Dick a écrit :La vitesse des photons dans le monde perceptible est c, la vitesse de la lumière, dans le monde réel elle est infinie
le monde réel est le monde perceptible, mais tu peux toujours essayer de nous convaincre du contraire
si bien qu’un photon est à la fois ici et partout, y compris l’infini, au même instant
ça ne veut rien dire. Si le modèle standard cherche à nous embrouiller la tête pour cacher des problèmes, ton modèle fait encore pire. Ton histoire d'infini c'est comme les mondes parallèles, on y case ce que l'on veut, c'est bien pratique mais ça n'a aucune pertinence
seraient-elles en prison ?
les galaxies sont censées ne pas dépasser une limite, la plus lointaine étant caractérisée par la distance à laquelle se trouvent nos plus vieux photons
Cette limite serait-elle, d'après toi, à l'infini?
Rien que de la géométrie de base
mouai, ben c'est pas ça qui va nous aider à réinterpréter le redshift cosmologique, ce sont des outils classiques, ils n'ont pas permis d'avancer plus que ça. Essaye de trouver une raison plus élémentaire pour expliquer qu'une quantité (ici le redshift, mais peu importe) peut être plus faible (avec la distance, peu importe)
externo a écrit :biquaternions de Clifford
c'est de la géométrie algébrique, il y a aussi l'
algèbre géométrique qui a l'air encore plus puissante
Trois dimensions de position et trois de vitesse
ça c'est pour décrire. Mais il y a des données qui ne sont ni une position, ni une vitesse (les champs, le spin etc...), il va donc falloir faire mieux