• matière noire et champs de l'univers observable

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #50633  par moijdikssekool
 
l'univers observable grandit (on voit toujours plus loin, on voit la naissance passée d'éléments de géométrie venant s'ajouter dans notre univers observable), nos particules se projettent sur une géométrie qui s'étend avec le temps. Nos dimensions macroscopiques sont composées d'un nombre de dimensions du même ordre de grandeurs que le nombre de particules (N~1E80) de l'univers observable, une nouvelle particule est un pack de dimensions orthogonales, les symétries qui les lient permettent de les 'ranger' dans nos dimensions (une somme de vecteurs est un vecteur). Le nombre de symétries élémentaires permettant que quelque chose 'sorte du vide' est très restreint, de sorte que notre géométrie macroscopique n'a que 3dimensions (en fait 3Dx3iD, deux espaces couplés), localement notre géométrie est une sphère de Bloch (en somme l'intrication s'explique facilement, il suffit de parler de localité 6D, deux photons 3D intriqués sont en fait une même particule 6D, on la voit sous deux 'angles')
C’est la même chose dans l’effet Doppler
non, toi tu dis que le photon arrive à 100Mhz, mais est détecté à 80. L'effet Doppler ne se traduit pas par l'émission des 20MHz par le détecteur, celui-ci reçoit 80, il émet 0, le photon arrive donc à 80. Géométriquement parlant, suivant que émetteur et récepteur s'éloignent, sont statiques l'un par rapport à l'autre, ou se rapprochent, la pente de la géométrie est soit positive, nulle ou négative, de façon à ce qu'il soit reçu à 80, 100 ou 120MHz
 #50634  par Dick
 
Ouais, tu dois avoir raison, tu es plus calé que moi dans ce domaine. Sauf que ce sont les ondes qui possèdent une fréquence, et non pas les photons.
Dernière modification par Dick le vendredi 14 novembre 2025 à 20:02, modifié 2 fois.
 #50638  par moijdikssekool
 
euh je ne suis pas sûr que le modèle actuel explique l'énergie du photon avec la 'pente' de la géométrie, dans le cas du redshift cinétique, celle-ci étant plutôt déformée par l'accélération. Mais bon, le modèle d'Einstein n'est qu'un modèle plus commode que celui de Lorentz qui explique que la constance de la vitesse de la lumière est permise par la compensation des effets en espace avec ceux du temps (dilatation vs compression), résultat le photon arrive redshifté tandis que le délai entre deux photons est rallongé
Le modèle d'Einstein n'est qu'un modèle, par exemple il considère que le coeff de Lorentz est le même sur un aller-retour, mais ça ne permet pas d'expliquer que le délai des bips (émis par un vaisseau et reçus sur Terre) est allongé lors de l'aller (le temps s'écoule alors plus vite dans le vaisseau), et raccourci lors du retour (le temps s'écoule plus lentement dans le vaisseau), on peut juste se permettre de négliger les variations à l'aller et ne considérer que les variations lors du retour, ça permet de valider Einstein à notre échelle avec un coeff constant sur l'A/R, le modèle d'Einstein est juste commode mais il n'est qu'un reflet de la réalité. Même si le modèle de Lorentz est un modèle lui aussi, il explique mieux les choses, même s'il faut déterminer un référentiel privilégié (lorsque le dipôle cosmologique de l'univers observable d'un référentiel est nul; attention je ne parle pas d'un espace plat relativiste, dépourvu de toute définition locale. On a juste la chance que l'univers observable impose un temps universel, on peut considérer que celui-ci tourne au milieu d'une bulle cosmique, sans matière locale, de toute façon on ne peut ni envoyer la matière à l'infini, ni considérer que l'espace puisse être localement plat car il n'y aurait pas d'écoulement du temps: plus on s'éloigne d'une masse, plus le temps s'écoule vite, à l'infini ça s'écrit ∆τ=γ∆t avec γ=0. L'idée que l'univers puisse être localement plat, supposée par les cosmologues, est complètement stupide, comme quoi une hypothèse qui se veut purement commode finit par faire dire n'importe quoi), dans lequel les mesures relatives à la Einstein sont encore possibles
 #50643  par externo
 
moijdikssekool a écrit : jeudi 13 novembre 2025 à 20:00 à l'infini ça s'écrit ∆τ=γ∆t avec γ=0. L'idée que l'univers puisse être localement plat, supposée par les cosmologues, est complètement stupide, comme quoi une hypothèse qui se veut purement commode finit par faire dire n'importe quoi), dans lequel les mesures relatives à la Einstein sont encore possibles
à l'infini γ=1
Le modèle d'Einstein n'est qu'un modèle, par exemple il considère que le coeff de Lorentz est le même sur un aller-retour, mais ça ne permet pas d'expliquer que le délai des bips (émis par un vaisseau et reçus sur Terre) est allongé lors de l'aller (le temps s'écoule alors plus vite dans le vaisseau), et raccourci lors du retour (le temps s'écoule plus lentement dans le vaisseau),
Je ne comprends pas bien.
 #50644  par moijdikssekool
 
