Réflexions à partir de "La nostalgie des commencements" de Trinh Xuan Thuan, Astrophysicien, Pr à l'Université de Virginie (2 pages, peu de matière ... mais matière à réflexion) et la constante cosmologique. Les scientifiques tâtonnent et moi aussi.
Je m'interroge sur la notion de l"expansion" constatée par l'éloignement des galaxies dans le cosmos. S'agit t'il réellement d'une expansion momentannée ou d'une expansion infinie ou d'une erreur sur le terme ?
L'expansion constatée n'est elle pas plutôt une distortion de l'espace en des points localisés et mouvants ?
C'est assez troublant cette notion de stabilité de la force répulsive ou "énergie noire" (mais pas contradictoire) qui tisserait, telle une espèce d'hydre, une sorte de maillage pour maintenir une stabilité dans l'Univers
alors que, dans le même temps, la force répulsive participe à l'expansion infinie (???) de l'Univers ou de notre Univers. Pour l'instant, les scientifiques se posent des questions sur son expansion "infinie".
L'expansion dans notre galaxie est constaté par l'éloignement des galaxies observées, laissant derrière elles de vastes zones dans lesquelles se mue l'énergie du vide,
ce qui reviendrait à dire que la force répulsive, loin de s'atténuer, se renforce (?) tout en gérant la répartition de son contenu.
Ca appelle aussi une autre remarque : c'est que les galaxies s'éloigneront et qu'à l'intérieur de ces mêmes galaxies, les planètes s'éloigneront de leur étoile, ce qui anéantira toute forme de vie car elles recevront faiblement les rayonnements solaires et se refroidiront. Ce qui revient à dire, une phrase déjà joliement citée "Que l'Univers fermerait les lumières derrière lui".
La force répulsive, au moment du Big Bang était inactive (en sommeil) et ne s'est manifesté que 7 milliards d'années après le BB (ce qui se comprends d'ailleurs fort bien puisque la matière aux premiers balbutiements du BB était engluée et skotchée par la force attractive.
Peu après, la force attractive dans la phase créative de l'espace-temps est supplantée par la force répulsive qui repousse des paquets de matière et les distribue dans l'univers (un peu comme le principe d'un embrayage).
Alors, questions :
- est ce que l' "expansion" de notre univers est "infinie" ou s'agit il d'un "déploiement", un reliquat, une résurgence de la période inflationniste qui n'a pas encore trouvée ses limites (le principe du ballon sur lequel on plaçerait 2 croix et que l'on gonfle voit s'éloigner les 2 croix) ?
- est ce que la période inflationniste fixerait les propres limites de l' "expansion" de notre Univers ? Puisque tout est contenu dans tout.
- A quel moment a débuté
la dilatation inflationnaire (3 chevauchements de la période inflationniste, à vue de nez mais à y regarder de plus près, ballottements dans des flux et reflux, chaud très chaud, un joli feu d'artifice de quarks et anti-quarks libérant avec la reprise de l'expansion de l'Univers un surplus de matière devenue, non pas de la matière ordinaire mais une matière sombre et une matière baryonnique (issue de l'oscillation des baryons de la soupe primordiale).
Est ce que la période inflationniste est toujours active (distortion) et pourrait fixer les limites de notre univers, les limites de son expansion en créant une nouvelle inflation qui modifierait le processus de la force répulsive en force redevenue attractive (le principe du couvercle d'une boîte de sardines enroulé).
Se pourrait il que la période dite inflationniste ne provoque dans notre bulle un bug ou un GNAB qui nous incrusterait dans une roche en fusion magmatique ?
Donc, si je comprends bien, la matière sombre dans les vides de l'espace galactique c'est de l'énergie noire qui s'est refroidit et représente 80 % de la masse de l'univers et se manifestant au travers de la gravitation (mais dans le sens contraire),
et la matière baryonnique de l'énergie qui a chauffé dans la soupe primordiale des quarks et anti-quarks marinant dans le chaudron magique de la dilatation de la période dite inflationniste.
La dilatation inflationniste serait en quelque sorte une verrue hors du temps de l'espace-temps générique et dans l'espace-temps globalisé ?
