moijdikssekool a écrit : ↑mercredi 17 septembre 2025 à 09:08, quand une évolution est instantanée, c'est qu'il n'y en a pas, une évolution prend du temps par définition.
Quand je lis une évolution est, j’entends une évolution est, fusse-t-elle instantanée. Mais bon! Le problème est plus dans cette assertion: "[si les interactions allaient] à la vitesse de la lumière, toute évolution serait instantanée". Je ne vois pas la corrélation.
le temps s'écoule
Ce n’est pas parce que des actions sont instantanées que le temps ne s’écoule pas ! Encore une fois, je ne vois pas la corrélation.
moi a écrit :-l’infini et +l’infini c’est la même chose
non, entre les deux il y a l'infini.
Je te laisse la responsabilité de cette assertion.
balayer l'infini en un temps 0, ça ne veut rien dire, tu fais rien avec ça.
Si! ça servira en mécanique quantique.
moi a écrit :il s’agit bien sûr de sa propre vitesse
tu as parlé de contraction des longueurs, pas de vitesse de déplacement.
Je n’ai pas pu parler de contraction des longueurs, vu que, d’après moi, les longueurs ne se contractent pas. J’ai pris des longueurs infinitésimales, dx et dx
p que j’ai divisées par dt, ce qui donne les vitesses instantanées réelles v et apparentes v
p
ben voyons, et γ=l'infini?
bien oui! γ est
le coefficient de Lorentz, tu remplaces v dans la formule par v
p et tu constateras qu’il peut être infini.
De plus tu as parlé de v -> c, v varie.
J’ai parlé de v
p, la vitesse apparente,qui varie de 0 à c.
ce que tu racontes n'a aucun sens.
dans le paradigme actuel, oui, pas dans le prochain.
De manière plus générale, qu'est ce qui peut, géométriquement parlant, faire diminuer une quantité?
Géométriquement parlant, les quantités ne diminuent pas, puisqu’elles ne diminuent pas dans la réalité. Non, Géométriquement parlant, c’est la distinction entre ce qui existe réellement et ce que l’on perçoit qui est faite, et sur ces géométries on peut établir des mécaniques différentes.