• matière noire et champs de l'univers observable

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #50574  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : lundi 3 novembre 2025 à 09:32 on pourrait changer de nom mais on n'est pas obligé. Le mot 'air' ou 'atmosphère' n'a pas changé le jour où on a compris ce qu'il y avait dedans.
Je crois que tu n’as pas compris. Le redshift est un effet, un fait, on ne peut donc pas changer de nom, par contre la cause a été déterminée comme une expansion de l’univers. S’il s’avérait que la cause est différente on ne pourrait plus l’appeler expansion de l’univers puisque celle-ci n’existerait plus. Est-ce si difficile à comprendre?
ce n'est pas pour autant qu'on doit introduire l'infini dans les calculs
Christian Magnan, comme Aristote, admet l’infini en nombre mais pas en acte. Toi, c’est l’inverse, tu admets l’infini en acte mais pas dans les calculs!
 #50575  par moijdikssekool
 
Dick a écrit :Le redshift est un effet, un fait
si on suivait ton idée, le redshift n'aurait pas le même nom suivant qu'il est cosmologique ou cinématique
Redshift, décalage vers le rouge. Et expansion, idem, ça veut dire 'phénomène responsable du redshift cosmo", ça précise pas, par exemple, le signe du redshift drift
D'ailleurs, tu dirais quoi? Dans quelle case tu te mets? redshift drift comme le prédit le modèle actuel, ou de signe opposé à celui-ci?
ah, j'ai compris, ton redshift drift est nul, vu que tu supposes que l'univers est statique. Mais comment tu expliques que lorsqu'un objet, distant, envoie un photon (il appuies sur sa télécommande, le récepteur de la télé est super efficace), on le reçoive avec un décalage (la télé ne s'allume pas)? Les photons ont perdu de l'énergie, où est-elle passée?
Est-ce si difficile à comprendre?
Effectivement, c'est très simple
tu admets l’infini en acte mais pas dans les calculs!
en acte mais seulement sur une partie finie, à savoir sur la partie qui, à la date t+dt, n'était pas dans l'univers observable à la date t. L'univers injecte en somme ce que nous appelons de l'énergie petit à petit (phase après phase) dans notre univers observable, qui gonfle
externo a écrit :Pour le spin c'est permanent car une rotation est une accélération.
une variation de la vitesse de rotation, peut-être?
des photons qui à leur tour produisent les gravitons transverses
par quel mécanisme? que signifie la transversalité d'un graviton?
Dernière modification par moijdikssekool le lundi 3 novembre 2025 à 19:50, modifié 3 fois.
 #50578  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : lundi 3 novembre 2025 à 17:40 si on suivait ton idée, le redshift n'aurait pas le même nom suivant qu'il est cosmologique ou cinématique.
Le redshift est un fait, il n’est ni cosmologique, ni cinématique, il est, c’est tout!
expansion, idem, ça veut dire 'phénomène responsable du redshift cosmo"
La cause du redshift n’est pas l’expansion de l’univers.
]ça précise pas, par exemple, le signe du redshift drift.
Qu’est-ce que le redshift drift, sans indiscrétion?
Les photons ont perdu de l'énergie, où est-elle passée?
Le redshift est un phénomène tel que la longueur d’onde perçue par un observateur est plus grande que celle émise par le corps en mouvement observé. Il n’y a pas de déperdition d’énergie comme il n’y en n’a pas non plus dans l’effet Doppler.
[j’admets l’infini] en acte mais seulement sur une partie finie, à savoir sur la partie qui, à la date t+dt, n'était pas dans l'univers observable à la date t. L'univers injecte en somme ce que nous appelons de l'énergie petit à petit (phase après phase) dans notre univers observable, qui gonfle.
Tu es là dans le cadre d’un univers en expansion, or il n’est pas en expansion.
Dernière modification par Dick le mardi 4 novembre 2025 à 00:00, modifié 1 fois.
 #50580  par externo
 
par quel mécanisme? que signifie la transversalité d'un graviton?
Ce que je disais est incorrect.
L'analyse des équations de Maxwell étendues montre qu'en fait le champ magnétique de spin est la force faible et le neutrino est le monopole magnétique :

viewtopic.php?p=50549#p50549

PS : Les ondes gravitationnelles connues aujourd'hui sont toutes transverses, la nouveauté réside dans le fait qu'il existe des ondes "gravitationnelles" longitudinales responsables de l'expansion ou répulsion.
 #50581  par moijdikssekool
 
Dick a écrit :Le redshift est un fait, il n’est ni cosmologique, ni cinématique, il est, c’est tout!
ouah la réponse de ouf! Elle décoiffe sa mère! Ouah j'en reviens pas, mais c'est forcément ça: il est! Ouah, extraordinaire! Dis-moi, t'as trouvé ça dans une blague carambar? Parceque c'est presque drôle!
La cause du redshift n’est pas l’expansion de l’univers.
Ben si, vu que c'est sa définition
Qu’est-ce que le redshift drift
tu sais te servir d'internet, au moins?
Il n’y a pas de déperdition d’énergie comme il n’y en n’a pas non plus dans l’effet Doppler.
S'il n'y avait pas de déperdition comme dans l'effet Doppler, il y aurait autant de redshift que de blueshift. Il y a un effet qui est plus fort que la vitesse, au bout d'une certaine distance aucune galaxie n'arrive à 'remonter' le phénomène d'expansion, elles sont toutes reshiftées. Il y a visiblement un phénomène qui 'pompe' l'énergie des photons émis par les galaxies distantes. Ce phénomène empêche notre téléspectateur lointain de changer de chaîne alors que son récepteur est ultra sensible, quelque soit la galaxie suffisamment lointaine où il se trouve, il faudrait qu'il fabrique un vaisseau qui se déplace d'autant plus vite vers nous qu'il est loin, il va lui falloir donner plein d'énergie pour compenser la perte énergétique des photons qu'il envoie, et ce d'autant plus qu'il est loin
externo a écrit :il existe des ondes "gravitationnelles" longitudinales responsables de l'expansion ou répulsion
Et donc, le redshift drift serait dans quel cas?
 #50582  par moijdikssekool
 
il va lui falloir donner plein d'énergie pour compenser la perte énergétique des photons qu'il envoie, et ce d'autant plus qu'il est loin
De mon côté, il faut croire qu'une vitesse de rapprochement compense des phases nulles (sur les dimensions de la géométrie d'arrivée ne se trouvant pas dans la géométrie de départ) en en augmentant d'autres (sur les dimensions communes à ces deux géométries). Il faut dire aussi que le temps de l'accélération, en venant vers nous, le vaisseau fait un stock supplémentaire de dimensions communes aux deux géométries, faudrait compter, combien peut-on gagner de dimensions lorsque le vaisseau passe de v=0 (pas de dipôle cosmologique dans le ciel) à une vitesse proche de c (avec dans le ciel une grosse tâche bleue 'devant lui', correspondant au décalage nécessaire pour nous paraître 'en clair', sans décalage, quand la télécommande dans le vaisseau peut enfin allumer la télé sur Terre)
Si on devait faire une géométrie nD, il faudrait s'inspirer de ce genre de résultat, que se passe-t-il si l'on remplace, parmi tous ces cercles, deux d'entre eux, l'un à la place de l'autre, en supposant que l'un des deux est à l'arrêt? Ce genre de considération pourrait permettre de comprendre comment appréhender une géométrie macroscopique comme la nôtre à partir de nD, à coup de phases et de projections
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