Je m'interroge sur la notion de l"expansion" constatée par l'éloignement des galaxies dans le cosmos. S'agit t'il réellement d'une expansion momentannée ou d'une expansion infinie ou d'une erreur sur le terme ?
L'expansion constatée n'est elle pas plutôt une distortion de l'espace en des points localisés et mouvants ?
C'est assez troublant cette notion de stabilité de la force répulsive ou "énergie noire" (mais pas contradictoire) qui tisserait, telle une espèce d'hydre, une sorte de maillage pour maintenir une stabilité dans l'Univers
alors que, dans le même temps, la force répulsive participe à l'expansion infinie (???) de l'Univers ou de notre Univers. Pour l'instant, les scientifiques se posent des questions sur son expansion "infinie".
L'expansion dans notre galaxie est constaté par l'éloignement des galaxies observées, laissant derrière elles de vastes zones dans lesquelles se mue l'énergie du vide,
ce qui reviendrait à dire que la force répulsive, loin de s'atténuer, se renforce (?) tout en gérant la répartition de son contenu.
Ca appelle aussi une autre remarque : c'est que les galaxies s'éloigneront et qu'à l'intérieur de ces mêmes galaxies, les planètes s'éloigneront de leur étoile, ce qui anéantira toute forme de vie car elles recevront faiblement les rayonnements solaires et se refroidiront. Ce qui revient à dire, une phrase déjà joliement citée "Que l'Univers fermerait les lumières derrière lui".
La force répulsive, au moment du Big Bang était inactive (en sommeil) et ne s'est manifesté que 7 milliards d'années après le BB (ce qui se comprends d'ailleurs fort bien puisque la matière aux premiers balbutiements du BB était engluée et skotchée par la force attractive.
Peu après, la force attractive dans la phase créative de l'espace-temps est supplantée par la force répulsive qui repousse des paquets de matière et les distribue dans l'univers (un peu comme le principe d'un embrayage).
Alors, questions :
- est ce que l' "expansion" de notre univers est "infinie" ou s'agit il d'un "déploiement", un reliquat, une résurgence de la période inflationniste qui n'a pas encore trouvée ses limites (le principe du ballon sur lequel on plaçerait 2 croix et que l'on gonfle voit s'éloigner les 2 croix) ?
- est ce que la période inflationniste fixerait les propres limites de l' "expansion" de notre Univers ? Puisque tout est contenu dans tout.
- A quel moment a débuté
la dilatation inflationnaire (3 chevauchements de la période inflationniste, à vue de nez mais à y regarder de plus près, ballottements dans des flux et reflux, chaud très chaud, un joli feu d'artifice de quarks et anti-quarks libérant avec la reprise de l'expansion de l'Univers un surplus de matière devenue, non pas de la matière ordinaire mais une matière sombre et une matière baryonnique (issue de l'oscillation des baryons de la soupe primordiale).
Est ce que la période inflationniste est toujours active (distortion) et pourrait fixer les limites de notre univers, les limites de son expansion en créant une nouvelle inflation qui modifierait le processus de la force répulsive en force redevenue attractive (le principe du couvercle d'une boîte de sardines enroulé).
Se pourrait il que la période dite inflationniste ne provoque dans notre bulle un bug ou un GNAB qui nous incrusterait dans une roche en fusion magmatique ?
Donc, si je comprends bien, la matière sombre dans les vides de l'espace galactique c'est de l'énergie noire qui s'est refroidit et représente 80 % de la masse de l'univers et se manifestant au travers de la gravitation (mais dans le sens contraire),
et la matière baryonnique de l'énergie qui a chauffé dans la soupe primordiale des quarks et anti-quarks marinant dans le chaudron magique de la dilatation de la période dite inflationniste.
La dilatation inflationniste serait en quelque sorte une verrue hors du temps de l'espace-temps générique et dans l'espace-temps globalisé ?
Lee Smolin affirme que le Temps a existé avant le Big Bang. Merci Lee Smolin. Qui a existé en premier : le big bang ou le trou noir ?