à l'infini γ=1
Non, la relativité nous dit que plus tu t'éloignes d'une masse, plus ton temps s'écoule vite, infiniment vite à l'infini, ce qui se traduit par 'être dans le référentiel du photon', γ=∞, il fallait bien sûr lire ∆τ=∆t/γ, bref
Je ne comprends pas bien
Si l'on veut déterminer le décalage en temps d'un aller-retour, il suffit de compter des tics d'horloge. Le vaisseau envoie des tic toutes les secondes. A l'aller, tu comptes les tics que tu reçois, ainsi qu'au retour, et tu compares avec les tics d'une horloge terrestre
Imaginons un trajet sur Andromède (3Mal), imagine que tu fais le trajet aller en 3sec (le vaisseau voyage quasi à c), tu n'envoies donc que quatre bips vers la Terre, le premier bip est envoyé au décollage, un à 1Mal, 2Mal et à l'arrivée, la Terre doit attendre 3Ma pour recevoir le 4ème bip. Depuis le vaisseau, tu vois la Terre quasiment à l'arrêt, hyper redshiftée et sombre, tu vois l'évolution sur Terre pendant un pouillème de seconde. Au retour c'est l'inverse, tu fonces vers les photons que tu aurais pu recevoir pendant l'aller, tu vois 6Ma d'évolution de la Terre en 3sec (idem, le vaisseau envoie 3bips pendant le retour), la Terre est hyper blueshiftée et lumineuse. La Terre reçoit les 5, 6, 7ème bips en un pouillème de seconde, juste après le 4ème, une rafale ultra courte de bips juste avant l'arrivée du vaisseau. On peut aussi considérer que le vaisseau a déjà sa vitesse en dépassant la Terre, puis un deuxième vaisseau fait le retour lorsque le premier atteint Andromède, à priori on se moque des périodes d'accélération, l'important c'est de compter les tics
Tu remarqueras que depuis le vaisseau tu t'attends à voir la Terre 6Ma plus tard, alors que le vaisseau revient au bout de 3Ma, ça vient du fait qu'on doit considérer que le vaisseau accélère la moitié du trajet aller, puis accélère dans la direction opposée sur la deuxième moitié du trajet aller et la première moitié du trajet retour, puis dans la direction opposée sur la deuxième moitié du trajet retour, résultat si le vaisseau reçoit de moins en moins de photons de la Terre lors de la première moitié de l'aller, il en reçoit de plus en plus lors de la seconde moitié jusqu'à recevoir un débit normal à l'arrivée sur Andromède, idem au retour. Si tu veux on peut s'amuser à étudier les détails, avec par exemple une vitesse c/1.000000001 lorsque le vaisseau se trouve à la moitié de la distance 1.5Ma
Bref, si on voyage à vitesse constante, comme dans la relativité restreinte, il est absurde de supposer que le coeff de Lorentz est constant à l'aller et au retour, de supposer que le temps s'écoule plus lentement dans le vaisseau à l'aller et au retour, la théorie est clairement à réécrire, la commodité d'hypothèses n'est qu'un deal imposé à notre interprétation du monde, un deal dont bien sûr celui-ci se moque
 #50645  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : samedi 15 novembre 2025 à 11:13 Si l'on veut déterminer le décalage en temps d'un aller-retour, il suffit de compter des tics d'horloge. Le vaisseau envoie des tic toutes les secondes. A l'aller, tu comptes les tics que tu reçois, ainsi qu'au retour, et tu compares avec leslktics d'une horloge terrestre.
Il s’agit de l’effet Doppler où il n’est pas question de la variation du temps ni de l’émetteur, ni de celui du récepteur, mais de la perception de l’onde par le récepteur. Faudrait pas confondre le réel avec sa perception par un observateur donné, sa réalité!
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