Effectivement! Ici les phases sont repérées autour d'un axe commun à toute particule, tandis que les épicycles auxquels tu fais référence n'étaient valables que sur Terre. Disons que lorsque l'on change de référentiel, il faut, sur cette même image, échanger le 'cercle' autour du Soleil avec les 'cercles' autour de la Terre. Bon, ce qui a tué ce modèle, ce sont les ellipses en lieu et place du 'cercle' autour du Soleil, mais le Soleil est encore un référentiel privilégié, combien faut-il de cercles pour dessiner une ellipse? Combien pour la trajectoire du Soleil? Combien pour la galaxie, etc... Plus on se rapprocherait d'un référentiel absolu, fondamental, élémentaire, moins il y a besoin de cercles, à la fin il n'y en a besoin que d'un, représenté à priori par le premier vecteur dans cette représentation de Fourier. A notre échelle, l'espace intergalactique se rapproche le plus d'un espace euclidien, les dimensions locales sont essentiellement formées (via projection) des premiers vecteurs. A priori, cette danse est rythmée par le temps cosmologique, imposé par le potentiel gravitationnel de l'univers observable, non nul, ni infini. Avec une décomposition en 1E80cercles, fussent-ils élémentaires, on obtient une géométrie assez fine, que l'on croit continue