement dans Minkowski et qui est le temps réel. Cette métrique décrit l'espace à 4 dimensions dont le temps est la dimension ayant 0 degré de liberté (Quaternions).
Seule cette deuxième représentation est conforme au principe d'équivalence énoncé par Einstein. En effet, d'après ce principe, un champ de gravitation homogène est équivalent à une accélération. Or un champ de gravitation homogène contient une courbure spatiale intrinsèque qui se réduit en pente dans le cas d'une vitesse constante. Cette pente est celle qui a été décrite dans la relativité euclidienne. Par conséquent, la contraction des longueurs cinématique et gravitationnelles sont le même phénomène physique, ce qui n'est pas vrai avec la métrique de Minkowski, qui stipule que la contraction cinématique est un changement de simultanéité et la contraction gravitationnelle est un changement de la métrique qui peut seulement par un certain point de vue correspondre à un changement de simultanéité sans que cela n'ait un sens particulier.
Il y a identité entre les deux relativités : toutes les deux traitent de masses et d'énergie et de la déformation de l'espace et du temps (on verra qu'il s'agit d'une variation de densité).
La métrique de Minkowski est une représentation artificielle de la réalité physique car elle considère le temps comme une dimension vectorielle qui porte le vieillissement. Or Hamilton avait déjà donné un formalisme décrivant l'espace à 4 dimensions, c'est celui des quaternions. Ce formalisme et non pas celui de Minkowski représente la réalité physique.
L'espace-temps de Minkowski fait 5 dimensions même si une d'entre elle est scalaire, tandis que dans l'espace-temps des quaternions la courbure du temps est orientée dans l'espace de même que la courbure radiale de l'espace (sans effet de marée) est orientée dans le temps. L'espace à 4 dimensions dont 3 vectorielles est alors auto-suffisant.
Etude qui montre que l'approche des quaternions fonctionne : https://arxiv.org/pdf/2106.06394.pdf
Voici la représentation euclidienne, en dessin :
https://i.stack.imgur.com/zmeTI.png
https://askfrance.me/q/pourquoi-la-vite ... 1833726604
https://physics.stackexchange.com/quest ... -spacetime
Sur le dessin le temps est représenté comme une dimension vectorielle pour fixer les idées, il faut imaginer que "l'épaisseur spatiale" du temps représentée sur le dessin n'existe pas. Seul l'espace la possède.
Pour passer de Newton à Einstein il suffit de représenter les trajectoires données par Newton mais en 4 dimensions et donc tenant compte aussi de la courbure espace-espace qui entraîne l'avance du périhélie et le doublement de la courbure de la lumière.
La courbure de l'espace induit une très légère courbure de la trajectoire parcourue par l'objet du fait de sa vitesse initiale, cette courbure n'est pas prise en compte dans les calculs de Newton, qui est une théorie du temps courbe seulement.
Il y a donc deux trajectoires courbes qui concourent à l'orbite spatio-temporelle, une composante temps courbe et une composante espace courbe, la seconde étant plate chez Newton.
Le temps propre ne sert à rien pour tracer la trajectoire des corps.
En outre, on suppose (dans le sillage de LaFrenière et de Jeff Yee) que la gravitation a pour origine un effet d'ombre.
Note : Si la gravitation s'explique par un effet d'ombre la lumière n'est pas source de champ gravitationnel car n'étant qu'une onde de l'éther elle ne génère pas un tel effet d'ombre. Peut-être y a-t-il une distinction à faire entre masse et énergie, la masse étant de l'énergie produisant un effet d'ombre, donc absorbant et réémettant les ondes de l'éther. La notion de masse relativiste est alors pleinement justifiée puisque l'énergie cinétique d'un corps a bien pour conséquence d'augmenter son effet d'ombre. Ainsi, seule l'énergie sous forme de masse serait source de gravitation.
Un modèle gravitationnel de rivière, mais l'auteur adhère à la non existence de l'éther, ce qui est absurde : http://www.alenspage.net/AetherFlowGravitation.htm
On introduit la gravitation euclidienne comme suit :
En métrique de Minkowski il existe un espace pseudo-euclidien 4D tangent en tout point de la variété pseudo-riemannienne. Cette métrique détermine le temps propre (vieillissement). Elle porte potentiellement une 5e dimension scalaire euclidienne qui permet à l'espace de se déformer. Cette métrique décrit l'espace-temps, espace vectoriel mathématique.
En métrique euclidienne il existe un espace euclidien 3D tangent en tout point de la variété riemannienne. Cette représentation ne porte pas le temps propre et ne contient que la géométrie physique. Elle correspond à la métrique de Minkowski dont le temps vectoriel (vieillissement) a été ôté et remplacé par la dimension scalaire déjà présente implicitement dans Minkowski et qui est le temps réel. Cette métrique décrit l'espace à 4 dimensions dont le temps est la dimension ayant 0 degré de liberté (Quaternions).
Seule cette deuxième représentation est conforme au principe d'équivalence énoncé par Einstein. En effet, d'après ce principe, un champ de gravitation homogène est équivalent à une accélération. Or un champ de gravitation homogène contient une courbure spatiale intrinsèque qui se réduit en pente dans le cas d'une vitesse constante. Cette pente est celle qui a été décrite dans la relativité euclidienne. Par conséquent, la contraction des longueurs cinématique et gravitationnelles sont le même phénomène physique, ce qui n'est pas vrai avec la métrique de Minkowski, qui stipule que la contraction cinématique est un changement de simultanéité et la contraction gravitationnelle est un changement de la métrique qui peut seulement par un certain point de vue correspondre à un changement de simultanéité sans que cela n'ait un sens particulier.
Il y a identité entre les deux relativités : toutes les deux traitent de masses et d'énergie et de la déformation de l'espace et du temps (on verra qu'il s'agit d'une variation de densité).
La métrique de Minkowski est une représentation artificielle de la réalité physique car elle considère le temps comme une dimension vectorielle qui porte le vieillissement. Or Hamilton avait déjà donné un formalisme décrivant l'espace à 4 dimensions, c'est celui des quaternions. Ce formalisme et non pas celui de Minkowski représente la réalité physique.
L'espace-temps de Minkowski fait 5 dimensions même si une d'entre elle est scalaire, tandis que dans l'espace-temps des quaternions la courbure du temps est orientée dans l'espace de même que la courbure radiale de l'espace (sans effet de marée) est orientée dans le temps. L'espace à 4 dimensions dont 3 vectorielles est alors auto-suffisant.
Etude qui montre que l'approche des quaternions fonctionne : https://arxiv.org/pdf/2106.06394.pdf
Voici la représentation euclidienne, en dessin :
https://i.stack.imgur.com/zmeTI.png
https://askfrance.me/q/pourquoi-la-vite ... 1833726604
https://physics.stackexchange.com/quest ... -spacetime
Sur le dessin le temps est représenté comme une dimension vectorielle pour fixer les idées, il faut imaginer que "l'épaisseur spatiale" du temps représentée sur le dessin n'existe pas. Seul l'espace la possède.
Pour passer de Newton à Einstein il suffit de représenter les trajectoires données par Newton mais en 4 dimensions et donc tenant compte aussi de la courbure espace-espace qui entraîne l'avance du périhélie et le doublement de la courbure de la lumière.
La courbure de l'espace induit une très légère courbure de la trajectoire parcourue par l'objet du fait de sa vitesse initiale, cette courbure n'est pas prise en compte dans les calculs de Newton, qui est une théorie du temps courbe seulement.
Il y a donc deux trajectoires courbes qui concourent à l'orbite spatio-temporelle, une composante temps courbe et une composante espace courbe, la seconde étant plate chez Newton.
Le temps propre ne sert à rien pour tracer la trajectoire des corps.
En outre, on suppose (dans le sillage de LaFrenière et de Jeff Yee) que la gravitation a pour origine un effet d'ombre.
Note : Si la gravitation s'explique par un effet d'ombre la lumière n'est pas source de champ gravitationnel car n'étant qu'une onde de l'éther elle ne génère pas un tel effet d'ombre. Peut-être y a-t-il une distinction à faire entre masse et énergie, la masse étant de l'énergie produisant un effet d'ombre, donc absorbant et réémettant les ondes de l'éther. La notion de masse relativiste est alors pleinement justifiée puisque l'énergie cinétique d'un corps a bien pour conséquence d'augmenter son effet d'ombre. Ainsi, seule l'énergie sous forme de masse serait source de gravitation.
Un modèle gravitationnel de rivière, mais l'auteur adhère à la non existence de l'éther, ce qui est absurde : http://www.alenspage.net/AetherFlowGravitation.htm
Dernière modification par externo le dimanche 3 septembre 2023 à 14:23, modifié 56 fois.